Niakara - Une responsable du Centre féminin pour la démocratie et les droits humains en Côte d'Ivoire (CEFCI) de Niakara a indiqué, lundi, lors d'un atelier de formation des acteurs du projet local de lutte contre les Violences basées sur le genre (VBG), que cette lutte demande une réponse holistique et indivisible, a relevé l'AIP sur place.
"La lutte contre la violence à l'égard des femmes demande une réponse holistique, indivisible et multisectorielle ; d'où l'intervention nécessaire de nombreux acteurs travaillant de concert au niveau communautaire pour en venir à bout", a martelé Nathalie Koné.
Mme Koné, qui était l'animatrice de l'atelier de renforcement de capacités des partenaires au projet de prévention et de lutte contre les VBG à Niakara, à l'actif de l'ONG CEFCI, a souligné que la VBG est considérée, aujourd'hui, comme un fléau mondial qui touche particulièrement les femmes et les filles.
Par ailleurs, de l'avis de cette responsable d'ONG, les expressions "VBG" et " Violence à l'égard des femmes" sont souvent utilisées indifféremment, la première soulignant particulièrement la relation entre le statut de subordination des femmes et leur plus grande vulnérabilité à la violence.
"Il est toutefois important de préciser que les hommes et les garçons sont aussi victimes de VBG, notamment de violences sexuelles", a-t-elle conclu.
Jbm
"La lutte contre la violence à l'égard des femmes demande une réponse holistique, indivisible et multisectorielle ; d'où l'intervention nécessaire de nombreux acteurs travaillant de concert au niveau communautaire pour en venir à bout", a martelé Nathalie Koné.
Mme Koné, qui était l'animatrice de l'atelier de renforcement de capacités des partenaires au projet de prévention et de lutte contre les VBG à Niakara, à l'actif de l'ONG CEFCI, a souligné que la VBG est considérée, aujourd'hui, comme un fléau mondial qui touche particulièrement les femmes et les filles.
Par ailleurs, de l'avis de cette responsable d'ONG, les expressions "VBG" et " Violence à l'égard des femmes" sont souvent utilisées indifféremment, la première soulignant particulièrement la relation entre le statut de subordination des femmes et leur plus grande vulnérabilité à la violence.
"Il est toutefois important de préciser que les hommes et les garçons sont aussi victimes de VBG, notamment de violences sexuelles", a-t-elle conclu.
Jbm