La députée très éphémère d’Attécoubé était à Man le samedi 10 août 2019. En sa qualité de présidente de l’Organisation des Femmes du FPI (OFFPI), elle était dans la capitale de la région du Tonkpi sous le prétexte d’investir les Fédérations OFFPI de Sangouiné, Man, Logoualé, Biankouma, Gbonné et Sipilou. Belle occasion pour déverser ‘’son venin d’aspic’’ sur le régime Ouattara, comme à ses habitudes.
Mme Marie-Odette Lorougnon est-elle une mère, une épouse respectable qui veut la réconciliation et la paix entre tous les fils et filles de la Côte d’Ivoire ? La réponse est bien non ! Voici une dame, opposante au régime Ouattara, qui parcourt plus de 700 km d’Abidjan à Man et ses régions et qui dénigre, fait des critiques acerbes sans être interpellée ou inquiétée et qui crie qu’il n’y a pas de liberté d’expression dans ce pays. Comment a-t-elle pu traverser tout l’Ouest montagneux pour entretenir les militants de son parti, sans une interdiction des autorités ivoiriennes et dénoncer des atteintes à la liberté d’expression ? le mensonge paraît si grossier que personne ne peut accorder un crédit à sa manipulation de l’opinion nationale et internationale. Et la députée qui est passée comme ‘’une étoile filante’’ au parlement ivoirien de verser par la suite dans la xénophobie, ‘’l’ivoirité’’ en ces termes. Morceaux choisis. Parlant de rapprochement Bédié-Gbagbo, elle lâchera cette bombe ‘’ivoiritaire’’ : « La leçon que nous tirons, est que les Ivoiriens ont vu clair, les Ivoiriens veulent se rassembler pour sauver la Côte d’Ivoire, pour reconstruire la Côte d’Ivoire. Et ce sont les enfants du pays qui peuvent y arriver. La Côte d’Ivoire va se lever ! » Alors question à la présidente nationale de l’OFFPI. Y a-t-il des enfants du pays en face de ceux qui ne sont pas enfants de la côte d’Ivoire ? La catégorisation des Ivoiriens est ici faite sans ambages par Mme Marie-Odette Lorougnon qui ne s’en offusque pas du tout et qui appelle à mots voilés, les fils du pays à se lever pour sauver la Côte d’Ivoire.
Cela s’appelle de la xénophobie, de la haine tribale et raciste. Et elle rejoint ainsi le président Bédié dans son concept inique ‘’d’ivoirité’’. Pour une mère de famille, une épouse, cela est à déplorer. Telle est la deuxième ‘’faute grave’’ de Mme Marie-Odette Lorougnon qui ne s’est pas arrêtée à ces deux premières dérives langagières. Troisième dérapage, la présidente de l’OFFPI a taxé le président Alassane Ouattara d’avoir fait en 8 ans d’exercice du pouvoir d’Etat, ce que les autres n’ont pas fait en 50 ans. Elle a royalement fermé les yeux sur le refus de Laurent Gbagbo de céder le pouvoir perdu dans les urnes, ce qui l’a conduit avec son co-accusé à la CPI. Suivons Marie-Odette Lorougnon qui a la rancune tenace et est assoiffée de vengeance contre ce pouvoir. « Deux enfants de la côte d’Ivoire, le président Laurent Gbagbo et le ministre Charles Blé Goudé ont été déportés en Europe dans une prison internationale. Aucun Ivoirien n’aurait fait cela parce que ce sont ses frères. » le retour au galop de la xénophobie, de ‘’l’ivoirité’’ de façon déguisée. Et la fibre tribale de poursuivre. « Depuis que nous sommes en Côte d’Ivoire, aucun Ivoirien pour des questions politiques n’a fait la prison durant huit ans. Il y a des milliers d’Ivoiriens en exil, aucun Ivoirien n’aurait fait cela. » La haine de l’étranger, ‘’de l’Ivoirien de circonstance ou de seconde zone’’ ronge Mme Marie-Odette Lorougnon qui ne s’en cache pas ici et assène la rage au ventre. « Nous n’avons plus d’identité. Tout le monde est Ivoirien. » Une reprise des propos du président du PDCI-RDA, Henri Konan Bédié, sur une prétendue fraude sur la nationalité ivoirienne. C’est ce ‘’chœur’’ chanté par ‘’N’Zuéba’’ que dame Marie-Odette Lorougnon s’est faite ‘’la chantre’’ dans le Tonkpi, aveuglement ! Que dire de cette ‘’nouvelle chantre de l’ivoirité’’, de la haine raciale et tribale ? Elle est tout simplement ‘’rongée’’ par sa rancune tenace, sa soif inextinguible de revanche et de vengeance contre le pouvoir actuel pour lequel elle a de l’aversion. Et c’est bien dommage pour cette mère de famille qui donne l’impression de manquer de culture politique et qui ne voit que les intérêts personnels et égoïstes de son clan, de sa tribu. Au lieu de faire plutôt campagne pour la réconciliation, la paix et le ‘’vivre ensemble’’ dans le pays, que nenni !
