Une plateforme des fonctionnaires et agents de l'Etat de Côte d'Ivoire, dans une motion remise aux autorités préfectorales de Daoukro, plaide pour la levée de sanctions contre les enseignants membres de la Coordination des enseignants-chercheurs de Côte d'Ivoire (CNEC).
Deux enseignants de l’université Félix Houphouët-Boigny de Cocody dont le porte-parole de la CNEC ont été syndicalistes Johnson Kouassi Zamina, accusés d’avoir perturbé les cours, ont été transférés mardi à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA), selon une source syndicale, rappelle-t-on.
Dans la motion lue vendredi en présence des secrétaires généraux de préfecture et du commissaire de police et du commandant de la compagnie de gendarmerie de Daoukro, le président de la plateforme, Yao Kouamé François, locale qui a lu la motion, estimant que leur interpellation met à mal la trêve sociale, gage d'une paix durable, souhaite leur libération et la levée de toutes les sanctions à l’encontre des deux syndicalistes membres de la CNEC.
Au nom du préfet de région, préfet du département de Daoukro, Tanrah Doh Jacob, secrétaire général de préfecture, a remercié la plateforme locale et promis qu'un compte rendu fidèle sera fait à sa hiérarchie.
"Vous avez décidé de déposer sans violence votre motion à la préfecture. Je vous rassure que cette motion sera transmise à qui de droit. Nous apprécions cette démarche parce qu'elle est sans heurts, sans agressions. Nous vous remercions pour cette attitude, gage de paix et de la sécurité", a-t-il dit.
Deux enseignants de l’université Félix Houphouët-Boigny de Cocody dont le porte-parole de la CNEC ont été syndicalistes Johnson Kouassi Zamina, accusés d’avoir perturbé les cours, ont été transférés mardi à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA), selon une source syndicale, rappelle-t-on.
Dans la motion lue vendredi en présence des secrétaires généraux de préfecture et du commissaire de police et du commandant de la compagnie de gendarmerie de Daoukro, le président de la plateforme, Yao Kouamé François, locale qui a lu la motion, estimant que leur interpellation met à mal la trêve sociale, gage d'une paix durable, souhaite leur libération et la levée de toutes les sanctions à l’encontre des deux syndicalistes membres de la CNEC.
Au nom du préfet de région, préfet du département de Daoukro, Tanrah Doh Jacob, secrétaire général de préfecture, a remercié la plateforme locale et promis qu'un compte rendu fidèle sera fait à sa hiérarchie.
"Vous avez décidé de déposer sans violence votre motion à la préfecture. Je vous rassure que cette motion sera transmise à qui de droit. Nous apprécions cette démarche parce qu'elle est sans heurts, sans agressions. Nous vous remercions pour cette attitude, gage de paix et de la sécurité", a-t-il dit.