L’Ong ASMA (« à l’écoute de son prochain ») a organisé un séminaire de formation des radios partenaires et des troupes théâtrales sur la thématique de l’Apatridie le mardi 30 avril 2019 au Foyer Jeune Viateur de Bouaké.
Dix radios de proximité et sept troupes théâtrales ont bénéficié, à Bouaké, d’une formation sur l’Apatridie. Initiée par l’ONG ASMA, en partenariat avec le HCR et l’Association des femmes juristes de Côte d’Ivoire (AFJCI), cette session a consisté au lancement du Projet ‘’Droit à une nationalité pour tous’’.
‘’Accroître la sensibilisation des populations en général et celles concernées par l’Apatridie ou à risque d’Apatridie en particulier, dans le but de réduire les cas d’Apatridie, de prévenir de nouveaux cas et de promouvoir les nouvelles lois sur l’Etat Civil en Côte d’Ivoire’’, tel est le leitmotiv qui guide la démarche de l’ONG ASMA.
‘’La situation d’Apatridie engendre beaucoup de difficultés chez ces personnes ne disposant pas de document devant leur permettre de prouver leur nationalité. Elles ne peuvent accéder aux services de base comme l’éducation et la santé ou ne peuvent ni obtenir un emploi décent, ni circuler librement’’, explique M.Bakary Soro, Président de l’ONG ASMA et formateur du jour. ‘’Face à cette situation, l’Etat de Côte d’Ivoire s’est engagé avec le HCR dans la Campagne décennale « J’appartiens » qui vise à éradiquer l’Apatridie d’ici à 2020. En tant que partenaire de mise en œuvre du HCR et de l’AFJCI, ASMA se propose de soutenir le processus de communication à travers le présent projet’’, se justifie M.Soro.
Au cours de cette journée de formation et de renforcement des capacités, qui a vu également la participation du Réseau des professionnels de médias pour la lutte contre l’Apatridie (Repma) représenté par son président Hervé Gobou, l’intervenant a procédé à la présentation du projet DNT, défini la notion d’apatridie, en faisant son historique et en décrivant son contexte actuel, de même que ses causes et conséquences, avant de relever des cas pratiques et évoquer le rôle primordial des médias dans la réussite dudit projet. Rôle que le Repma, par la voix de son premier responsable, s’est engagé à jouer de la façon la plus efficiente possible.
Des exercices pratiques de théâtre participatif et de production d’émissions radiophoniques sur l’Apatridie ont permis aux participants de tester leur capacité à communiquer et sensibiliser sur la question. Surtout que 108 prestations de théâtre et 6 feuilletons radiophoniques de ‘’On dit quoi au pays’’ (ODQP) seront réalisés dans le cadre de ce Projet.
DA et HG
Dix radios de proximité et sept troupes théâtrales ont bénéficié, à Bouaké, d’une formation sur l’Apatridie. Initiée par l’ONG ASMA, en partenariat avec le HCR et l’Association des femmes juristes de Côte d’Ivoire (AFJCI), cette session a consisté au lancement du Projet ‘’Droit à une nationalité pour tous’’.
‘’Accroître la sensibilisation des populations en général et celles concernées par l’Apatridie ou à risque d’Apatridie en particulier, dans le but de réduire les cas d’Apatridie, de prévenir de nouveaux cas et de promouvoir les nouvelles lois sur l’Etat Civil en Côte d’Ivoire’’, tel est le leitmotiv qui guide la démarche de l’ONG ASMA.
‘’La situation d’Apatridie engendre beaucoup de difficultés chez ces personnes ne disposant pas de document devant leur permettre de prouver leur nationalité. Elles ne peuvent accéder aux services de base comme l’éducation et la santé ou ne peuvent ni obtenir un emploi décent, ni circuler librement’’, explique M.Bakary Soro, Président de l’ONG ASMA et formateur du jour. ‘’Face à cette situation, l’Etat de Côte d’Ivoire s’est engagé avec le HCR dans la Campagne décennale « J’appartiens » qui vise à éradiquer l’Apatridie d’ici à 2020. En tant que partenaire de mise en œuvre du HCR et de l’AFJCI, ASMA se propose de soutenir le processus de communication à travers le présent projet’’, se justifie M.Soro.
Au cours de cette journée de formation et de renforcement des capacités, qui a vu également la participation du Réseau des professionnels de médias pour la lutte contre l’Apatridie (Repma) représenté par son président Hervé Gobou, l’intervenant a procédé à la présentation du projet DNT, défini la notion d’apatridie, en faisant son historique et en décrivant son contexte actuel, de même que ses causes et conséquences, avant de relever des cas pratiques et évoquer le rôle primordial des médias dans la réussite dudit projet. Rôle que le Repma, par la voix de son premier responsable, s’est engagé à jouer de la façon la plus efficiente possible.
Des exercices pratiques de théâtre participatif et de production d’émissions radiophoniques sur l’Apatridie ont permis aux participants de tester leur capacité à communiquer et sensibiliser sur la question. Surtout que 108 prestations de théâtre et 6 feuilletons radiophoniques de ‘’On dit quoi au pays’’ (ODQP) seront réalisés dans le cadre de ce Projet.
DA et HG