En prélude à l’enquête de l’Union Africaine (UA) sur le commerce des services en Côte d’Ivoire, le Ministre du Commerce, de l’Industrie et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, a présidé la réunion de concertation, le jeudi 8 août 2019, à son cabinet au Plateau. A l’occasion, il a invité tous les acteurs au niveau de l’Administration publique et du secteur privé à s’impliquer dans cette réunion.
S’il reconnait que techniquement le commerce, dans le cadre de la Zone de Libre-Echange Continentale Africaine (ZLECAf), ne débutera qu’à compter du 1er juillet 2020, le Ministre en charge du Commerce rappelle que les négociations sont toujours en cours et qu’elles s’accentueront bientôt lors de la deuxième phase de la mise en œuvre de ce vaste marché continental. Cette phase s’articulera autour de la politique de la concurrence, les droits de propriété intellectuelle, les investissements et le commerce des services.
Poursuivant, il a indiqué que l’objectif de cette mission est d’identifier les obstacles réglementaires spécifiques entre les Etats membres de l’Union Africaine, afin d’informer les négociateurs sur les listes d’engagements spécifiques dans les secteurs des services prioritaires approuvés, à savoir les services commerciaux, financiers, touristiques, de communication et de transport.
Faut-il le souligner, les secteurs des services contribuent à en moyenne à 50% du PIB des économies africaines. Ainsi, les négociations sur le commerce des services sont menées depuis près de deux ans. « Dans le cadre de la ZLECAf, le protocole sur le commerce des services doit être complété par des listes d’engagements spécifiques lorsque les Etats membres indiqueront des secteurs libéralisés sur leur territoire et un cadre règlementaire pour les secteurs des services », a précisé le Ministre Souleymane Diarrassouba.
S’il reconnait que techniquement le commerce, dans le cadre de la Zone de Libre-Echange Continentale Africaine (ZLECAf), ne débutera qu’à compter du 1er juillet 2020, le Ministre en charge du Commerce rappelle que les négociations sont toujours en cours et qu’elles s’accentueront bientôt lors de la deuxième phase de la mise en œuvre de ce vaste marché continental. Cette phase s’articulera autour de la politique de la concurrence, les droits de propriété intellectuelle, les investissements et le commerce des services.
Poursuivant, il a indiqué que l’objectif de cette mission est d’identifier les obstacles réglementaires spécifiques entre les Etats membres de l’Union Africaine, afin d’informer les négociateurs sur les listes d’engagements spécifiques dans les secteurs des services prioritaires approuvés, à savoir les services commerciaux, financiers, touristiques, de communication et de transport.
Faut-il le souligner, les secteurs des services contribuent à en moyenne à 50% du PIB des économies africaines. Ainsi, les négociations sur le commerce des services sont menées depuis près de deux ans. « Dans le cadre de la ZLECAf, le protocole sur le commerce des services doit être complété par des listes d’engagements spécifiques lorsque les Etats membres indiqueront des secteurs libéralisés sur leur territoire et un cadre règlementaire pour les secteurs des services », a précisé le Ministre Souleymane Diarrassouba.