Abidjan - Des ingénieurs et chercheurs se sont initiés à l’Internet des objets (IoT) et l’Intelligence artificielle (IA), lors du séminaire scientifique organisé du mercredi au vendredi, à l’Ecole supérieure africaine des TIC (ESATIC).
Placé sous le thème « IoT et intelligence artificielle: nouvel horizon du décisionnel », cette rencontre des professionnels des TIC vise à créer un cadre de collaboration entre les structures de recherches et les entreprises autour des questions associées de l’IoT et (IA).
« IO et IA participent également à donner une nouvelle vision de la performance économique de l’entreprise. Il importe par conséquent que les entreprises se l’approprient afin d’en faire des instruments au service de leur développement », a indiqué jeudi, le représentant du ministre de l’Economie numérique et de la Poste, Djoman Henri, à la cérémonie d’ouverture officielle.
Le directeur général de l’ESATIC, Adama Konaté, a saisi cette occasion pour lancer un appel aux entreprises de tous les secteurs pour qu’elles viennent les « challenger » en leur proposant des termes de recherches, en impliquant leurs enseignants dans la réflexion et le développement de leurs entreprises.
« Nous en profiterons pour nous instruire sur les modalités d’évaluation des enseignants-chercheurs et des institutions académiques selon le référentiel du CAMES », a-t-il dit.
Des panels, des conférences plénières, des séances de présentations des travaux de recherches ou d’étudiants et des formations ont meublé ce séminaire scientifique qui est à sa deuxième édition après celle de 2017.
(AIP)
ena/kam
Placé sous le thème « IoT et intelligence artificielle: nouvel horizon du décisionnel », cette rencontre des professionnels des TIC vise à créer un cadre de collaboration entre les structures de recherches et les entreprises autour des questions associées de l’IoT et (IA).
« IO et IA participent également à donner une nouvelle vision de la performance économique de l’entreprise. Il importe par conséquent que les entreprises se l’approprient afin d’en faire des instruments au service de leur développement », a indiqué jeudi, le représentant du ministre de l’Economie numérique et de la Poste, Djoman Henri, à la cérémonie d’ouverture officielle.
Le directeur général de l’ESATIC, Adama Konaté, a saisi cette occasion pour lancer un appel aux entreprises de tous les secteurs pour qu’elles viennent les « challenger » en leur proposant des termes de recherches, en impliquant leurs enseignants dans la réflexion et le développement de leurs entreprises.
« Nous en profiterons pour nous instruire sur les modalités d’évaluation des enseignants-chercheurs et des institutions académiques selon le référentiel du CAMES », a-t-il dit.
Des panels, des conférences plénières, des séances de présentations des travaux de recherches ou d’étudiants et des formations ont meublé ce séminaire scientifique qui est à sa deuxième édition après celle de 2017.
(AIP)
ena/kam