Abidjan- L’Union européenne (UE) a présenté vendredi, à Abidjan, les résultats de l’évaluation finale du projet d’appui à la redynamisation du secteur de la santé ivoirien (PARSSI), mis en œuvre il y a un peu plus de cinq ans.
« Le programme a permis l’amélioration de la qualité de l’offre de soins. Le PARSSI a apporté une importante contribution au renforcement du système pharmaceutique national dans sa globalité. Le PARSSI a contribué à restaurer la confiance dans les structures de soins et améliorer l’accessibilité des soins et services (accouchements, vaccinations, consultations prénatales, consultations curatives…) », a indiqué l’ordonnateur national suppléant du Fonds européen de développement (FED), Semon Bamba.
Financé par l’UE à hauteur d’environ 10 milliards de FCFA, le PARSSI a permis de mettre aux normes les centre hospitaliers régionaux (CHR) de San Pedro et de Man ainsi que 52 établissements publics de premier contact, de rénover, d’équiper et d’approvisionner en médicaments essentiels 49 autres.
Treize véhicules de supervision de type 4x4 et 16 ambulances médicalisées ont été mis à la disposition des centres concernés. Le projet a aussi permis la construction et l’équipement du premier centre de référence de lutte contre le virus Ebola au CHU de Treichville, pour un coût de 188 millions de FCFA.
« A l’aune de tous ces importants résultats, je peux, sans risque de me tromper, affirmer que le PARSSI a été novateur, en ce sens qu’il a permis de jeter les bases de certaines réformes du système de la santé sur lesquelles d’autres PTF (partenaires techniques et financiers) se sont engagés. J’ose espérer que l’UE continuera d’accorder une bienveillante attention à la problématique de la santé », a déclaré M. Bamba.
Le bilan des acquis du PARSSI a été dressé en vue de les capitaliser et d’assurer la pérennisation de l’appui à la santé.
A travers la convention de financement du 10e FED, le PARSSI a été mis en œuvre dans les régions sanitaires du Gbêkê, du Tonpki, des Grands-Ponts, du Gboklê, de la Nawa et de San Pedro.
ena/kp
« Le programme a permis l’amélioration de la qualité de l’offre de soins. Le PARSSI a apporté une importante contribution au renforcement du système pharmaceutique national dans sa globalité. Le PARSSI a contribué à restaurer la confiance dans les structures de soins et améliorer l’accessibilité des soins et services (accouchements, vaccinations, consultations prénatales, consultations curatives…) », a indiqué l’ordonnateur national suppléant du Fonds européen de développement (FED), Semon Bamba.
Financé par l’UE à hauteur d’environ 10 milliards de FCFA, le PARSSI a permis de mettre aux normes les centre hospitaliers régionaux (CHR) de San Pedro et de Man ainsi que 52 établissements publics de premier contact, de rénover, d’équiper et d’approvisionner en médicaments essentiels 49 autres.
Treize véhicules de supervision de type 4x4 et 16 ambulances médicalisées ont été mis à la disposition des centres concernés. Le projet a aussi permis la construction et l’équipement du premier centre de référence de lutte contre le virus Ebola au CHU de Treichville, pour un coût de 188 millions de FCFA.
« A l’aune de tous ces importants résultats, je peux, sans risque de me tromper, affirmer que le PARSSI a été novateur, en ce sens qu’il a permis de jeter les bases de certaines réformes du système de la santé sur lesquelles d’autres PTF (partenaires techniques et financiers) se sont engagés. J’ose espérer que l’UE continuera d’accorder une bienveillante attention à la problématique de la santé », a déclaré M. Bamba.
Le bilan des acquis du PARSSI a été dressé en vue de les capitaliser et d’assurer la pérennisation de l’appui à la santé.
A travers la convention de financement du 10e FED, le PARSSI a été mis en œuvre dans les régions sanitaires du Gbêkê, du Tonpki, des Grands-Ponts, du Gboklê, de la Nawa et de San Pedro.
ena/kp