C’est en ces termes que le Premier Ministre japonais a procédé, le mercredi 28 août 2019 à Yokohama, à l’ouverture officielle du TICAD 7. Une cérémonie qui a été rehaussée par la présence de plusieurs Chefs d’Etat du continent, des premiers responsables de l’Union Africaine (UA), de la Banque de Développement Africaine (BAD), de l’ONU et d’une pléthore d’organisations internationales dont la CEMAC qui était représentée par le Président de la Commission, Pr Daniel Ona Ondo.
Plus de deux décennies après le lancement de la conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD), a rappelé Shinzo Abe, cette initiative a fait la preuve de son utilité. Mieux, le Premier Ministre japonais a fait plusieurs annonces. Notamment, la nouvelle approche paix et sécurité en Afrique (NAPSA), la mise en œuvre du plan santé pour l’Afrique qui va permettre d’offrir des soins à plus de 3 millions de personnes et la création d’infrastructures de qualité pour améliorer la connectivité sur le continent, pour ne citer que ça.
A l’évidence, la politique de coopération nippone a su se faire apprécier sur le continent. En témoigne la forte présence des Chefs d’Etat qui ont fait le déplacement de Yokohama. Parce que le Japon est un partenaire pragmatique et ambitieux pour l’essor des pays africains, sa stratégie est basée sur du concret. C’est en cela que le Président Égyptien, Abdel Fattah al-Sissi, président en exercice de l’UA, a souligné lors de son intervention que l’Afrique veut renforcer son intégration et relever les nombreux défis qui se dressent devant elle. Et pour cela, le Japon peut davantage pour le développement des infrastructures, la création d’opportunités d’emplois pour les jeunes à travers les TIC et à pacifier le continent qui ambitionne mettre fin aux conflits armés en 2020.
Si tous les acteurs du jour ont parlé d’une même voix, notamment les Chefs d’Etat africains, celle de la CEMAC n’est pas restée inaudible. En effet, durant le panel de discussions qui a suivi la cérémonie inaugurale, les chefs de délégations des pays de l’Afrique centrale n’ont pas manqué l’occasion de redire leurs priorités. Au cours de ces échanges placés sous le thème :<< accélérer la transformation économique et améliorer le climat des affaires à travers l’innovation et le secteur privé >>, le Cameroun, la Guinée-Equatoriale et le Tchad ont relevé que l’ensemble de la région avait un besoin d’un climat de paix et de sécurité pour promouvoir un développement durable, préserver l’environnement, développer le secteur agricole et investir massivement sur la jeunesse. Un message largement partagé par la Commission de la CEMAC, dont un axe fort de l’actuel gouvernement est justement de réaliser les projets intégrateurs.
En somme, cette première journée du TICAD 7 a permis de démarrer les travaux sous de bons auspices car, japonais et africains ont parfaitement accordé leurs violons.
Plus de deux décennies après le lancement de la conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (TICAD), a rappelé Shinzo Abe, cette initiative a fait la preuve de son utilité. Mieux, le Premier Ministre japonais a fait plusieurs annonces. Notamment, la nouvelle approche paix et sécurité en Afrique (NAPSA), la mise en œuvre du plan santé pour l’Afrique qui va permettre d’offrir des soins à plus de 3 millions de personnes et la création d’infrastructures de qualité pour améliorer la connectivité sur le continent, pour ne citer que ça.
A l’évidence, la politique de coopération nippone a su se faire apprécier sur le continent. En témoigne la forte présence des Chefs d’Etat qui ont fait le déplacement de Yokohama. Parce que le Japon est un partenaire pragmatique et ambitieux pour l’essor des pays africains, sa stratégie est basée sur du concret. C’est en cela que le Président Égyptien, Abdel Fattah al-Sissi, président en exercice de l’UA, a souligné lors de son intervention que l’Afrique veut renforcer son intégration et relever les nombreux défis qui se dressent devant elle. Et pour cela, le Japon peut davantage pour le développement des infrastructures, la création d’opportunités d’emplois pour les jeunes à travers les TIC et à pacifier le continent qui ambitionne mettre fin aux conflits armés en 2020.
Si tous les acteurs du jour ont parlé d’une même voix, notamment les Chefs d’Etat africains, celle de la CEMAC n’est pas restée inaudible. En effet, durant le panel de discussions qui a suivi la cérémonie inaugurale, les chefs de délégations des pays de l’Afrique centrale n’ont pas manqué l’occasion de redire leurs priorités. Au cours de ces échanges placés sous le thème :<< accélérer la transformation économique et améliorer le climat des affaires à travers l’innovation et le secteur privé >>, le Cameroun, la Guinée-Equatoriale et le Tchad ont relevé que l’ensemble de la région avait un besoin d’un climat de paix et de sécurité pour promouvoir un développement durable, préserver l’environnement, développer le secteur agricole et investir massivement sur la jeunesse. Un message largement partagé par la Commission de la CEMAC, dont un axe fort de l’actuel gouvernement est justement de réaliser les projets intégrateurs.
En somme, cette première journée du TICAD 7 a permis de démarrer les travaux sous de bons auspices car, japonais et africains ont parfaitement accordé leurs violons.