Dans le cadre des rencontres avec les entreprises, en vue d’informer leurs dirigeants de la reprise imminente de la deuxième phase pilote du programme VOC, prévue le vendredi 15 février 2019, le Directeur Général du Commerce Extérieur, Kaladji Fadiga, a échangé avec les adhérents à la Chambre de commerce et d’industrie française en Côte d’Ivoire (CCIFCI).
Après une présentation du Directeur de la régulation et des échanges, Cissé Inza, qui portait sur les différentes mesures arrêtées en vue de l’amélioration du programme avant sa reprise, le DG Kaladji Fadiga s’est félicité des mesures arrêtées au cours de la suspension, en vue de l’amélioration du programme VOC. « Le temps d’arrêt nous a permis d’analyser plusieurs petits problèmes, afin d’améliorer davantage, le programme VOC dans sa nouvelle phase. A la clef, 25 mesures ont été prises, dont 15 tout récemment pour encore alléger véritablement le programme et le rendre plus performant, surtout en termes de réduction du temps de traitement et du coût », a-t-il indiqué à l’endroit des adhérents à la Chambre de commerce et d’industrie française en Côte d’Ivoire.
S’attardant sur le coût, il a informé ses hôtes que pour la nouvelle phase, le contrôle de la conformité est passé de 375 Euros+20 Euros, soit environ 245.000 Fcfa plus 13.000 Fcfa, par ligne supplémentaire, à 275 Euros, soit environ 180.000 Fcfa. Puis, il a fait savoir que la liste des produits exigés par décret et soumis au programme VOC a été révisée, en vue de répondre aux plaintes émises par les acteurs du secteur privé. Ainsi, l’on est passé de 3.811 à 2.861 lignes de produits, soit un gap de 950 lignes. Mieux, Monsieur Kaladji Fadiga a rappelé que les importateurs bénéficiaient désormais de l’exemption des envois express du programme VOC.
Selon le Directeur Général de la Chambre de commerce et d’industrie française en Côte d’Ivoire, Jean-Louis Giacometti, 57% des adhérents de la CCIFCI pensent que le programme VOC est important pour l’évolution de leurs entreprises. Pour sa part, le vice-président de cette chambre, Chaudron Hervé, a noté que « le programme VOC suscite plus que de l’intérêt, mais assez d’inquiétudes » et a invité les autorités du ministère en charge du Commerce à rassurer davantage les importateurs.
Faut-il le rappeler, le VOC est un programme de vérification de la conformité des marchandises importées avant embarquement à destination de la Côte d’Ivoire. Il contribue à faciliter les échanges, réduire les possibilités de fraude, de contrefaçon dans les opérations d’importation et à améliorer la sécurité et la qualité des marchandises importées conformément aux normes et spécifications ivoiriennes.
Après la fin du Programme de vérification à l’importation (PIV) depuis le 30 juin 2013, le programme VOC a démarré le 16 juillet 2018 avec une première phase pilote qui a duré trois mois. Au cours de cette phase, beaucoup de certificats ont été émis. A la clef, de 38 certificats à la première semaine, le programme a enregistré 874 certificats la dernière semaine avant sa suspension en octobre 2018. Elle entrera dans sa deuxième phase le vendredi 15 février 2019, avec un élargissement du contrôle aux frontières terrestres
Après une présentation du Directeur de la régulation et des échanges, Cissé Inza, qui portait sur les différentes mesures arrêtées en vue de l’amélioration du programme avant sa reprise, le DG Kaladji Fadiga s’est félicité des mesures arrêtées au cours de la suspension, en vue de l’amélioration du programme VOC. « Le temps d’arrêt nous a permis d’analyser plusieurs petits problèmes, afin d’améliorer davantage, le programme VOC dans sa nouvelle phase. A la clef, 25 mesures ont été prises, dont 15 tout récemment pour encore alléger véritablement le programme et le rendre plus performant, surtout en termes de réduction du temps de traitement et du coût », a-t-il indiqué à l’endroit des adhérents à la Chambre de commerce et d’industrie française en Côte d’Ivoire.
S’attardant sur le coût, il a informé ses hôtes que pour la nouvelle phase, le contrôle de la conformité est passé de 375 Euros+20 Euros, soit environ 245.000 Fcfa plus 13.000 Fcfa, par ligne supplémentaire, à 275 Euros, soit environ 180.000 Fcfa. Puis, il a fait savoir que la liste des produits exigés par décret et soumis au programme VOC a été révisée, en vue de répondre aux plaintes émises par les acteurs du secteur privé. Ainsi, l’on est passé de 3.811 à 2.861 lignes de produits, soit un gap de 950 lignes. Mieux, Monsieur Kaladji Fadiga a rappelé que les importateurs bénéficiaient désormais de l’exemption des envois express du programme VOC.
Selon le Directeur Général de la Chambre de commerce et d’industrie française en Côte d’Ivoire, Jean-Louis Giacometti, 57% des adhérents de la CCIFCI pensent que le programme VOC est important pour l’évolution de leurs entreprises. Pour sa part, le vice-président de cette chambre, Chaudron Hervé, a noté que « le programme VOC suscite plus que de l’intérêt, mais assez d’inquiétudes » et a invité les autorités du ministère en charge du Commerce à rassurer davantage les importateurs.
Faut-il le rappeler, le VOC est un programme de vérification de la conformité des marchandises importées avant embarquement à destination de la Côte d’Ivoire. Il contribue à faciliter les échanges, réduire les possibilités de fraude, de contrefaçon dans les opérations d’importation et à améliorer la sécurité et la qualité des marchandises importées conformément aux normes et spécifications ivoiriennes.
Après la fin du Programme de vérification à l’importation (PIV) depuis le 30 juin 2013, le programme VOC a démarré le 16 juillet 2018 avec une première phase pilote qui a duré trois mois. Au cours de cette phase, beaucoup de certificats ont été émis. A la clef, de 38 certificats à la première semaine, le programme a enregistré 874 certificats la dernière semaine avant sa suspension en octobre 2018. Elle entrera dans sa deuxième phase le vendredi 15 février 2019, avec un élargissement du contrôle aux frontières terrestres