Abidjan (Côte d'Ivoire) - Des chercheurs ont recommandé, jeudi à Abidjan, à l'endroit du monde académique ivoirien au terme de la quatrième édition du salon international de la géomatique, le développement de nouveaux curricula de formation pour lutter contre les changements climatiques dans le pays, a appris APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
« A l'endroit des acteurs de la lutte contre les changements climatiques et du monde académique, il faut développer de nouveaux curricula de formation mettant en exergue des outils de lutte contre les changements climatiques, en particulier, des outils d'amélioration de la résilience », recommande ce salon qui a été organisé par le Comité national de télédétection et d'information géographique ( CNTIG) et ses partenaires.
Des professionnels de la géomatique, des chercheurs, le secteur privé et les pouvoirs publics, ont pris part à ces assises autour du thème, « Les outils de résilience face aux changements climatiques». Les participants à ce conclave, ont par ailleurs, conseillé au monde académique ivoirien, d'accentuer la recherche, le développement et le transfert des technologies climatiques aux fins de l'adaptation aux changements climatiques.
« Le salon demande le renforcement du système éducatif afin de donner une place privilégiée à la gestion de l'environnement, en particulier à la lutte contre les changements climatiques qui menacent fortement l'économie de notre pays », recommandent en outre, les chercheurs à l'État de Côte d'Ivoire.
« Les retombées sont très nombreuses et on peut penser que le futur sera meilleur. Je suis étonné que les exposants ont été capables de mettre en place des drones qui permettent de lutter contre les effets néfastes des changements climatiques », s'est satisfait Édouard Fonh-Gbehi, le directeur général du CNTIG.
Poursuivant, il a fait savoir que « nous avons enregistré la présence de scientifiques venant de la NASA qui ont pu développer des technologies qui sont très adaptées pour l'Afrique et qui permettent d'obtenir des résultats rapidement ».
Neuf panels thématiques ont meublé cette quatrième édition du salon international de la géomatique sur la résilience climatique. La Côte d'Ivoire a perdu près de 75% de son couvert forestier en 50 ans passant de 16 millions d'hectares en 1960 à 3,4 millions d'hectares en 2015.
LB/ls
« A l'endroit des acteurs de la lutte contre les changements climatiques et du monde académique, il faut développer de nouveaux curricula de formation mettant en exergue des outils de lutte contre les changements climatiques, en particulier, des outils d'amélioration de la résilience », recommande ce salon qui a été organisé par le Comité national de télédétection et d'information géographique ( CNTIG) et ses partenaires.
Des professionnels de la géomatique, des chercheurs, le secteur privé et les pouvoirs publics, ont pris part à ces assises autour du thème, « Les outils de résilience face aux changements climatiques». Les participants à ce conclave, ont par ailleurs, conseillé au monde académique ivoirien, d'accentuer la recherche, le développement et le transfert des technologies climatiques aux fins de l'adaptation aux changements climatiques.
« Le salon demande le renforcement du système éducatif afin de donner une place privilégiée à la gestion de l'environnement, en particulier à la lutte contre les changements climatiques qui menacent fortement l'économie de notre pays », recommandent en outre, les chercheurs à l'État de Côte d'Ivoire.
« Les retombées sont très nombreuses et on peut penser que le futur sera meilleur. Je suis étonné que les exposants ont été capables de mettre en place des drones qui permettent de lutter contre les effets néfastes des changements climatiques », s'est satisfait Édouard Fonh-Gbehi, le directeur général du CNTIG.
Poursuivant, il a fait savoir que « nous avons enregistré la présence de scientifiques venant de la NASA qui ont pu développer des technologies qui sont très adaptées pour l'Afrique et qui permettent d'obtenir des résultats rapidement ».
Neuf panels thématiques ont meublé cette quatrième édition du salon international de la géomatique sur la résilience climatique. La Côte d'Ivoire a perdu près de 75% de son couvert forestier en 50 ans passant de 16 millions d'hectares en 1960 à 3,4 millions d'hectares en 2015.
LB/ls