Dans le cadre du projet, « Initiative conjointe du Fonds fiduciaire de l’Union européenne (UE) – OIM (FFUE) pour la protection et la réintégration de migrants en Côte d’Ivoire », le nouvel ambassadeur de l’UE Jobst Von Kirchmann s’est rendu à Azaguié-Ahoua (40 Km d’Abidjan) dans la matinée du vendredi 7 février, pour s’imprégner de l’évolution du projet de réintégration de 50 migrants exécuté par le Groupe écoles 2IAE.
C’est à la tête d’une délégation de 18 personnes du groupe Afrique de l’UE que Jobst Von Kirchmann a procédé à la visite de terrain pour le suivi évaluation du projet de réintégration des migrants OIM- 2IAE qui se tient au centre d’incubation de l’université de l’entreprenariat 2IAE d’Azaguié.
Il a été ravi de constater que l’UE donne les moyens aux jeunes ex-migrants à travers cette formation en agriculture, élevage et bâtiment. Il a estimé que c’est important qu’on donne les moyens aux jeunes pour qu’ils prennent leur destin en main. Dans le cadre dudit projet, l’ambassadeur Jobst Von Kirchmann s’est dit fortement impressionné par les résultats constatés.
Il a toutefois insisté sur le fait que les actions ne doivent pas se limiter à la formation mais plutôt à la production, cette initiative pour lui permettra de mobiliser les jeunes en leur donnant des moyens qui les responsabiliseront et les rendront autonomes. Selon lui c’est une grande chance qui s’offre à cette jeunesse. Pour la fin, il rassure que la continuité sera assurée et que la jeunesse peut compter sur les appuis de son institution.
Il y’a six mois de cela que le groupe 2IAE a reçu la formation de cinquante ex- migrants dont 15 ont eu en charge la production de 50 hectares de pépinières de cacao, palmier et de banane plantain. 15 en ce qui concerne la production animale ayant en charge la production de volaille dont 3 fermes d’une capacité de 1000 têtes par ferme et 20 formés dans les métiers du bâtiment, qui sont tous en phase d’installation.
Selon le formateur Séraphin KOUA, PDG du groupe 2IAE, il est important de signifier que l’objectif principal est de freiner l’immigration irrégulière en favorisant l’insertion des jeunes ivoiriens à travers ces actions citées précédemment. Les maires de communes et l’Agence emploi jeune y ont été associés pour accompagner le processus de réinsertion des ex migrants.
« A cette étape partielle, il est important de dire que le bilan des actions menées est largement positif dans la mesure où les mentalités ont changé et que l’espoir renaît dans l’esprit de ces jeunes qui ont retrouvé une seconde chance à travers ces projets réalisés », s’est-il réjoui.
Par ailleurs, cette journée très qualitative selon Lavinia PRATI, Chargée de réintégration à l’OIM, a permis de montrer le succès de toutes les actions menées par l’UE, le groupe 2IAE et tous les partenaires associés. C’est un bel exemple de partenariat public-privé.
Elle n’a pas manqué de dire que la visite de terrain a permis de mettre en visu les difficultés existantes qui ont toutefois été surmontées.
Tous les acteurs impliqués dans la réalisation de ce projet de réintégration de 50 migrants sont satisfaits des résultats atteints, à l’instar du témoignage d’une bénéficiaire Maïmouna Diarrassouba qui est prête à inculquer cette formation en production végétale qu’elle a si bien assimilé, à d’autres migrants qui opteraient comme elle pour le retour volontaire.
JOB
C’est à la tête d’une délégation de 18 personnes du groupe Afrique de l’UE que Jobst Von Kirchmann a procédé à la visite de terrain pour le suivi évaluation du projet de réintégration des migrants OIM- 2IAE qui se tient au centre d’incubation de l’université de l’entreprenariat 2IAE d’Azaguié.
Il a été ravi de constater que l’UE donne les moyens aux jeunes ex-migrants à travers cette formation en agriculture, élevage et bâtiment. Il a estimé que c’est important qu’on donne les moyens aux jeunes pour qu’ils prennent leur destin en main. Dans le cadre dudit projet, l’ambassadeur Jobst Von Kirchmann s’est dit fortement impressionné par les résultats constatés.
Il a toutefois insisté sur le fait que les actions ne doivent pas se limiter à la formation mais plutôt à la production, cette initiative pour lui permettra de mobiliser les jeunes en leur donnant des moyens qui les responsabiliseront et les rendront autonomes. Selon lui c’est une grande chance qui s’offre à cette jeunesse. Pour la fin, il rassure que la continuité sera assurée et que la jeunesse peut compter sur les appuis de son institution.
Il y’a six mois de cela que le groupe 2IAE a reçu la formation de cinquante ex- migrants dont 15 ont eu en charge la production de 50 hectares de pépinières de cacao, palmier et de banane plantain. 15 en ce qui concerne la production animale ayant en charge la production de volaille dont 3 fermes d’une capacité de 1000 têtes par ferme et 20 formés dans les métiers du bâtiment, qui sont tous en phase d’installation.
Selon le formateur Séraphin KOUA, PDG du groupe 2IAE, il est important de signifier que l’objectif principal est de freiner l’immigration irrégulière en favorisant l’insertion des jeunes ivoiriens à travers ces actions citées précédemment. Les maires de communes et l’Agence emploi jeune y ont été associés pour accompagner le processus de réinsertion des ex migrants.
« A cette étape partielle, il est important de dire que le bilan des actions menées est largement positif dans la mesure où les mentalités ont changé et que l’espoir renaît dans l’esprit de ces jeunes qui ont retrouvé une seconde chance à travers ces projets réalisés », s’est-il réjoui.
Par ailleurs, cette journée très qualitative selon Lavinia PRATI, Chargée de réintégration à l’OIM, a permis de montrer le succès de toutes les actions menées par l’UE, le groupe 2IAE et tous les partenaires associés. C’est un bel exemple de partenariat public-privé.
Elle n’a pas manqué de dire que la visite de terrain a permis de mettre en visu les difficultés existantes qui ont toutefois été surmontées.
Tous les acteurs impliqués dans la réalisation de ce projet de réintégration de 50 migrants sont satisfaits des résultats atteints, à l’instar du témoignage d’une bénéficiaire Maïmouna Diarrassouba qui est prête à inculquer cette formation en production végétale qu’elle a si bien assimilé, à d’autres migrants qui opteraient comme elle pour le retour volontaire.
JOB