Le préfet de la région du Worodougou et du département de Séguéla, Benjamin Effoli, a invité les leaders politiques locaux à préserver la cohésion sociale afin que la sérénité au sein des populations soit de mise.
Au cours d’une séance d’information avec les directeurs et chefs de services sur les "dérapages" observés au lendemain du vote des conseillers municipaux et régionaux, le préfet de la région du Worodougou a demandé aux leaders politiques locaux de préserver le climat social apaisé et permettre aux populations de vivre dans sérénité.
"Prenons conscience que 2020 se prépare dès aujourd’hui et que nous n’avons pas le droit de perturber la tranquillité des populations par une intransigeance qui peut nous envoyer droit dans le mur", a-t-il déclaré après avoir fait le récit de la folle journée du 14 octobre marquée par la mort par balles de deux jeunes de Téguéla suite à une opération de maintien de l’ordre survenue après l’érection, pendant plusieurs heures, de barricades sur la voie traversant ce village, situé à 12 km de Séguéla.
Cette rencontre s’est tenue en présence de plusieurs personnalités dont le député sous-préfecture, Diomandé Vassamba Drissa, le médiateur délégué Fofana Ibrahima et le corps préfectoral du département.
"Après ce qu’on a vécu en 2010-2011, on doit comprendre qu’il existe des voies légales de recours pour contester les résultats proclamés", a-t-il ajouté, conviant ses interlocuteurs à s’engager dans cette campagne de communication pour sensibiliser dans les services et dans leurs environnements.
Cette réunion clôt une série de rencontres de différentes couches de la société initiées dans le cadre de la consolidation de la cohésion sociale, rappelle-t-on.
(AIP)
Kkp/kp
Au cours d’une séance d’information avec les directeurs et chefs de services sur les "dérapages" observés au lendemain du vote des conseillers municipaux et régionaux, le préfet de la région du Worodougou a demandé aux leaders politiques locaux de préserver le climat social apaisé et permettre aux populations de vivre dans sérénité.
"Prenons conscience que 2020 se prépare dès aujourd’hui et que nous n’avons pas le droit de perturber la tranquillité des populations par une intransigeance qui peut nous envoyer droit dans le mur", a-t-il déclaré après avoir fait le récit de la folle journée du 14 octobre marquée par la mort par balles de deux jeunes de Téguéla suite à une opération de maintien de l’ordre survenue après l’érection, pendant plusieurs heures, de barricades sur la voie traversant ce village, situé à 12 km de Séguéla.
Cette rencontre s’est tenue en présence de plusieurs personnalités dont le député sous-préfecture, Diomandé Vassamba Drissa, le médiateur délégué Fofana Ibrahima et le corps préfectoral du département.
"Après ce qu’on a vécu en 2010-2011, on doit comprendre qu’il existe des voies légales de recours pour contester les résultats proclamés", a-t-il ajouté, conviant ses interlocuteurs à s’engager dans cette campagne de communication pour sensibiliser dans les services et dans leurs environnements.
Cette réunion clôt une série de rencontres de différentes couches de la société initiées dans le cadre de la consolidation de la cohésion sociale, rappelle-t-on.
(AIP)
Kkp/kp
