Après cinq ans de mise en œuvre, le projet ISPEC (Improved HIV/Aids Surveillance and Program Evaluation in Côte d’Ivoire) prend fin le 31 mars 2019.
A cet effet, le ministère de la santé et de l’hygiène publique à travers le Programme National de Lutte contre le Sida (PNLS) en collaboration avec FHI 360 a organisé ce mercredi 27 mars, avec l’appui technique et financier de CDC, un atelier de partage des acquis et d’échanges sur les perspectives pour la pérennisation de ces acquis obtenus par le système de santé ivoirien.
Pour rappel, afin de mesure l’impact des interventions et de prise en charge des personnes infectées et affectées par le VIH/sida et de disposer des données fiables pour la prise de décisions basées sur l’évidence, CDC/PEPFAR a initié le projet ISPEC mis en œuvre par le FHI 360, pour renforcer la production des données de surveillance et évaluer les programmes bénéficiant du financement PEPFAR.
Pour mener à bien sa mission, ISPEC a travaillé en étroite collaboration avec trois structures du ministère de la santé et de l’hygiène publique, à savoir la Direction de l’Informatique et de l’Information Sanitaire (DIIS), la Direction de la Prospective, de la Planification et des Stratégies (DPPS) et le PNLS.
L’objectif de cet atelier était donc de partager les réalisations majeures à travers l’appui du projet ISPEC de 2013 à 2019. Plus précisément, présenter les résultats principaux des onze études réalisées dans le cadre de la mise en œuvre du projet, partager les principaux acquis et discuter pour la pérennisation de ces acquis.
A en croire Dr Koné Blaise, Directeur général adjoint de la santé chargé de l’hygiène publique, tous ces résultats vont être capitalisés par le PNLS et à travers lui tout le ministère pour atteindre dans les meilleurs délais, les objectifs assignés à la lutte contre le sida, c’est-à-dire les 90 90 90 d’ici 2020. « Ces résultats vont nous permettre de renforcer la lutte contre le sida en Côte d’Ivoire » a-t-il promis.
Après l’ouverture, chaque structure ayant bénéficié d’un appui dans le cadre du projet a présenté ses résultats aux partenaires techniques et financiers. Résultats qui ont été consignés dans des livrables, remis aux participants à la fin du séminaire.
Notons que le projet a également bénéficié du soutien technique de l’institut national de la statistique, notamment dans le processus d’élaboration des protocoles d’études et de leur mise en œuvre
La Côte d’Ivoire fait partie des pays les plus touchés par le VIH dans la région d’Afrique de l’Ouest avec une séroprévalence qui est passée de 4,7% en 2005 à 2,5% en 2018 dans la population générale.
PR
A cet effet, le ministère de la santé et de l’hygiène publique à travers le Programme National de Lutte contre le Sida (PNLS) en collaboration avec FHI 360 a organisé ce mercredi 27 mars, avec l’appui technique et financier de CDC, un atelier de partage des acquis et d’échanges sur les perspectives pour la pérennisation de ces acquis obtenus par le système de santé ivoirien.
Pour rappel, afin de mesure l’impact des interventions et de prise en charge des personnes infectées et affectées par le VIH/sida et de disposer des données fiables pour la prise de décisions basées sur l’évidence, CDC/PEPFAR a initié le projet ISPEC mis en œuvre par le FHI 360, pour renforcer la production des données de surveillance et évaluer les programmes bénéficiant du financement PEPFAR.
Pour mener à bien sa mission, ISPEC a travaillé en étroite collaboration avec trois structures du ministère de la santé et de l’hygiène publique, à savoir la Direction de l’Informatique et de l’Information Sanitaire (DIIS), la Direction de la Prospective, de la Planification et des Stratégies (DPPS) et le PNLS.
L’objectif de cet atelier était donc de partager les réalisations majeures à travers l’appui du projet ISPEC de 2013 à 2019. Plus précisément, présenter les résultats principaux des onze études réalisées dans le cadre de la mise en œuvre du projet, partager les principaux acquis et discuter pour la pérennisation de ces acquis.
A en croire Dr Koné Blaise, Directeur général adjoint de la santé chargé de l’hygiène publique, tous ces résultats vont être capitalisés par le PNLS et à travers lui tout le ministère pour atteindre dans les meilleurs délais, les objectifs assignés à la lutte contre le sida, c’est-à-dire les 90 90 90 d’ici 2020. « Ces résultats vont nous permettre de renforcer la lutte contre le sida en Côte d’Ivoire » a-t-il promis.
Après l’ouverture, chaque structure ayant bénéficié d’un appui dans le cadre du projet a présenté ses résultats aux partenaires techniques et financiers. Résultats qui ont été consignés dans des livrables, remis aux participants à la fin du séminaire.
Notons que le projet a également bénéficié du soutien technique de l’institut national de la statistique, notamment dans le processus d’élaboration des protocoles d’études et de leur mise en œuvre
La Côte d’Ivoire fait partie des pays les plus touchés par le VIH dans la région d’Afrique de l’Ouest avec une séroprévalence qui est passée de 4,7% en 2005 à 2,5% en 2018 dans la population générale.
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