Bouaké, La direction régionale des Ressources animales et Halieutiques, celle de la Santé et de l’Hygiène publique et l’Institut d’hygiène publique ont entamés, mercredi à Bouaké, une campagne de sensibilisation des populations sur la rage, invitant les populations à s’y impliquer.
En 2018, 22 décès liés à la rage dont un à Bouaké ont été enregistrés. Déjà en 2019, l’on note quatre cas de décès dont deux à Bouaké. Par ailleurs, au cours de ces dernières années, plusieurs des cas de ravages animales et humaines ont été enregistrés dans la ville.
L’objectif de la lutte est d’éradiquer totalement la maladie de la Côte d’Ivoire en 2030.
La rage est une maladie animale qui se transmet en général à l’homme par des morsures ou léchage d’animaux tels les chiens et les chats atteints. Elle ne se guérit pas et peut entraîner la mort. Il faut la prévenir en vaccinant les animaux. En cas de morsure, les victimes doivent se rendre immédiatement dans un centre de santé et l’animal doit être soumis à un examen.
La secrétaire générale de la préfecture, Mme Loboué Michèle Hortense Amani, a exhorté les populations à se mobiliser. Elle a invité également au soutien du comité régional de lutte mis en place dans le cadre du projet GAVI de lutte contre la rage, tout en souhaitant que Bouaké soit le guide en matière d’élimination de la rage en Côte d’Ivoire.
(AIP)
nbf/cmas
En 2018, 22 décès liés à la rage dont un à Bouaké ont été enregistrés. Déjà en 2019, l’on note quatre cas de décès dont deux à Bouaké. Par ailleurs, au cours de ces dernières années, plusieurs des cas de ravages animales et humaines ont été enregistrés dans la ville.
L’objectif de la lutte est d’éradiquer totalement la maladie de la Côte d’Ivoire en 2030.
La rage est une maladie animale qui se transmet en général à l’homme par des morsures ou léchage d’animaux tels les chiens et les chats atteints. Elle ne se guérit pas et peut entraîner la mort. Il faut la prévenir en vaccinant les animaux. En cas de morsure, les victimes doivent se rendre immédiatement dans un centre de santé et l’animal doit être soumis à un examen.
La secrétaire générale de la préfecture, Mme Loboué Michèle Hortense Amani, a exhorté les populations à se mobiliser. Elle a invité également au soutien du comité régional de lutte mis en place dans le cadre du projet GAVI de lutte contre la rage, tout en souhaitant que Bouaké soit le guide en matière d’élimination de la rage en Côte d’Ivoire.
(AIP)
nbf/cmas
