Soubré - Au total, 28 nouveaux cas de lèpre, dont quatre enfants de moins de 15 ans et 12 femmes, ont été dépistés dans la région de la Nawa.
L’information a été donnée par le directeur départemental de la santé, Dr Zoni Kouakeu Patrice, lors de la célébration de la 66 ème journée mondiale des lépreux à Soubré, dimanche, au district sanitaire de la ville.
Selon le directeur départemental de la santé de Soubré, Dr Zoni Kouakeu Patrice en 2018, le district sanitaire, qui couvrait les départements de Soubré, Buyo, Guéyo et Méagui, a dépisté au total 28 nouveaux cas de lèpre dont quatre enfants de moins de 15 ans et 12 femmes, contre 35 cas en 2017. Ce qui donne un taux de prévalence de 5,2 pour 100 000 habitants avec deux enfants et 18 femmes.
Cette tendance à la baisse du nombre de cas est le fruit des stratégies qui ont été mises en place dans le district sanitaire pour traquer cette maladie classée parmi les pathologies négligées, a-t-il expliqué.
« C’est pourquoi, j’invite les populations à se faire dépister le plus tôt possible pour espérer une guérison totale, par une prise en charge gratuite en cas d’infection. Si vous avez des taches, rendez-vous dans un centre de santé », a conseillé le directeur départemental, non sans mettre l’assistance en garde contre la recrudescence de certaines maladies graves de la peau notamment l’ulcère de burili, la dépigmentation et autres.
km/kkf/fmo
L’information a été donnée par le directeur départemental de la santé, Dr Zoni Kouakeu Patrice, lors de la célébration de la 66 ème journée mondiale des lépreux à Soubré, dimanche, au district sanitaire de la ville.
Selon le directeur départemental de la santé de Soubré, Dr Zoni Kouakeu Patrice en 2018, le district sanitaire, qui couvrait les départements de Soubré, Buyo, Guéyo et Méagui, a dépisté au total 28 nouveaux cas de lèpre dont quatre enfants de moins de 15 ans et 12 femmes, contre 35 cas en 2017. Ce qui donne un taux de prévalence de 5,2 pour 100 000 habitants avec deux enfants et 18 femmes.
Cette tendance à la baisse du nombre de cas est le fruit des stratégies qui ont été mises en place dans le district sanitaire pour traquer cette maladie classée parmi les pathologies négligées, a-t-il expliqué.
« C’est pourquoi, j’invite les populations à se faire dépister le plus tôt possible pour espérer une guérison totale, par une prise en charge gratuite en cas d’infection. Si vous avez des taches, rendez-vous dans un centre de santé », a conseillé le directeur départemental, non sans mettre l’assistance en garde contre la recrudescence de certaines maladies graves de la peau notamment l’ulcère de burili, la dépigmentation et autres.
km/kkf/fmo