Le Centre féminin pour la démocratie et les droits humains en Côte d'Ivoire (CEFCI), une ONG active dans la protection des femmes à Niakara (Centre-Nord, région du Hambol), a organisé samedi à son siège, un atelier de renforcement de capacités des acteurs locaux sur les Droits de la femme.
Relevant l'inaliénabilité des droits humains et surtout la conformité entre les droits des femmes et ceux des hommes, la présidente du CEFCI, Julie Koné, a indiqué que les femmes et les filles doivent pouvoir bénéficier du pleine exercice de tous les droits humains dans l'égalité et être à l'abri de toutes formes de discrimination.
"Les droits des femmes et des filles sont des droits humains. Ils couvrent tous les aspects de la vie : santé, éducation, participation politique, bien-être économique, absence de violence et bien d'autres encore" a-t-elle souligné, appelant au respect strict des droits humains en général et particulièrement de ceux des femmes.
Mme Julie Koné s'exprimait en présence des autorités politiques, administratives locales et de l'ensemble des acteurs clés du projet de lutte contre les VBG, à une rencontre présidée par le préfet de Niakara, Mme Maténin Ouattara.
Saluant l'initiative et surtout l'opportunité de cette formation sur les Droits de la femme, le préfet a fait savoir que le développement et l'émergence de la Côte d'Ivoire "reste tributaire de la bonne santé physique, morale et économique des femmes et des jeunes filles". Elle a félicité et encouragé le CEFCI à endiguer les VBG.
(AIP)
jbm/cmas
Relevant l'inaliénabilité des droits humains et surtout la conformité entre les droits des femmes et ceux des hommes, la présidente du CEFCI, Julie Koné, a indiqué que les femmes et les filles doivent pouvoir bénéficier du pleine exercice de tous les droits humains dans l'égalité et être à l'abri de toutes formes de discrimination.
"Les droits des femmes et des filles sont des droits humains. Ils couvrent tous les aspects de la vie : santé, éducation, participation politique, bien-être économique, absence de violence et bien d'autres encore" a-t-elle souligné, appelant au respect strict des droits humains en général et particulièrement de ceux des femmes.
Mme Julie Koné s'exprimait en présence des autorités politiques, administratives locales et de l'ensemble des acteurs clés du projet de lutte contre les VBG, à une rencontre présidée par le préfet de Niakara, Mme Maténin Ouattara.
Saluant l'initiative et surtout l'opportunité de cette formation sur les Droits de la femme, le préfet a fait savoir que le développement et l'émergence de la Côte d'Ivoire "reste tributaire de la bonne santé physique, morale et économique des femmes et des jeunes filles". Elle a félicité et encouragé le CEFCI à endiguer les VBG.
(AIP)
jbm/cmas