Abidjan-Le ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, a expliqué mercredi à l’Assemblée nationale, les opportunités pour la Côte d’Ivoire de ratifier la création de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAF), rapporte un communiqué de presse transmis à l’AIP.
A en croire le ministre, la ZLECAF offre un gisement d’opportunités pour les entreprises, les populations et une visibilité pour l’avenir des jeunes.
« Voyez-vous, avoir un marché de 24 millions d’habitants, c’est bien mais avoir un marché de 1,2 milliard de personnes, c’est encore mieux avec en perspective, une classe moyenne de 800 millions de consommateurs », a-t-il relevé. Il a ajouté que le processus de création de la ZLECAF est un aboutissement heureux du rêve des pères fondateurs de l’Afrique depuis 1963 avec la création de l’Organisation de l’unité africaine (OUA), aujourd’hui Union africaine (UA).
Toute chose qui, selon le ministre, va permettre à la Côte d’Ivoire d’exporter ses produits manufacturés sans difficulté au-delà de la zone de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
« Il y a des risques pour des économies qui n’étaient pas précédemment ouvertes. Notre pays a toujours eu une économie ouverte sur l’extérieur, aussi bien au niveau sous régional qu’international. Nos chiffres en termes de taux de commerce intra-africain sont autour de 34% dont 25% pour la CEDEAO », a rassuré Souleymane Diarrassouba.
Pour lui, la suppression des barrières va permettre de décupler le volume des échanges des industries ivoiriennes et contribuer à augmenter le chiffre d’affaires des entreprises industrielles.
Après ses explications bien détaillées devant les parlementaires, le projet de loi autorisant le président de la République à ratifier la création de la ZLECAF a été adopté à l’unanimité en plénière à l’Assemblée nationale.
bsp/cmas
A en croire le ministre, la ZLECAF offre un gisement d’opportunités pour les entreprises, les populations et une visibilité pour l’avenir des jeunes.
« Voyez-vous, avoir un marché de 24 millions d’habitants, c’est bien mais avoir un marché de 1,2 milliard de personnes, c’est encore mieux avec en perspective, une classe moyenne de 800 millions de consommateurs », a-t-il relevé. Il a ajouté que le processus de création de la ZLECAF est un aboutissement heureux du rêve des pères fondateurs de l’Afrique depuis 1963 avec la création de l’Organisation de l’unité africaine (OUA), aujourd’hui Union africaine (UA).
Toute chose qui, selon le ministre, va permettre à la Côte d’Ivoire d’exporter ses produits manufacturés sans difficulté au-delà de la zone de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
« Il y a des risques pour des économies qui n’étaient pas précédemment ouvertes. Notre pays a toujours eu une économie ouverte sur l’extérieur, aussi bien au niveau sous régional qu’international. Nos chiffres en termes de taux de commerce intra-africain sont autour de 34% dont 25% pour la CEDEAO », a rassuré Souleymane Diarrassouba.
Pour lui, la suppression des barrières va permettre de décupler le volume des échanges des industries ivoiriennes et contribuer à augmenter le chiffre d’affaires des entreprises industrielles.
Après ses explications bien détaillées devant les parlementaires, le projet de loi autorisant le président de la République à ratifier la création de la ZLECAF a été adopté à l’unanimité en plénière à l’Assemblée nationale.
bsp/cmas