Abidjan, Dans une communication publiée mercredi dans le cadre de la 38ème Journée mondiale de l'alimentation (JMA 2018) qui porte sur le thème ‘’Agir pour l’avenir : la faim zéro en 2030 c’est possible’’, le directeur général de Nestlé Région Afrique Centrale et de l’Ouest, Rémy Ejel, estime qu’atteindre la ‘’faim zéro’’ en Afrique est possible en travaillant ensemble.
M. Ejel préconise diverses pistes notamment 'Une nutrition à la portée de tous", "Une vie décente pour tous les acteurs de la chaîne alimentaire", "Semer pour l'avenir" et lance un "Appel à l'action" qui se caractériserait globalement par une étroite collaboration entre les différentes parties prenantes.
« Des solutions existent. Ce dont nous avons besoin maintenant, c’est que toutes les parties prenantes, de la ferme à l’assiette, unissent leurs efforts pour que les populations, en Afrique, puissent s’épanouir Afrique et mener une vie plus saine et plus heureuse », assure le DG.
En Afrique Centrale et de l’Ouest, Nestlé contribue à cet effort, également, grâce à ses marques bien connues, poursuit-il. L’année dernière, la compagnie a vendu 67 milliards de portions d’aliments fortifiés, dont la plupart était des «produits à petits prix », c’est-à-dire de petites portions d’aliments et boissons à des prix abordables.
Le nombre de personnes souffrant de la faim est en hausse et le nombre d’individus sous-alimentés est revenu au même niveau que la décennie antérieure. Selon l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le nombre de personnes privées de nourriture de façon chronique est de près de 821 millions en 2017, contre 804 millions l'année précédente. Rien qu’en Afrique Centrale et de l’Ouest, environ 98,9 millions de personnes sont sous-alimentées.
Parallèlement, l'obésité est un problème global de santé qui a presque triplé dans le monde depuis 1975, selon l’Organisation mondiale de la santé. En Afrique, les taux d’obésité augmentent rapidement, notamment dans les zones urbaines.
« La Journée mondiale de l’alimentation (…) nous rappelle qu’il est impératif de placer le bien-être des personnes au cœur de notre système alimentaire », souligne Rémy Ejel.
(AIP)
cmas
M. Ejel préconise diverses pistes notamment 'Une nutrition à la portée de tous", "Une vie décente pour tous les acteurs de la chaîne alimentaire", "Semer pour l'avenir" et lance un "Appel à l'action" qui se caractériserait globalement par une étroite collaboration entre les différentes parties prenantes.
« Des solutions existent. Ce dont nous avons besoin maintenant, c’est que toutes les parties prenantes, de la ferme à l’assiette, unissent leurs efforts pour que les populations, en Afrique, puissent s’épanouir Afrique et mener une vie plus saine et plus heureuse », assure le DG.
En Afrique Centrale et de l’Ouest, Nestlé contribue à cet effort, également, grâce à ses marques bien connues, poursuit-il. L’année dernière, la compagnie a vendu 67 milliards de portions d’aliments fortifiés, dont la plupart était des «produits à petits prix », c’est-à-dire de petites portions d’aliments et boissons à des prix abordables.
Le nombre de personnes souffrant de la faim est en hausse et le nombre d’individus sous-alimentés est revenu au même niveau que la décennie antérieure. Selon l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le nombre de personnes privées de nourriture de façon chronique est de près de 821 millions en 2017, contre 804 millions l'année précédente. Rien qu’en Afrique Centrale et de l’Ouest, environ 98,9 millions de personnes sont sous-alimentées.
Parallèlement, l'obésité est un problème global de santé qui a presque triplé dans le monde depuis 1975, selon l’Organisation mondiale de la santé. En Afrique, les taux d’obésité augmentent rapidement, notamment dans les zones urbaines.
« La Journée mondiale de l’alimentation (…) nous rappelle qu’il est impératif de placer le bien-être des personnes au cœur de notre système alimentaire », souligne Rémy Ejel.
(AIP)
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