A l’occasion de la journée Mondiale de la drépanocytose célébrée ce 19 juin, la Fondation LYA « vivre avec la drépanocytose » (FLVD) a procédé à la remise de son prix du meilleur slogan et logo édition 2019, au cours d’une cérémonie éducative, ludique, et festive qui a réuni 140 enfants âgés de 8 à 15 ans et leurs encadreurs au centre Américain de l’ambassade des USA en Côte d’Ivoire.
Ce concours de Logo et Slogan destiné aux enfants de CM2 a pour but de mieux faire connaître la maladie et d’initier une réflexion sur la représentation de cette maladie auprès des enfants. Cette troisième édition a vu s’affronter une quinzaine d’écoles primaires publiques et privées du district autonome d’Abidjan
La cérémonie de remise de prix qui marque le début des festivités de la journée mondiale de la lutte contre la drépanocytose donne l’occasion à la fondation LYA de parler du 1er pilier essentiel de son plan stratégique à savoir : éduquer et sensibiliser la population et les autorités sur la drépanocytose, 1ere maladie génétique au monde, une maladie avec un dispositif de prise en charge inadapté et méconnu des populations.
Dans son discours de bienvenue, la secrétaire générale, s’adressant aux enfants souhaite qu’ils soutiennent leurs camarades drépanocytaires, car la drépanocytose n’est pas une fatalité mais avec simplement une bonne information et une bonne prise en charge, leurs camarades malades peuvent vivre mieux et en bonne santé.
« Au-delà de la compétition, ces élèves ont apporté leur contribution à la sensibilisation à la Drépanocytose par une culture civique dans leurs milieux scolaire et familial ainsi qu’au sein de la population » a-t-elle indiqué.
Elle a encouragé les enfants à devenir des relais pour la fondation, elle a fait savoir la gravité de cette maladie ce qui l’a emmenée à s’engager auprès de la fondation pour accompagner et aider à combattre la drépanocytose.
Pour la fondation LYA, l’élève drépanocytaire est en droit de bénéficier d’une éducation dans des conditions d’égalité de chances. Tous les enfants drépanocytaires ont le droit de s’intégrer dans leur environnement culturel, social et économique, et malgré les implications graves de la maladie.
« Un élève drépanocytaire n’est pas un handicapé physique ou un malade mental. Il peut avoir un cursus scolaire normal dans ses limites tant cognitives que psychomotrices » soutient-elle.
Le Dr Valery Adueni, directeur du programme national de la lutte contre les maladies non transmissibles a quant à lui souligné l’importance de se mettre ensemble pour créer une véritable synergie en faveur de la prise en charge de la drépanocytose en Côte d’Ivoire.
Depuis sa création en 2013, la FLVD a initié plusieurs activités avec pour objectif de renforcer l’information et la sensibilisation sur la drépanocytose et développer des initiatives pour mobiliser de potentiels mécènes en vue d’une part, mobiliser des ressources et déployer des projets pour participer au renforcement de capacité pour la prise en charge des malades, d’autre part.
La FLVD est une organisation privée à but non lucratif, dont l’objet est de contribuer à une meilleure prise en charge de la drépanocytose en Côte d’Ivoire a marqué.
PR
Ce concours de Logo et Slogan destiné aux enfants de CM2 a pour but de mieux faire connaître la maladie et d’initier une réflexion sur la représentation de cette maladie auprès des enfants. Cette troisième édition a vu s’affronter une quinzaine d’écoles primaires publiques et privées du district autonome d’Abidjan
La cérémonie de remise de prix qui marque le début des festivités de la journée mondiale de la lutte contre la drépanocytose donne l’occasion à la fondation LYA de parler du 1er pilier essentiel de son plan stratégique à savoir : éduquer et sensibiliser la population et les autorités sur la drépanocytose, 1ere maladie génétique au monde, une maladie avec un dispositif de prise en charge inadapté et méconnu des populations.
Dans son discours de bienvenue, la secrétaire générale, s’adressant aux enfants souhaite qu’ils soutiennent leurs camarades drépanocytaires, car la drépanocytose n’est pas une fatalité mais avec simplement une bonne information et une bonne prise en charge, leurs camarades malades peuvent vivre mieux et en bonne santé.
« Au-delà de la compétition, ces élèves ont apporté leur contribution à la sensibilisation à la Drépanocytose par une culture civique dans leurs milieux scolaire et familial ainsi qu’au sein de la population » a-t-elle indiqué.
Elle a encouragé les enfants à devenir des relais pour la fondation, elle a fait savoir la gravité de cette maladie ce qui l’a emmenée à s’engager auprès de la fondation pour accompagner et aider à combattre la drépanocytose.
Pour la fondation LYA, l’élève drépanocytaire est en droit de bénéficier d’une éducation dans des conditions d’égalité de chances. Tous les enfants drépanocytaires ont le droit de s’intégrer dans leur environnement culturel, social et économique, et malgré les implications graves de la maladie.
« Un élève drépanocytaire n’est pas un handicapé physique ou un malade mental. Il peut avoir un cursus scolaire normal dans ses limites tant cognitives que psychomotrices » soutient-elle.
Le Dr Valery Adueni, directeur du programme national de la lutte contre les maladies non transmissibles a quant à lui souligné l’importance de se mettre ensemble pour créer une véritable synergie en faveur de la prise en charge de la drépanocytose en Côte d’Ivoire.
Depuis sa création en 2013, la FLVD a initié plusieurs activités avec pour objectif de renforcer l’information et la sensibilisation sur la drépanocytose et développer des initiatives pour mobiliser de potentiels mécènes en vue d’une part, mobiliser des ressources et déployer des projets pour participer au renforcement de capacité pour la prise en charge des malades, d’autre part.
La FLVD est une organisation privée à but non lucratif, dont l’objet est de contribuer à une meilleure prise en charge de la drépanocytose en Côte d’Ivoire a marqué.
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