Aboisso - L’organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) a lancé, lundi, à Krindjabo, situé dans le département d’Aboisso, une caravane de sensibilisation sur les alliances interethniques et les mécanismes traditionnels de prévention et de gestion des conflits.
Selon le chef du Bureau régional de l’UNESCO en Afrique de l’Ouest, Ydo Yao, la vulgarisation des alliances interethniques comme facteur de cohésion sociale se présente comme une condition sine qua non de consolidation de la paix, du rapprochement des peuples et de la pacification des relations intercommunautaires.
Il justifie cette initiative par la fragilisation de la jeunesse ivoirienne en raison de son implication active dans la crise post-électorale de 2011.
C’est fort de ce constat que l’UNESCO a mené une étude sur des alliances inter-ethniques en Côte d’Ivoire dans huit zones, afin de s’en servir pour ramener la cohésion sociale, explique-t-il.
En faisant connaitre ces alliances et leurs pratiques, selon M. Ydo Yao, les jeunes auront la capacité de vulgariser auprès de leurs pairs les valeurs acquises pour une implication dans la consolidation de la paix et de la cohésion sociale.
Le porte-parole du roi du Sanwi, nanan Kotia Ben, a salué l’initiative, soulignant que les habitudes entre les peuples est un facteur d’amitié. L’alliance est donc synonyme de joie, de compréhension, a-t-il ajouté avant de dire être dit heureux de cette initiative de l’UNESCO qui vise à perpétuer les alliances interethniques.
L’étude qui a permis d’identifier ces alliances s’est déroulée dans huit localités que sont Dabou, Sikensi, Krndjabo, Adzopé, Katiola, Gagnoa, Divo et Yamoussoukro.
Cette caravane de sensibilisation basée sur les alliances interethniques et les mécanismes traditionnels de prévention et de gestion des conflits se poursuivra sur toute l’année 2019, a-t-on appris. Elle est menée dans le cadre d’appui à la consolidation de la paix et bénéficie également de l’appui de l’UNICEF, du PNUD.
Akn/kp
Selon le chef du Bureau régional de l’UNESCO en Afrique de l’Ouest, Ydo Yao, la vulgarisation des alliances interethniques comme facteur de cohésion sociale se présente comme une condition sine qua non de consolidation de la paix, du rapprochement des peuples et de la pacification des relations intercommunautaires.
Il justifie cette initiative par la fragilisation de la jeunesse ivoirienne en raison de son implication active dans la crise post-électorale de 2011.
C’est fort de ce constat que l’UNESCO a mené une étude sur des alliances inter-ethniques en Côte d’Ivoire dans huit zones, afin de s’en servir pour ramener la cohésion sociale, explique-t-il.
En faisant connaitre ces alliances et leurs pratiques, selon M. Ydo Yao, les jeunes auront la capacité de vulgariser auprès de leurs pairs les valeurs acquises pour une implication dans la consolidation de la paix et de la cohésion sociale.
Le porte-parole du roi du Sanwi, nanan Kotia Ben, a salué l’initiative, soulignant que les habitudes entre les peuples est un facteur d’amitié. L’alliance est donc synonyme de joie, de compréhension, a-t-il ajouté avant de dire être dit heureux de cette initiative de l’UNESCO qui vise à perpétuer les alliances interethniques.
L’étude qui a permis d’identifier ces alliances s’est déroulée dans huit localités que sont Dabou, Sikensi, Krndjabo, Adzopé, Katiola, Gagnoa, Divo et Yamoussoukro.
Cette caravane de sensibilisation basée sur les alliances interethniques et les mécanismes traditionnels de prévention et de gestion des conflits se poursuivra sur toute l’année 2019, a-t-on appris. Elle est menée dans le cadre d’appui à la consolidation de la paix et bénéficie également de l’appui de l’UNICEF, du PNUD.
Akn/kp