Abidjan– Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Dr Abdallah Mabri Touikeusse, a ouvert, mercredi, au pôle scientifique de l’université Houphouët-Boigny de Bingerville, un atelier consacré aux processus de recrutement des enseignants-chercheurs et chercheurs.
“Cet atelier vise à trouver des solutions à la qualité du recrutement des enseignants et devrait adapter l’enseignement aux exigences d’un monde universitaire moderne (…) à travers un processus transparent, rigoureux, équitable, exempt de toute critique pour former un capital humain susceptible de porter le développement du pays et des jeunes capables de porter leurs propres projets de vie”, a dit le ministre Mabri Toikeusse à l’ouverture des travaux.
Les travaux portent sur l’analyse des processus de recrutement, l’harmonisation des éléments constitutifs des dossiers de candidature et les critères d’évaluation des jurys, la proposition d’un calendrier annuel du déroulement des processus de recrutement, l’actualisation des textes et procédures administratifs et la mise en place un processus maîtrisé de gestion des promotions des enseignants-chercheurs et chercheurs, a indiqué le directeur des Ressources humaines, Djimbala Diakité.
Cet atelier, de trois jours, a lieu dans un contexte de réhabilitation et d’équipement des universités, de déficit en personnels enseignants dans certaines filières, de sureffectifs dans d’autres, d’accroissement du nombre de bacheliers chaque année (116 000 en 2017), de construction de nouvelles universités à Man et Korhogo, d’une université virtuelle à Abidjan et le projet de plusieurs autres universités à Bondoukou, San-Pedro ou encore Adiaké.
Deux précédents ateliers sur les procédures de recrutement et la détermination des besoins réels relatifs aux attachés de recherche et aux assistants-chefs de cliniques, tenus les 07 et 08 décembre 2017, avaient révélé des adaptations techniques à faire.
Le système de l’enseignement supérieur ivoirien a recruté 2 517 enseignants-chercheurs et chercheurs entre 2010 et 2017 dont 410 enseignants et 37 attachés de recherche en 2017.
aaa/ask
“Cet atelier vise à trouver des solutions à la qualité du recrutement des enseignants et devrait adapter l’enseignement aux exigences d’un monde universitaire moderne (…) à travers un processus transparent, rigoureux, équitable, exempt de toute critique pour former un capital humain susceptible de porter le développement du pays et des jeunes capables de porter leurs propres projets de vie”, a dit le ministre Mabri Toikeusse à l’ouverture des travaux.
Les travaux portent sur l’analyse des processus de recrutement, l’harmonisation des éléments constitutifs des dossiers de candidature et les critères d’évaluation des jurys, la proposition d’un calendrier annuel du déroulement des processus de recrutement, l’actualisation des textes et procédures administratifs et la mise en place un processus maîtrisé de gestion des promotions des enseignants-chercheurs et chercheurs, a indiqué le directeur des Ressources humaines, Djimbala Diakité.
Cet atelier, de trois jours, a lieu dans un contexte de réhabilitation et d’équipement des universités, de déficit en personnels enseignants dans certaines filières, de sureffectifs dans d’autres, d’accroissement du nombre de bacheliers chaque année (116 000 en 2017), de construction de nouvelles universités à Man et Korhogo, d’une université virtuelle à Abidjan et le projet de plusieurs autres universités à Bondoukou, San-Pedro ou encore Adiaké.
Deux précédents ateliers sur les procédures de recrutement et la détermination des besoins réels relatifs aux attachés de recherche et aux assistants-chefs de cliniques, tenus les 07 et 08 décembre 2017, avaient révélé des adaptations techniques à faire.
Le système de l’enseignement supérieur ivoirien a recruté 2 517 enseignants-chercheurs et chercheurs entre 2010 et 2017 dont 410 enseignants et 37 attachés de recherche en 2017.
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