Au cours d’une série de visites de prise de contact, le mardi 2 octobre 2018, à la Société ivoirienne de technologie tropicale (I2T), au Centre de démonstration et de promotion de technologies (CDT) et à Côte d’Ivoire Engineering, le Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, a constaté le fonctionnement de ces unités locales au service du développement industriel. Toutes choses qui lui ont permis de voir comment celles-ci peuvent collaborer et interagir entre elles, en vue de préserver les emplois et de créer de la valeur ajoutée.
« L’émergence part avec l’industrialisation. Il s’agit de renforcer la contribution de l’industrie manufacturée qui est de 22% au niveau du PIB pour aller jusqu’à 30%. C’est dans ce cadre que l’Etat possède un tissu industriel propre à lui », le Ministre en charge de l’Industrie qui rassure les partenaires et clients du soutien permanent du gouvernement à ces structures, afin de mieux remplir leur mission.
Il se félicite que grâce à celles-ci, notamment Côte d’Ivoire Engineering, la Côte d’Ivoire fait l’économie de certaines importations, d’autant plus que le matériel industriel peut être produit localement. « C’est l’occasion pour moi de rassurer tous les partenaires de continuer à faire des commandes de pièces de rechange et de construction d’unités de transformation. Cette structure a les ressources qu’il faut pour pouvoir leur délivrer les commandes. On souhaite faire l’industrialisation, mais on ne va pas importer tout le matériel. C’est du devoir de l’Etat d’avoir ce maillon, au niveau de la chaîne de l’industrialisation », soutient le Ministre Souleymane Diarrassouba.
Pour lui, en effet, ces structures contribuent au développement des petites industries de l’agro-transformation, avec à la clef, la création des unités de transformation de manioc, d’anacarde, de fruits et de légumes à petite échelle. Dans sa volonté d’insuffler plus de dynamique au secteur industriel ivoirien, le Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME entend associer les collectivités territoriales qu’il invite à commander des unités de transformation produites par ces structures, pour le bénéfice de leurs coopératives.
« Nous allons renforcer notre coopération avec les structures de régulation qui existent aussi bien dans le secteur du cacao, du coton, de l’anacarde que de l’hévéa (…) L’expertise locale existe et il faut que cela soit connu. Nous avons un programme de restructuration et de mise à niveau des entreprises sur toutes ces entités, afin qu’on puisse trouver le meilleur business modèle qui leur permettra d’être viable », ajoute-t-il.
« L’émergence part avec l’industrialisation. Il s’agit de renforcer la contribution de l’industrie manufacturée qui est de 22% au niveau du PIB pour aller jusqu’à 30%. C’est dans ce cadre que l’Etat possède un tissu industriel propre à lui », le Ministre en charge de l’Industrie qui rassure les partenaires et clients du soutien permanent du gouvernement à ces structures, afin de mieux remplir leur mission.
Il se félicite que grâce à celles-ci, notamment Côte d’Ivoire Engineering, la Côte d’Ivoire fait l’économie de certaines importations, d’autant plus que le matériel industriel peut être produit localement. « C’est l’occasion pour moi de rassurer tous les partenaires de continuer à faire des commandes de pièces de rechange et de construction d’unités de transformation. Cette structure a les ressources qu’il faut pour pouvoir leur délivrer les commandes. On souhaite faire l’industrialisation, mais on ne va pas importer tout le matériel. C’est du devoir de l’Etat d’avoir ce maillon, au niveau de la chaîne de l’industrialisation », soutient le Ministre Souleymane Diarrassouba.
Pour lui, en effet, ces structures contribuent au développement des petites industries de l’agro-transformation, avec à la clef, la création des unités de transformation de manioc, d’anacarde, de fruits et de légumes à petite échelle. Dans sa volonté d’insuffler plus de dynamique au secteur industriel ivoirien, le Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME entend associer les collectivités territoriales qu’il invite à commander des unités de transformation produites par ces structures, pour le bénéfice de leurs coopératives.
« Nous allons renforcer notre coopération avec les structures de régulation qui existent aussi bien dans le secteur du cacao, du coton, de l’anacarde que de l’hévéa (…) L’expertise locale existe et il faut que cela soit connu. Nous avons un programme de restructuration et de mise à niveau des entreprises sur toutes ces entités, afin qu’on puisse trouver le meilleur business modèle qui leur permettra d’être viable », ajoute-t-il.