Les épreuves écrites de la session 2019 des examens de fin d’année de l’enseignement confessionnel islamique ont débuté mercredi en Côte d’Ivoire avec 8021 candidats dont 5929 pour le Certificat d’études primaires et élémentaires ( CEPE), 1759 pour le Brevet d’études du premier cycle (BEPC) et 333 pour le baccalauréat, a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Ces examens se déroulent dans soixante-douze localités reparties sur l’ensemble du territoire national pour cent-douze centres d’examen au total, a précisé dans un point-presse, Ayouba Kangouté, le directeur général de la Ligue des établissements confessionnels islamiques et medersas ( LECIM) après une visite de plusieurs centres d’examens à Abobo dans le Nord d’Abidjan.
Comparativement à l’année dernière, le nombre de candidats en lice pour ces examens arabo-religieux a augmenté d’environ 500, soit une hausse de 5%, a-t-il ajouté.
Profitant de cette tribune, M. Kangouté a plaidé auprès des autorités éducatives ivoiriennes sur la « nécessité de reconnaître» les diplômes obtenus dans les structures islamiques d’éducation (SIE) affirmant sa solidarité à ceux qui estiment pertinent l’enseignement de la langue arabe dans les écoles publiques.
« Nos diplômes ont la même valeur que ceux délivrés par l’enseignement laïc. C’est le même contenu hormis la langue de transmission qui diffère... Aujourd’hui, notre système éducatif est un modèle», a estimé de son côté, Bandé Karamoko, directeur national de l’enseignement confessionnel islamique.
Représentant le ministère ivoirien de l’éducation nationale, de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, Gervais Apahou s’est félicité de la bonne tenue de ces examens de l’enseignement confessionnel islamique rappelant que les autorités éducatives ivoiriennes ont déjà initié un projet d’intégration des structures islamiques dans le système d’éducation général.
Ces examens se déroulent dans soixante-douze localités reparties sur l’ensemble du territoire national pour cent-douze centres d’examen au total, a précisé dans un point-presse, Ayouba Kangouté, le directeur général de la Ligue des établissements confessionnels islamiques et medersas ( LECIM) après une visite de plusieurs centres d’examens à Abobo dans le Nord d’Abidjan.
Comparativement à l’année dernière, le nombre de candidats en lice pour ces examens arabo-religieux a augmenté d’environ 500, soit une hausse de 5%, a-t-il ajouté.
Profitant de cette tribune, M. Kangouté a plaidé auprès des autorités éducatives ivoiriennes sur la « nécessité de reconnaître» les diplômes obtenus dans les structures islamiques d’éducation (SIE) affirmant sa solidarité à ceux qui estiment pertinent l’enseignement de la langue arabe dans les écoles publiques.
« Nos diplômes ont la même valeur que ceux délivrés par l’enseignement laïc. C’est le même contenu hormis la langue de transmission qui diffère... Aujourd’hui, notre système éducatif est un modèle», a estimé de son côté, Bandé Karamoko, directeur national de l’enseignement confessionnel islamique.
Représentant le ministère ivoirien de l’éducation nationale, de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, Gervais Apahou s’est félicité de la bonne tenue de ces examens de l’enseignement confessionnel islamique rappelant que les autorités éducatives ivoiriennes ont déjà initié un projet d’intégration des structures islamiques dans le système d’éducation général.