A travers un communiqué rendu public le vendredi 26 avril 2019, le Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, a réitéré la volonté du Gouvernement de traiter en toute transparence, l’opération de destruction des 18 000 tonnes de riz avarié démarrée le mardi 16 avril dernier et a annoncé les premières mesures qui en découlent.
« Le bilan partiel de l’opération au 26 avril 2019 s’établit à 2 100 tonnes de riz détruits », a indiqué le communiqué qui a rassuré les populations sur le processus de transfert des stocks de riz du Port Autonome d’Abidjan (PAA) au Centre de Valorisation d’Enfouissement Technique (CVET) de Koussihouen. Ainsi, ce processus se précise comme suit :
- Chargement du riz au PAA dans des camions conteneurisés ;
- Transport sous escorte sécuritaire de la Gendarmerie et de la Douane du PAA jusqu’au CVET de Koussihouen ;
- Déchargement des camions à Kossihouen, suivi du retrait de son emballage ;
- Enfouissement du riz dans la décharge ;
- Transport des emballages sous escorte de Kossihouen vers les centres d’incinération agréés.
Puis, le communiqué d’ajouter qu’il est interdit au vendeur du riz avarié, OLAM INTERNATIONAL LIMITED, d’exporter du riz à destination de la Côte d’Ivoire pour une durée de 12 mois et à la société ALIMENTATION TOUMODI SARL, acheteur du riz avarié d’importer du riz à destination de la Côte d’Ivoire pour une durée de 12 mois.
Ces différentes mesures administratives se fondent sur la loi 2016-410 du 15 juin 2016, article 22, alinéa 1, relative à la répression des fraudes et des falsifications en matière de vente des biens ou services qui dispose comme suit : « Le Ministre chargé du Commerce peut prononcer l’interdiction pour le délinquant d’exercer sa profession pour une durée déterminée ou au plus jusqu’à ce qu’il ait été statué définitivement sur la poursuite. »
« Le Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME exprime toute sa gratitude aux associations des consommateurs et à l’ensemble de la population ivoirienne pour leur vigilance et leur confiance », a souligné le communiqué.
« Le bilan partiel de l’opération au 26 avril 2019 s’établit à 2 100 tonnes de riz détruits », a indiqué le communiqué qui a rassuré les populations sur le processus de transfert des stocks de riz du Port Autonome d’Abidjan (PAA) au Centre de Valorisation d’Enfouissement Technique (CVET) de Koussihouen. Ainsi, ce processus se précise comme suit :
- Chargement du riz au PAA dans des camions conteneurisés ;
- Transport sous escorte sécuritaire de la Gendarmerie et de la Douane du PAA jusqu’au CVET de Koussihouen ;
- Déchargement des camions à Kossihouen, suivi du retrait de son emballage ;
- Enfouissement du riz dans la décharge ;
- Transport des emballages sous escorte de Kossihouen vers les centres d’incinération agréés.
Puis, le communiqué d’ajouter qu’il est interdit au vendeur du riz avarié, OLAM INTERNATIONAL LIMITED, d’exporter du riz à destination de la Côte d’Ivoire pour une durée de 12 mois et à la société ALIMENTATION TOUMODI SARL, acheteur du riz avarié d’importer du riz à destination de la Côte d’Ivoire pour une durée de 12 mois.
Ces différentes mesures administratives se fondent sur la loi 2016-410 du 15 juin 2016, article 22, alinéa 1, relative à la répression des fraudes et des falsifications en matière de vente des biens ou services qui dispose comme suit : « Le Ministre chargé du Commerce peut prononcer l’interdiction pour le délinquant d’exercer sa profession pour une durée déterminée ou au plus jusqu’à ce qu’il ait été statué définitivement sur la poursuite. »
« Le Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME exprime toute sa gratitude aux associations des consommateurs et à l’ensemble de la population ivoirienne pour leur vigilance et leur confiance », a souligné le communiqué.