Igor Wawayou
Mme Marie-Odette Lorougnon est-elle une mère, une épouse respectable qui veut la réconciliation et la paix entre tous les fils et filles de la Côte d’Ivoire ? La réponse est bien non ! Voici une dame, opposante au régime Ouattara, qui parcourt plus de 700 km d’Abidjan à Man et ses régions et qui dénigre, fait des critiques acerbes sans être interpellée ou inquiétée et qui crie qu’il n’y a pas de liberté d’expression dans ce pays. Comment a-t-elle pu traverser tout l’Ouest montagneux pour entretenir les militants de son parti, sans une interdiction des autorités ivoiriennes et dénoncer des atteintes à la liberté d’expression ? le mensonge paraît si grossier que personne ne peut accorder un crédit à sa manipulation de l’opinion nationale et internationale. Et la députée qui est passée comme ‘’une étoile filante’’ au parlement ivoirien de verser par la suite dans la xénophobie, ‘’l’ivoirité’’ en ces termes. Morceaux choisis. Parlant de rapprochement Bédié-Gbagbo, elle lâchera cette bombe ‘’ivoiritaire’’ : « La leçon que nous tirons, est que les Ivoiriens ont vu clair, les Ivoiriens veulent se rassembler pour sauver la Côte d’Ivoire, pour reconstruire la Côte d’Ivoire. Et ce sont les enfants du pays qui peuvent y arriver. La Côte d’Ivoire va se lever ! » Alors question à la présidente nationale de l’OFFPI. Y a-t-il des enfants du pays en face de ceux qui ne sont pas enfants de la côte d’Ivoire ? La catégorisation des Ivoiriens est ici faite sans ambages par Mme Marie-Odette Lorougnon qui ne s’en offusque pas du tout et qui appelle à mots voilés, les fils du pays à se lever pour sauver la Côte d’Ivoire.
Cela s’appelle de la xénophobie, de la haine tribale et raciste. Et elle rejoint ainsi le président Bédié dans son concept inique ‘’d’ivoirité’’. Pour une mère de famille, une épouse, cela est à déplorer. Telle est la deuxième ‘’faute grave’’ de Mme Marie-Odette Lorougnon qui ne s’est pas arrêtée à ces deux premières dérives langagières. Troisième dérapage, la présidente de l’OFFPI a taxé le président Alassane Ouattara d’avoir fait en 8 ans d’exercice du pouvoir d’Etat, ce que les autres n’ont pas fait en 50 ans. Elle a royalement fermé les yeux sur le refus de Laurent Gbagbo de céder le pouvoir perdu dans les urnes, ce qui l’a conduit avec son co-accusé à la CPI. Suivons Marie-Odette Lorougnon qui a la rancune tenace et est assoiffée de vengeance contre ce pouvoir. « Deux enfants de la côte d’Ivoire, le président Laurent Gbagbo et le ministre Charles Blé Goudé ont été déportés en Europe dans une prison internationale. Aucun Ivoirien n’aurait fait cela parce que ce sont ses frères. » le retour au galop de la xénophobie, de ‘’l’ivoirité’’ de façon déguisée. Et la fibre tribale de poursuivre. « Depuis que nous sommes en Côte d’Ivoire, aucun Ivoirien pour des questions politiques n’a fait la prison durant huit ans. Il y a des milliers d’Ivoiriens en exil, aucun Ivoirien n’aurait fait cela. » La haine de l’étranger, ‘’de l’Ivoirien de circonstance ou de seconde zone’’ ronge Mme Marie-Odette Lorougnon qui ne s’en cache pas ici et assène la rage au ventre. « Nous n’avons plus d’identité. Tout le monde est Ivoirien. » Une reprise des propos du président du PDCI-RDA, Henri Konan Bédié, sur une prétendue fraude sur la nationalité ivoirienne. C’est ce ‘’chœur’’ chanté par ‘’N’Zuéba’’ que dame Marie-Odette Lorougnon s’est faite ‘’la chantre’’ dans le Tonkpi, aveuglement ! Que dire de cette ‘’nouvelle chantre de l’ivoirité’’, de la haine raciale et tribale ? Elle est tout simplement ‘’rongée’’ par sa rancune tenace, sa soif inextinguible de revanche et de vengeance contre le pouvoir actuel pour lequel elle a de l’aversion. Et c’est bien dommage pour cette mère de famille qui donne l’impression de manquer de culture politique et qui ne voit que les intérêts personnels et égoïstes de son clan, de sa tribu. Au lieu de faire plutôt campagne pour la réconciliation, la paix et le ‘’vivre ensemble’’ dans le pays, que nenni !
Igor Wawayou
