Dans le cadre de sa tournée hebdomadaire dans les entreprises de presse, le Ministre de la Communication et des Médias M. Sidi TOURÉ a échangé avec les journalistes du Nouveau Navire ce jeudi 18 juillet 2019.
Le Directeur Général de cet organe, Siagna OUATTARA a profité de cette visite du Ministre pour mettre sur la table les préoccupations auxquelles son entreprise est confrontée. Il s’agit notamment de l’aide à l’impression dont ne bénéficie pas ‘’Le Nouveau Navire’’ depuis quelques années, ainsi que les conditions difficiles d’accès au fond de garantie.
Il n’a pas manqué de pointer du doigt l’avènement de la convention collective qui, selon lui est la base de tous les remous dont souffre la presse aujourd’hui.
Monsieur Ouattara a invité le premier responsable de la presse à peser de tout son poids pour que ces conditions soient revues. Cela permettra à l’entendre, à la presse d’être autonome et plus développée.
« Si vous pouvez peser de tout votre poids pour que l’État nous aide ça serait bien, car si vous voulez appliquer les règles, aucune entreprise ne sera éligible » a-t-il plaidé.
Le porte-parole du Gouvernement, tout en félicitant le patron de cet organe et ses collaborateurs pour leur accueil, à rappeler le caractère important de l’application des règles établies. Cela permet non seulement de mettre de l’ordre dans la corporation, ensuite impulser un dynamisme de développement à travers des accompagnements, enfin permettre à la presse d’être plus professionnelle.
« Je vous exhorte à mettre tout en œuvre pour remplir les conditions, car les ressources sont disponibles, mais les entreprises ne remplissent pas les conditions » a fait savoir le Ministre M. Sidi Touré.
Il a en outre, invité la presse à diversifier ses produits et ne pas se focaliser uniquement sur la production papier. Pour ce qui est de la convention collective, le Ministre s’est voulu très claire. Cela revient aux patrons de presse, car ce sont des entreprises privées.
« Ce n’est pas le rôle de l’État de payer les journalistes. On vous accompagne, mais on ne peut pas se substituer au management de l’entreprise » à clarifier le Ministre.
Madame Bernice N’GUESSAN Directrice exécutive du FSDP, a fait savoir par ailleurs que les conditions pour bénéficier de l’aide ont été établis par les journalistes et non pas l’État.
Le Directeur Général de cet organe, Siagna OUATTARA a profité de cette visite du Ministre pour mettre sur la table les préoccupations auxquelles son entreprise est confrontée. Il s’agit notamment de l’aide à l’impression dont ne bénéficie pas ‘’Le Nouveau Navire’’ depuis quelques années, ainsi que les conditions difficiles d’accès au fond de garantie.
Il n’a pas manqué de pointer du doigt l’avènement de la convention collective qui, selon lui est la base de tous les remous dont souffre la presse aujourd’hui.
Monsieur Ouattara a invité le premier responsable de la presse à peser de tout son poids pour que ces conditions soient revues. Cela permettra à l’entendre, à la presse d’être autonome et plus développée.
« Si vous pouvez peser de tout votre poids pour que l’État nous aide ça serait bien, car si vous voulez appliquer les règles, aucune entreprise ne sera éligible » a-t-il plaidé.
Le porte-parole du Gouvernement, tout en félicitant le patron de cet organe et ses collaborateurs pour leur accueil, à rappeler le caractère important de l’application des règles établies. Cela permet non seulement de mettre de l’ordre dans la corporation, ensuite impulser un dynamisme de développement à travers des accompagnements, enfin permettre à la presse d’être plus professionnelle.
« Je vous exhorte à mettre tout en œuvre pour remplir les conditions, car les ressources sont disponibles, mais les entreprises ne remplissent pas les conditions » a fait savoir le Ministre M. Sidi Touré.
Il a en outre, invité la presse à diversifier ses produits et ne pas se focaliser uniquement sur la production papier. Pour ce qui est de la convention collective, le Ministre s’est voulu très claire. Cela revient aux patrons de presse, car ce sont des entreprises privées.
« Ce n’est pas le rôle de l’État de payer les journalistes. On vous accompagne, mais on ne peut pas se substituer au management de l’entreprise » à clarifier le Ministre.
Madame Bernice N’GUESSAN Directrice exécutive du FSDP, a fait savoir par ailleurs que les conditions pour bénéficier de l’aide ont été établis par les journalistes et non pas l’État.