Abidjan- La Fondation Merk veut briser la stigmatisation de la femme, fait savoir son président directeur général, Dr Rasha Kelej, à l'occasion de la célébration de la journée internationale de la femme.
"Nous souhaitons saisir cette occasion, alors que nous célébrons la Journée Internationale de la Femme, pour rappeler à toutes les femmes qu'elles ne sont pas que des mères et qu'elles sont des membres précieux de la société, qu'elles puissent ou non avoir des enfants. Il est très triste d'apprendre que les femmes continuent d'être maltraitées et soumises à la violence, en raison de leur incapacité à avoir des enfants. Ceci est inacceptable et doit être changé", a déclaré Dr Rasha Kelej dans un communiqué parvenu vendredi à l’AIP.
Selon lui, dans de nombreuses cultures africaines, l'infertilité est un stigmate énorme et les femmes en sont les seules victimes qui souffrent de discrimination et de violences, bien que 50% des cas d'infertilité soient dus à l'infertilité masculine.
Pour lui, il est absolument nécessaire de créer un changement de culture pour respecter les femmes, qu'elles soient mères ou non, encourager les hommes à parler de leur infertilité et soutenir leurs femmes pendant le parcours du traitement.
La fondation Merk travaille donc avec des partenaires telles que les premières dames d’Afrique pour créer ce changement de culture et aider les femmes infertiles à être autonomes en améliorant l’accès à l’information, à la santé, au changement de mentalité.
sdaf/ask
"Nous souhaitons saisir cette occasion, alors que nous célébrons la Journée Internationale de la Femme, pour rappeler à toutes les femmes qu'elles ne sont pas que des mères et qu'elles sont des membres précieux de la société, qu'elles puissent ou non avoir des enfants. Il est très triste d'apprendre que les femmes continuent d'être maltraitées et soumises à la violence, en raison de leur incapacité à avoir des enfants. Ceci est inacceptable et doit être changé", a déclaré Dr Rasha Kelej dans un communiqué parvenu vendredi à l’AIP.
Selon lui, dans de nombreuses cultures africaines, l'infertilité est un stigmate énorme et les femmes en sont les seules victimes qui souffrent de discrimination et de violences, bien que 50% des cas d'infertilité soient dus à l'infertilité masculine.
Pour lui, il est absolument nécessaire de créer un changement de culture pour respecter les femmes, qu'elles soient mères ou non, encourager les hommes à parler de leur infertilité et soutenir leurs femmes pendant le parcours du traitement.
La fondation Merk travaille donc avec des partenaires telles que les premières dames d’Afrique pour créer ce changement de culture et aider les femmes infertiles à être autonomes en améliorant l’accès à l’information, à la santé, au changement de mentalité.
sdaf/ask