A l’issue de l’adoption, le jeudi 31 octobre 2018 à l’Assemblée Nationale, au cours d’une plénière marquée par l’adhésion totale des 179 députés présents, exceptée une abstention, du projet de loi autorisant le Président de la République à ratifier la création de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), le Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba est revenu sur les opportunités qu’offre ce marché continental à la Côte d’Ivoire.
« Je pense que la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) nous offre un gisement d’opportunités pour nos entreprises, pour nos populations et une visibilité pour l’avenir de nos jeunes et de nos femmes. Voyez-vous, avoir un marché de 24 millions d’habitants c’est bien, mais avoir un marché de 1,2 milliard de personnes c’est encore mieux avec en perspective, une classe moyenne de 800 millions de consommateurs », indiquait-il avant d’ajouter que le processus de création de la Zlecaf est un aboutissement heureux du rêve des pères fondateurs depuis 1963 avec la création de l’Organisation de l’Unité africaine. Toute chose qui, selon lui, va permettre à la Côte d’Ivoire d’exporter ses produits manufacturés sans difficulté au-delà de la zone Cedeao.
« Il y a des risques pour des économies qui n’étaient pas précédemment ouvertes. Notre pays a toujours eu une économie ouverte sur l’extérieur, aussi bien au niveau sous régional qu’international. Nos chiffres en termes de taux de commerce intra africain, qui est autour de 34% dont 25% pour la Cedeao, est bien éloquent en la matière », rassure le Ministre Souleymane Diarrassouba.
Pour lui, en effet, la suppression des barrières va permettre de décupler le volume des échanges des industries ivoiriennes. « Cela contribuera également à augmenter le chiffre d’affaires de nos industriels. Ce qui va leur permettre d’augmenter leurs capacités en termes de transformation et par ricochet, de création d’emplois en Côte d’Ivoire », souligne-t-il. Puis de poursuivre pour indiquer que le pays est au rendez-vous de la Zlecaf avec le plan quinquennal dont il dispose. Notamment, le PND 2016-2020 qui existe déjà, où le Chef de l’Etat avait anticipé la mise en place de cet outil en donnant une place importante au secteur privé avec 62% et à l’industrialisation de l’économie.
Le Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME rappelle, dans la foulée, que les discussions relatives au projet du marché continental se font en liaison et en relation avec le secteur privé. « Raison pour laquelle, au cours du mois dernier, nous avons créé la Commission nationale de la Zlecaf, dans laquelle il y a différents organes du Gouvernent. Le Comité d’orientation est présidé par Monsieur le Premier ministre avec plus de 19 Ministres présents, ainsi que les représentants du secteur privé et de la société civile », note-t-il. Le Ministre Souleymane Diarrassouba rappelle la présence des Directeurs généraux des Douanes, des Impôts et de bien d’autres responsables des structures de commerce international dans le Comité technique.
« Je pense que la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) nous offre un gisement d’opportunités pour nos entreprises, pour nos populations et une visibilité pour l’avenir de nos jeunes et de nos femmes. Voyez-vous, avoir un marché de 24 millions d’habitants c’est bien, mais avoir un marché de 1,2 milliard de personnes c’est encore mieux avec en perspective, une classe moyenne de 800 millions de consommateurs », indiquait-il avant d’ajouter que le processus de création de la Zlecaf est un aboutissement heureux du rêve des pères fondateurs depuis 1963 avec la création de l’Organisation de l’Unité africaine. Toute chose qui, selon lui, va permettre à la Côte d’Ivoire d’exporter ses produits manufacturés sans difficulté au-delà de la zone Cedeao.
« Il y a des risques pour des économies qui n’étaient pas précédemment ouvertes. Notre pays a toujours eu une économie ouverte sur l’extérieur, aussi bien au niveau sous régional qu’international. Nos chiffres en termes de taux de commerce intra africain, qui est autour de 34% dont 25% pour la Cedeao, est bien éloquent en la matière », rassure le Ministre Souleymane Diarrassouba.
Pour lui, en effet, la suppression des barrières va permettre de décupler le volume des échanges des industries ivoiriennes. « Cela contribuera également à augmenter le chiffre d’affaires de nos industriels. Ce qui va leur permettre d’augmenter leurs capacités en termes de transformation et par ricochet, de création d’emplois en Côte d’Ivoire », souligne-t-il. Puis de poursuivre pour indiquer que le pays est au rendez-vous de la Zlecaf avec le plan quinquennal dont il dispose. Notamment, le PND 2016-2020 qui existe déjà, où le Chef de l’Etat avait anticipé la mise en place de cet outil en donnant une place importante au secteur privé avec 62% et à l’industrialisation de l’économie.
Le Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME rappelle, dans la foulée, que les discussions relatives au projet du marché continental se font en liaison et en relation avec le secteur privé. « Raison pour laquelle, au cours du mois dernier, nous avons créé la Commission nationale de la Zlecaf, dans laquelle il y a différents organes du Gouvernent. Le Comité d’orientation est présidé par Monsieur le Premier ministre avec plus de 19 Ministres présents, ainsi que les représentants du secteur privé et de la société civile », note-t-il. Le Ministre Souleymane Diarrassouba rappelle la présence des Directeurs généraux des Douanes, des Impôts et de bien d’autres responsables des structures de commerce international dans le Comité technique.