C’est aujourd’hui, 11 décembre 2018, que s’ouvre la première édition de la Foire intra-africaine du Caire en Egypte, pour se refermer le 17 décembre prochain. La délégation ivoirienne y est conduite par le Vice-président de la République, Daniel Kablan Duncan. En prélude à ce rendez-vous important, le Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, a indiqué l’opportunité pour la Côte d’Ivoire d’être à cette rencontre égyptienne.
« Cette foire est une opportunité pour la Côte d’Ivoire », annonçait-il, d’autant que, selon lui, elle donnera l’occasion à ce pays de présenter son potentiel économique et de déployer sa Stratégie Nationale des Exportations (SNE). Mieux, le Ministre en charge du Commerce et de l’Industrie souligne que la foire du Caire contribuera à capter les capitaux étrangers pour soutenir l’effort d’industrialisation du pays.
Organisée par l’Afreximbank en collaboration avec l’Union Africaine et le gouvernement égyptien, la foire commerciale intra-africaine du Caire est la première du genre à être organisée sur le continent africain. Pendant sept jours, elle fournira une plateforme de partage d’informations sur le commerce, l’investissement et le marché. Ainsi, elle permet aux acheteurs, aux vendeurs, aux investisseurs et aux pays de se rencontrer, pour discuter et conclure des accords commerciaux.
Il y est prévu la participation de plus de 1.000 exposants et plus de 70.000 visiteurs, acheteurs et vendeurs, pour un chiffre de 25 milliards dollars d’affaires commerciales ciblées. Les secteurs visés sont notamment l’énergie et l’électricité, l’éducation, les industries lourdes, les TIC, l’exploitation minière, la logistique, les normes et industrie du contrôle de la qualité, le tourisme, la santé, les infrastructures facilitant le commerce, dont l’énergie, les routes, les voies ferrées. Cette foire vise également la production industrielle, le développement de parcs industriels, la facilitation du commerce, l’agriculture et l’agro-transformation, les vêtements et textiles, la construction, ainsi que les industries créatives.
Cette rencontre commerciale internationale est aussi la voie idéale pour la réalisation de la vision de la Zone de libre-échange commerciale africaine (Zlecaf). En effet, la mise en place de cette zone constitue un tournant stratégique marquant la vision commune des chefs d’Etat d’une transformation structurelle à la fois commerciale et industrielle de l’Afrique. Cette démarche aura pour effet direct l’accroissement à 52% des échanges commerciaux intra-africains en 2022 et la création de chaînes de valeurs régionales et continentales, selon les projections de la Commission Economique pour l’Afrique (CEA).
Faut-il le rappeler, l’enjeu de la mise en place de la Zlecaf est de permettre à l’Afrique d’exploiter son potentiel économique en tirant profit d’un vaste marché de plus de 1,2 milliard d’habitants actuellement et qui devait passer à 2,5 milliards d’habitants en 2050. Le processus de sa mise en place mènera à la création d’un marché commun d’ici à 2025 et d’une union économique et monétaire en Afrique.
« Cette foire est une opportunité pour la Côte d’Ivoire », annonçait-il, d’autant que, selon lui, elle donnera l’occasion à ce pays de présenter son potentiel économique et de déployer sa Stratégie Nationale des Exportations (SNE). Mieux, le Ministre en charge du Commerce et de l’Industrie souligne que la foire du Caire contribuera à capter les capitaux étrangers pour soutenir l’effort d’industrialisation du pays.
Organisée par l’Afreximbank en collaboration avec l’Union Africaine et le gouvernement égyptien, la foire commerciale intra-africaine du Caire est la première du genre à être organisée sur le continent africain. Pendant sept jours, elle fournira une plateforme de partage d’informations sur le commerce, l’investissement et le marché. Ainsi, elle permet aux acheteurs, aux vendeurs, aux investisseurs et aux pays de se rencontrer, pour discuter et conclure des accords commerciaux.
Il y est prévu la participation de plus de 1.000 exposants et plus de 70.000 visiteurs, acheteurs et vendeurs, pour un chiffre de 25 milliards dollars d’affaires commerciales ciblées. Les secteurs visés sont notamment l’énergie et l’électricité, l’éducation, les industries lourdes, les TIC, l’exploitation minière, la logistique, les normes et industrie du contrôle de la qualité, le tourisme, la santé, les infrastructures facilitant le commerce, dont l’énergie, les routes, les voies ferrées. Cette foire vise également la production industrielle, le développement de parcs industriels, la facilitation du commerce, l’agriculture et l’agro-transformation, les vêtements et textiles, la construction, ainsi que les industries créatives.
Cette rencontre commerciale internationale est aussi la voie idéale pour la réalisation de la vision de la Zone de libre-échange commerciale africaine (Zlecaf). En effet, la mise en place de cette zone constitue un tournant stratégique marquant la vision commune des chefs d’Etat d’une transformation structurelle à la fois commerciale et industrielle de l’Afrique. Cette démarche aura pour effet direct l’accroissement à 52% des échanges commerciaux intra-africains en 2022 et la création de chaînes de valeurs régionales et continentales, selon les projections de la Commission Economique pour l’Afrique (CEA).
Faut-il le rappeler, l’enjeu de la mise en place de la Zlecaf est de permettre à l’Afrique d’exploiter son potentiel économique en tirant profit d’un vaste marché de plus de 1,2 milliard d’habitants actuellement et qui devait passer à 2,5 milliards d’habitants en 2050. Le processus de sa mise en place mènera à la création d’un marché commun d’ici à 2025 et d’une union économique et monétaire en Afrique.