Le collectif des candidats, intimidés et spoliés de leurs victoires lors des élections locales du 13 octobre 2018, a animé une conférence de presse, prononcée par le président dudit collectif, le maire N’Dohi Raymond, ce mercredi 14 novembre 2018 au siège du PDCI-RDA sis à Cocody.
Selon ce nouveau collectif, le vote du 13 octobre dernier a été entaché d’irrégularités sur toute l’étendue du territoire national. " L’utilisation frauduleuse du logo du PDCI-RDA en vue d’entraîner la confusion au sein des populations, l’inversion des résultats comme à Grand-Bassam, dans le Loh-Djiboua et le Gontougo, l’absence de scellés sur les urnes toutes choses ayant contribué à une fraude massive qu profit des candidats du pouvoir" a martelé le conférencier.
Le collectif des candidats « intimidés et spoliés » a également dénoncé le fait que la Commission Électorale Indépendante soit totalement discréditée "en se mettant au service du pouvoir. Pour N’Dohi Raymond, les dernières élections locales sont l’une des plus mauvaises que la Côte d’Ivoire a connues depuis son indépendance. Le collectif demande par conséquent "au pouvoir exécutif de laisser librement les magistrats de la cour suprême dire le droit, sans risquer leurs postes".
Le collectif des candidats « intimidés et spoliés » interpelle enfin la communauté internationale sur les risques qui peuvent survenir lors des prochaines élections présidentielles de 2020.
DA
Selon ce nouveau collectif, le vote du 13 octobre dernier a été entaché d’irrégularités sur toute l’étendue du territoire national. " L’utilisation frauduleuse du logo du PDCI-RDA en vue d’entraîner la confusion au sein des populations, l’inversion des résultats comme à Grand-Bassam, dans le Loh-Djiboua et le Gontougo, l’absence de scellés sur les urnes toutes choses ayant contribué à une fraude massive qu profit des candidats du pouvoir" a martelé le conférencier.
Le collectif des candidats « intimidés et spoliés » a également dénoncé le fait que la Commission Électorale Indépendante soit totalement discréditée "en se mettant au service du pouvoir. Pour N’Dohi Raymond, les dernières élections locales sont l’une des plus mauvaises que la Côte d’Ivoire a connues depuis son indépendance. Le collectif demande par conséquent "au pouvoir exécutif de laisser librement les magistrats de la cour suprême dire le droit, sans risquer leurs postes".
Le collectif des candidats « intimidés et spoliés » interpelle enfin la communauté internationale sur les risques qui peuvent survenir lors des prochaines élections présidentielles de 2020.
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