Une conférence sur la lutte contre le cancer s’est ouverte ce samedi à Niamey, au Niger, en marge du 33è sommet des chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union africaine qui se déroulera dimanche et lundi au palais des congrès de la capitale nigérienne.
A l’initiative de la fondation Tattali Iyalli de la Première dame Malika Issoufou et en présence du chef de l’Etat nigérien, cette rencontre des ministres africains en charge de la santé et des premières dames réunit quelque 300 participants autour du thème "Le fardeau du cancer".
La conférence sur le cancer a pour objectif de recueillir l’engagement des premières dames sur un mémorandum de lutte contre la maladie de plus en plus présente sur le continent africain, a-t-on signalé.
Selon l’OMS, le fardeau du cancer a atteint 18,1 millions de nouveaux cas et 9,6 millions de décès par cancer en 2018 dans le monde. En Afrique, une proportion de décès par cancer est de 7,3 % est enregistrée avec une fréquence plus élevée de certains types de cancer associés à un pronostic plus défavorable.
Face à cette situation jugée préoccupante, les épouses des dirigeants africains estiment qu’il est nécessaire d’engager toutes les parties, notamment les décideurs et les partenaires techniques et financiers, pour que ce projet de lutte soit considéré comme une priorité dans les politiques nationales de santé des différents Etats.
(AIP)
kp
A l’initiative de la fondation Tattali Iyalli de la Première dame Malika Issoufou et en présence du chef de l’Etat nigérien, cette rencontre des ministres africains en charge de la santé et des premières dames réunit quelque 300 participants autour du thème "Le fardeau du cancer".
La conférence sur le cancer a pour objectif de recueillir l’engagement des premières dames sur un mémorandum de lutte contre la maladie de plus en plus présente sur le continent africain, a-t-on signalé.
Selon l’OMS, le fardeau du cancer a atteint 18,1 millions de nouveaux cas et 9,6 millions de décès par cancer en 2018 dans le monde. En Afrique, une proportion de décès par cancer est de 7,3 % est enregistrée avec une fréquence plus élevée de certains types de cancer associés à un pronostic plus défavorable.
Face à cette situation jugée préoccupante, les épouses des dirigeants africains estiment qu’il est nécessaire d’engager toutes les parties, notamment les décideurs et les partenaires techniques et financiers, pour que ce projet de lutte soit considéré comme une priorité dans les politiques nationales de santé des différents Etats.
(AIP)
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