Loin de rester silencieux sur la rumeur de présence de riz avarié au port d’Abidjan, le Ministère en charge du Commerce est monté au créneau, le mardi 19 mars 2019. « Nous avons été alertés le 11 mars 2019, de l’arrivée d’un bateau en venant de la Guinée via Lomé qui contenait une cargaison de 18 000 tonnes de riz en provenance de la Birmanie et de l’Inde », a indiqué le Directeur général du Commerce extérieur (DGCE), Kaladji Fadiga, qui venait d’achever, en compagnie du Directeur général du Commerce intérieur, Aimé Koizan, une visite de l’entrepôt où la cargaison du riz a été mise sous surveillance.
Selon Monsieur Fadiga, un échantillon de ce riz a été prélevé le 12 mars 2019 et a été acheminé vers des laboratoires pour analyse. « Les résultats seront à notre disposition dans une semaine. Ce sont des tests assez avancés. Certains d’entre eux seront faits dans des laboratoires accrédités à l’extérieur de la Côte d’Ivoire », a-t-il précisé.
Par la suite, le Directeur général du Commerce extérieur a rassuré : « comme vous l’avez constaté, cette cargaison est encore sous douane. Elle n’est pas encore sortie de cette zone, ni de la zone portuaire. Par conséquent, ce riz ne peut pas se retrouver dans le commerce. Débarquer le produit en Côte d’Ivoire ne veut pas forcément dire qu’il sera automatiquement consommé », a-t-il précisé. Mieux, il soutient que ce n’est pas la première fois que du riz provienne de la Birmanie. Ainsi, compte tenu du besoin en riz de la Côte d’Ivoire, le pays en importe chaque année, un peu plus de 1 300 000 tonnes, de plusieurs pays asiatique dont la Birmanie.
Faut-il le rappeler, il y a trois ans, les services du Ministère en charge du Commerce avaient été alertés par Africa Rice sur du riz en provenance de la zone asiatique. Des mesures conservatoires avaient alors été prises et les contrôles renforcés.
« Depuis lors, nous avons maintenu ces mesures conservatoires. Mieux, avec le programme de vérification de conformité (VOC) qui est rentré en vigueur le 15 février dernier, 2 811 produits de grande consommation seront soumis au contrôle avant embarquement », a indiqué Kaladji Fadiga. Puis, d’ajouter qu’en plus du riz, le Gouvernement prend des mesures pour s’assurer que tous les produits de grande consommation soient soumis à des contrôles rigoureux.
Selon Monsieur Fadiga, un échantillon de ce riz a été prélevé le 12 mars 2019 et a été acheminé vers des laboratoires pour analyse. « Les résultats seront à notre disposition dans une semaine. Ce sont des tests assez avancés. Certains d’entre eux seront faits dans des laboratoires accrédités à l’extérieur de la Côte d’Ivoire », a-t-il précisé.
Par la suite, le Directeur général du Commerce extérieur a rassuré : « comme vous l’avez constaté, cette cargaison est encore sous douane. Elle n’est pas encore sortie de cette zone, ni de la zone portuaire. Par conséquent, ce riz ne peut pas se retrouver dans le commerce. Débarquer le produit en Côte d’Ivoire ne veut pas forcément dire qu’il sera automatiquement consommé », a-t-il précisé. Mieux, il soutient que ce n’est pas la première fois que du riz provienne de la Birmanie. Ainsi, compte tenu du besoin en riz de la Côte d’Ivoire, le pays en importe chaque année, un peu plus de 1 300 000 tonnes, de plusieurs pays asiatique dont la Birmanie.
Faut-il le rappeler, il y a trois ans, les services du Ministère en charge du Commerce avaient été alertés par Africa Rice sur du riz en provenance de la zone asiatique. Des mesures conservatoires avaient alors été prises et les contrôles renforcés.
« Depuis lors, nous avons maintenu ces mesures conservatoires. Mieux, avec le programme de vérification de conformité (VOC) qui est rentré en vigueur le 15 février dernier, 2 811 produits de grande consommation seront soumis au contrôle avant embarquement », a indiqué Kaladji Fadiga. Puis, d’ajouter qu’en plus du riz, le Gouvernement prend des mesures pour s’assurer que tous les produits de grande consommation soient soumis à des contrôles rigoureux.