Abidjan - La direction générale de l’Enseignement supérieur a organisé, mardi, à Abidjan, un atelier consacré à la validation de la politique nationale de l’Enseignement supérieur (PNES), pour à terme, apporter « des réponses adéquates aux problématiques du secteur et tracer des orientations claires et cohérentes, estiment les initiateurs.
« L’objectif de cet atelier est de valider la politique nationale de l’enseignement supérieur. C’est un processus qui a été exigent et participatif et long. Il a commencé par une analyse de la situation qui a débouché sur un document d’analyse situationnelle qui montre bien qu’elles sont les problèmes cruciaux auxquels est confronté notre enseignement supérieur », a déclaré le directeur général de l’Enseignement supérieur, Ibrahim Lokpo.
Pour M. Lokpo, il s’agira de visiter, avec les acteurs, les solutions proposées pour résoudre les dysfonctionnements de cet ordre enseignement. "L’analyse a conclu que notre enseignement supérieur est peu pertinent et souvent met des produits qui ne sont pas adaptés aux offres d’emploi disponibles. Les solutions vont aller dans le sens de mettre sur le marché de l’emploi des produits qui vont permettre de résoudre les problèmes qui se posent à la société ivoirienne dans son ensemble", a-t-il assuré.
« Si nous voulons améliorer de façon significative notre système de l’enseignement supérieur pour relever les défis actuels et futurs de notre société, nous devons nous doter d’une nouvelle vision, à l’aune de celle du chef de l’Etat Alassane Ouattara », a déclaré le directeur de cabinet du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Yapi Houphouët Félix, qui représentait le ministre Mabri Toikeusse.
Il a traduit la reconnaissance du gouvernement ivoirien aux partenaires techniques et financiers, notamment la Banque mondiale, pour son appui à la réalisation de ce projet.
A total, 25 communautés nationales issues de six secteurs ont été consultés pour le recueil de leur analyse de la situation de l’Enseignement supérieur. Il s’agit de la société civile, l’administration publique et grandes institutions de la République, les collectivités territoriales, le corps préfectoral, le secteur privé et le secteur éducation/formation.
gak/fmo
« L’objectif de cet atelier est de valider la politique nationale de l’enseignement supérieur. C’est un processus qui a été exigent et participatif et long. Il a commencé par une analyse de la situation qui a débouché sur un document d’analyse situationnelle qui montre bien qu’elles sont les problèmes cruciaux auxquels est confronté notre enseignement supérieur », a déclaré le directeur général de l’Enseignement supérieur, Ibrahim Lokpo.
Pour M. Lokpo, il s’agira de visiter, avec les acteurs, les solutions proposées pour résoudre les dysfonctionnements de cet ordre enseignement. "L’analyse a conclu que notre enseignement supérieur est peu pertinent et souvent met des produits qui ne sont pas adaptés aux offres d’emploi disponibles. Les solutions vont aller dans le sens de mettre sur le marché de l’emploi des produits qui vont permettre de résoudre les problèmes qui se posent à la société ivoirienne dans son ensemble", a-t-il assuré.
« Si nous voulons améliorer de façon significative notre système de l’enseignement supérieur pour relever les défis actuels et futurs de notre société, nous devons nous doter d’une nouvelle vision, à l’aune de celle du chef de l’Etat Alassane Ouattara », a déclaré le directeur de cabinet du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Pr Yapi Houphouët Félix, qui représentait le ministre Mabri Toikeusse.
Il a traduit la reconnaissance du gouvernement ivoirien aux partenaires techniques et financiers, notamment la Banque mondiale, pour son appui à la réalisation de ce projet.
A total, 25 communautés nationales issues de six secteurs ont été consultés pour le recueil de leur analyse de la situation de l’Enseignement supérieur. Il s’agit de la société civile, l’administration publique et grandes institutions de la République, les collectivités territoriales, le corps préfectoral, le secteur privé et le secteur éducation/formation.
gak/fmo