Abidjan, Comme annoncé, la destruction des 18.000 tonnes de riz en provenance de la Birmanie, jugé malpropre à la consommation, et saisies au Port d’Abidjan, le 11 mars a démarré mardi au centre de valorisation et d’enfouissement technique de Kossihouen.
L’opération de destruction qui s’étendra sur un mois a été lancée par le ministère du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba et sa collègue de l‘Assainissement et de la Salubrité, Anne Désirée Ouloto.
«Nous avons mené toutes nos diligences, et ce, conformément à nos textes en vigueur. Nous avons fait quatre analyses contradictoires trois dans des laboratoires nationaux dont un privé et un à l’extérieur. Les résultats sont sans appel. Ce riz est impropre à la consommation », a déclaré Selon Souleymane Diarrassouba.
Tout en rassurant que la destruction se fait avec les différentes structures concernées notamment le ministère de l‘Assainissement et de la Salubrité, il a précisé que le gouvernement tient à la santé des populations ivoiriennes. Selon lui, le processus de destruction s’étendra sur un mois avec des opérations de 1000 à 500 mille tonnes parfois.
«A partir d’aujourd’hui, nous serons capables d’accepter les 18.000 tonnes ici au centre de valorisation et d’enfouissement technique de Kossihouen pendant une période d’un mois parce qu’il nous a fallu étaler le processus sur la période pour permettre la poursuite de la collecte des déchets dans le district d’Abidjan », a indiqué Anne Ouloto. Elle a précisé que tous les sacs qui contenaient ce riz seront incinérés.
Le 11 mars, un bateau en provenance de la Birmanie via la Guinée et Lomé est arrivé au Port d’Abidjan. L’Etat ivoirien a mis en place depuis le 15 février 2019, un dispositif de contrôle de conformité pour la protection des consommateurs.
(AIP)
bsp/ask
L’opération de destruction qui s’étendra sur un mois a été lancée par le ministère du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba et sa collègue de l‘Assainissement et de la Salubrité, Anne Désirée Ouloto.
«Nous avons mené toutes nos diligences, et ce, conformément à nos textes en vigueur. Nous avons fait quatre analyses contradictoires trois dans des laboratoires nationaux dont un privé et un à l’extérieur. Les résultats sont sans appel. Ce riz est impropre à la consommation », a déclaré Selon Souleymane Diarrassouba.
Tout en rassurant que la destruction se fait avec les différentes structures concernées notamment le ministère de l‘Assainissement et de la Salubrité, il a précisé que le gouvernement tient à la santé des populations ivoiriennes. Selon lui, le processus de destruction s’étendra sur un mois avec des opérations de 1000 à 500 mille tonnes parfois.
«A partir d’aujourd’hui, nous serons capables d’accepter les 18.000 tonnes ici au centre de valorisation et d’enfouissement technique de Kossihouen pendant une période d’un mois parce qu’il nous a fallu étaler le processus sur la période pour permettre la poursuite de la collecte des déchets dans le district d’Abidjan », a indiqué Anne Ouloto. Elle a précisé que tous les sacs qui contenaient ce riz seront incinérés.
Le 11 mars, un bateau en provenance de la Birmanie via la Guinée et Lomé est arrivé au Port d’Abidjan. L’Etat ivoirien a mis en place depuis le 15 février 2019, un dispositif de contrôle de conformité pour la protection des consommateurs.
(AIP)
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