Le taux de prévalence du diabète en Côte d’Ivoire, en fin 2017 est passé de 5,7 % à 6,2 %, soit plus de 700.000 personnes atteintes en Côte d’Ivoire a appris abidjan.net sur place à Abidjan. C’était à l’occasion de la cérémonie d’ouverture d’un atelier de restitution de l’enquête sur la prévalence et les caractéristiques du diabète qui s’est ouvert ce jeudi 21 mars à Abidjan.
Près de la moitié des décès dus à l’hyperglycémie surviennent avant l’âge de 70 ans. L’OMS prévoit qu’en 2030, le diabète sera la 7è cause de décès dans le monde. Dans le souci de pallier ces insuffisances en Côte d’Ivoire, le Programme National de Lutte contre les Maladies Métaboliques et de Prévention, des Maladies Non Transmissibles ( PNLMM/PMNT) a coordonné une enquête nationale en 2017. Les résultats de cette enquête ont donné de constater que le taux de prévalence nationale, en ce qui concerne le diabète, est de 6,2 % pendant que l’hypertension enregistre un taux qui dépasse les 39 %.
Selon Dr Adoueni Katché Valéry, directeur coordinateur du Programme national de lutte contre les maladies métaboliques (PNLMM), ce taux de prévalence nationale démontre bien un vrai problème de santé en Côte d’Ivoire. Pour lui cela est dû aussi au dynamique de la médecine moderne qui a fixé le seuil du taux de glycémie à 1,26 grammes. Car << les recherches ont montré que les patients qui étaient à 1,4 grammes, et même en dessous faisaient des complications.
Quand le seuil baisse, il va de soi que le nombre de malades va aussi augmenter de façon concomitante >>, a-t-il expliqué. À en croire Dr Adoueni Katché Valéry, les facteurs qui causent le diabète sont nombreux. C’est pourquoi, il a donné quelques petits conseils d’usage aux populations. Pour lui, elles devraient surveiller leur ligne nutritionnelle, faire le sport…
Bien avant, Clovis Konan, des unités de coordination des projets de la santé de la Banque Mondiale a réitéré le soutien de la Banque Mondiale à accompagner les recherches dans le sens d’un bien-être des communautés. Pour les organisateurs, des recommandations appropriées seront formulées relativement aux résultats. Lesquelles recommandations qui seront remises au ministère en charge de la Santé et de l’hygiène publique.
Notons que le Programme National de Lutte contre les Maladies Métaboliques et de Prévention des Maladies Non Transmissibles (PNLMM/PMNT) a pour mission de contribuer à la réduction de l’impact des maladies métaboliques (diabète, HTA, hyperlipidémie, obésité et dysthyroïdies) par des activités de type essentiellement curatif, de recherche et promotionnelle de prévention.
CK
Près de la moitié des décès dus à l’hyperglycémie surviennent avant l’âge de 70 ans. L’OMS prévoit qu’en 2030, le diabète sera la 7è cause de décès dans le monde. Dans le souci de pallier ces insuffisances en Côte d’Ivoire, le Programme National de Lutte contre les Maladies Métaboliques et de Prévention, des Maladies Non Transmissibles ( PNLMM/PMNT) a coordonné une enquête nationale en 2017. Les résultats de cette enquête ont donné de constater que le taux de prévalence nationale, en ce qui concerne le diabète, est de 6,2 % pendant que l’hypertension enregistre un taux qui dépasse les 39 %.
Selon Dr Adoueni Katché Valéry, directeur coordinateur du Programme national de lutte contre les maladies métaboliques (PNLMM), ce taux de prévalence nationale démontre bien un vrai problème de santé en Côte d’Ivoire. Pour lui cela est dû aussi au dynamique de la médecine moderne qui a fixé le seuil du taux de glycémie à 1,26 grammes. Car << les recherches ont montré que les patients qui étaient à 1,4 grammes, et même en dessous faisaient des complications.
Quand le seuil baisse, il va de soi que le nombre de malades va aussi augmenter de façon concomitante >>, a-t-il expliqué. À en croire Dr Adoueni Katché Valéry, les facteurs qui causent le diabète sont nombreux. C’est pourquoi, il a donné quelques petits conseils d’usage aux populations. Pour lui, elles devraient surveiller leur ligne nutritionnelle, faire le sport…
Bien avant, Clovis Konan, des unités de coordination des projets de la santé de la Banque Mondiale a réitéré le soutien de la Banque Mondiale à accompagner les recherches dans le sens d’un bien-être des communautés. Pour les organisateurs, des recommandations appropriées seront formulées relativement aux résultats. Lesquelles recommandations qui seront remises au ministère en charge de la Santé et de l’hygiène publique.
Notons que le Programme National de Lutte contre les Maladies Métaboliques et de Prévention des Maladies Non Transmissibles (PNLMM/PMNT) a pour mission de contribuer à la réduction de l’impact des maladies métaboliques (diabète, HTA, hyperlipidémie, obésité et dysthyroïdies) par des activités de type essentiellement curatif, de recherche et promotionnelle de prévention.
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