San Pedro- Des professionnels des médias, animateurs en langue de radios de proximité et communicateurs en santé, prennent part à San Pedro à un séminaire de renforcement de capacités de trois jours, relatif à la communication sur les risques, afin de diffuser, de façon prompte la vraie et bonne information relative aux maladies à potentiel épidémique au sein des communautés.
Initiée par la Direction générale de la santé, avec l’appui technique et financier de Breaakthrough Action et l’USAID, cette formation, qui prend fin mercredi, s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Plan d’action national de sécurité sanitaire (PANSS). Il réunit 20 participants issus des localités de San Pedro, Tabou, Soubré et Sassandra.
L’objectif, a-t-on noté, est de fournir aux participants les outils méthodologiques et les informations nécessaires, en rapport avec les maladies à potentiel épidémique, en particulier les cinq groupes de zoonoses prioritaires telles que la rage, la tuberculose, les fièvres hémorragiques virales et les infections bactériennes identifiées dans le cadre de la mise en œuvre du PANSS.
L’atelier veut également fournir aux participants des astuces et stratégies de rapportage pour maintenir l’intérêt des communautés pour les maladies à potentiel épidémique, même en dehors des périodes d’épidémie. Les questions du rôle et de la responsabilité des professionnels des médias et communicateurs lors d’événements de santé publique, la gestion des rumeurs, en période d’épidémie ou en dehors, sont également au programme.
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la communication des risques fait référence à un échange d’informations, de conseils et d’opinions, en temps réel, entre les experts, les dirigeants, et la communauté confrontée à une menace sur sa santé, sur sa survie ou à une menace sur son bien-être économique ou social.
La chargée de programme de Breaakthrough Action, Brou Aka Jeanne, a indiqué que la communication des risques est différente de la communication en temps normal. Selon elle, la communication des risques répond à huit principes directeurs, dont l’instauration et le maintien de la confiance, la coordination entre les personnes en charge de la gestion de l’épidémie et les partenaires, la communication proactive, la transparence et la vitesse, l’implication et l’engagement des communautés.
jmk/fmo
Initiée par la Direction générale de la santé, avec l’appui technique et financier de Breaakthrough Action et l’USAID, cette formation, qui prend fin mercredi, s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du Plan d’action national de sécurité sanitaire (PANSS). Il réunit 20 participants issus des localités de San Pedro, Tabou, Soubré et Sassandra.
L’objectif, a-t-on noté, est de fournir aux participants les outils méthodologiques et les informations nécessaires, en rapport avec les maladies à potentiel épidémique, en particulier les cinq groupes de zoonoses prioritaires telles que la rage, la tuberculose, les fièvres hémorragiques virales et les infections bactériennes identifiées dans le cadre de la mise en œuvre du PANSS.
L’atelier veut également fournir aux participants des astuces et stratégies de rapportage pour maintenir l’intérêt des communautés pour les maladies à potentiel épidémique, même en dehors des périodes d’épidémie. Les questions du rôle et de la responsabilité des professionnels des médias et communicateurs lors d’événements de santé publique, la gestion des rumeurs, en période d’épidémie ou en dehors, sont également au programme.
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la communication des risques fait référence à un échange d’informations, de conseils et d’opinions, en temps réel, entre les experts, les dirigeants, et la communauté confrontée à une menace sur sa santé, sur sa survie ou à une menace sur son bien-être économique ou social.
La chargée de programme de Breaakthrough Action, Brou Aka Jeanne, a indiqué que la communication des risques est différente de la communication en temps normal. Selon elle, la communication des risques répond à huit principes directeurs, dont l’instauration et le maintien de la confiance, la coordination entre les personnes en charge de la gestion de l’épidémie et les partenaires, la communication proactive, la transparence et la vitesse, l’implication et l’engagement des communautés.
jmk/fmo