Le Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba a procédé à l’ouverture du séminaire d’affaires sur la qualité des infrastructures, le mercredi 12 juin 2019, à la maison de l’entreprise au Plateau.
Le faisant, il a présenté des opportunités d’investissement dans l’espace CEDEAO, voire en Côte d’Ivoire, à la délégation japonaise que conduit le Ministre en charge de l’Administration du territoire, des Infrastructures, du Transport et du Tourisme, Otsuka Takashi, dans le cadre de cette rencontre en prélude de la 7e édition de la Conférence Internationale de Tokyo sur le Développement de l’Afrique (TICAD).
Relevant l’importance des infrastructures pour le développement économique, le Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME qui, à l’occasion représentait sa collègue du Plan et du Développement, a indiqué que des infrastructures suffisantes et de qualité donnent de la cohérence au système de production, tout en réduisant les écarts d’opportunités entre les villes et les campagnes. A la clef, une meilleure inclusivité de la croissance.
Malheureusement, le développement de l’Afrique et singulièrement de la Côte d’Ivoire reste confronté au manque d’infrastructures, notamment de transport qui entrave le développement commercial au niveau de la CEDEAO. Pendant que cet espace économique demeure sous-équipé en termes d’infrastructures routières, les statistiques font état de ce que le transport routier représente environ 90% des mouvements de fret et de personnes en Afrique de l’Ouest. « L’espace de la CEDEAO ne dispose que d’environ 4,7 Km de route pour 100 Km2, contre une moyenne de 6,8 Km pour l’ensemble du continent africain », a regretté le Ministre Souleymane Diarrassouba.
Ce tableau peu reluisant des infrastructures de transport ne se limite pas seulement aux routes. Il s’étend notamment au réseau ferroviaire qui est estimé à 10 188 Km de chemins de fer et au transport maritime et fluvial ou encore au niveau du transport aérien où quelques compagnies nationales peinent à satisfaire une clientèle régionale et internationale croissante.
« (…) L'accès à l'énergie est vital non seulement pour atteindre les objectifs en matière de santé et d'éducation, mais également pour libérer le potentiel économique et créer des emplois. Selon la Banque Africaine de Développement, plus de 640 millions d'Africains n'ont pas accès à l'électricité. Le déficit énergétique de l’Afrique bloque la croissance économique, le potentiel de création d’emplois, la transformation du secteur agricole et les progrès en matière de santé et d’éducation du continent. Pourtant l'Afrique est immensément dotée en ressources énergétiques renouvelables (hydroélectriques, solaire, éolienne, …) et non renouvelables (pétrolières et gazières). Cet immense potentiel reste encore insuffisamment utilisé », a poursuivi le Ministre en charge du Commerce.
Faut-il le noter, la 7e TICAD se tiendra du 27 au 28 août 2019 à Yokohoma au Japon. Le séminaire d’affaires à Abidjan sur la qualité des infrastructures en prélude à cette rencontre internationale était placée sous le patronage du Premier ministre, Ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Amadou Gon Coulibaly, la présidence de la Ministre du Plan et du Développement, Kaba Nialé et la présence effective du Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME.
Le faisant, il a présenté des opportunités d’investissement dans l’espace CEDEAO, voire en Côte d’Ivoire, à la délégation japonaise que conduit le Ministre en charge de l’Administration du territoire, des Infrastructures, du Transport et du Tourisme, Otsuka Takashi, dans le cadre de cette rencontre en prélude de la 7e édition de la Conférence Internationale de Tokyo sur le Développement de l’Afrique (TICAD).
Relevant l’importance des infrastructures pour le développement économique, le Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME qui, à l’occasion représentait sa collègue du Plan et du Développement, a indiqué que des infrastructures suffisantes et de qualité donnent de la cohérence au système de production, tout en réduisant les écarts d’opportunités entre les villes et les campagnes. A la clef, une meilleure inclusivité de la croissance.
Malheureusement, le développement de l’Afrique et singulièrement de la Côte d’Ivoire reste confronté au manque d’infrastructures, notamment de transport qui entrave le développement commercial au niveau de la CEDEAO. Pendant que cet espace économique demeure sous-équipé en termes d’infrastructures routières, les statistiques font état de ce que le transport routier représente environ 90% des mouvements de fret et de personnes en Afrique de l’Ouest. « L’espace de la CEDEAO ne dispose que d’environ 4,7 Km de route pour 100 Km2, contre une moyenne de 6,8 Km pour l’ensemble du continent africain », a regretté le Ministre Souleymane Diarrassouba.
Ce tableau peu reluisant des infrastructures de transport ne se limite pas seulement aux routes. Il s’étend notamment au réseau ferroviaire qui est estimé à 10 188 Km de chemins de fer et au transport maritime et fluvial ou encore au niveau du transport aérien où quelques compagnies nationales peinent à satisfaire une clientèle régionale et internationale croissante.
« (…) L'accès à l'énergie est vital non seulement pour atteindre les objectifs en matière de santé et d'éducation, mais également pour libérer le potentiel économique et créer des emplois. Selon la Banque Africaine de Développement, plus de 640 millions d'Africains n'ont pas accès à l'électricité. Le déficit énergétique de l’Afrique bloque la croissance économique, le potentiel de création d’emplois, la transformation du secteur agricole et les progrès en matière de santé et d’éducation du continent. Pourtant l'Afrique est immensément dotée en ressources énergétiques renouvelables (hydroélectriques, solaire, éolienne, …) et non renouvelables (pétrolières et gazières). Cet immense potentiel reste encore insuffisamment utilisé », a poursuivi le Ministre en charge du Commerce.
Faut-il le noter, la 7e TICAD se tiendra du 27 au 28 août 2019 à Yokohoma au Japon. Le séminaire d’affaires à Abidjan sur la qualité des infrastructures en prélude à cette rencontre internationale était placée sous le patronage du Premier ministre, Ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, Amadou Gon Coulibaly, la présidence de la Ministre du Plan et du Développement, Kaba Nialé et la présence effective du Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME.