Le président de la Commission de l’Union africaine, le Tchadien Moussa Faki Mahamat, a-t-il piqué là où ça fait très mal au PDCI-Daoukro ? Ils ont depuis perdu de leur superbe et tirent à hue et à dia sur l’ancien ministre des Affaires étrangères du président tchadien, Idriss Deby Itmo.
Le satisfecit de SEM Moussa Faki Mahamat, président de la Commission de l’Union africaine au gouvernement ivoirien est un coup de massue, un couperet à l’opposition au pouvoir Ouattara. Elle est perturbée, sonnée. Ce sont les raisons ces jours-ci de leurs tirs groupés contre le diplomate tchadien. Les députés de cette opposition qui se comportent en ‘’rebelles’’ au parlement ivoirien ont décroché des flèches en sa direction. Et ce sont toujours les mêmes qui se donnent en spectacle ridicule et ridiculisant dans la presse qui soutient leurs faits méfaits. Ce sont les groupes parlementaires PDCI-RDA, Vox populi et Rassemblement soutenus en cela par le RACI de l’ex-PAN, Soro Kigbafori Guillaume.
Ce qui est dit, est dit !
Depuis donc la sortie médiatisée du président de la Commission de l’Union africaine, c’est la veillée d’armes au sein de cette opposition qui est depuis en transes, voyant sa dernière bouée de sauvetage s’effondrer pour leur perte définitive. Elle est allergique à tout ce qui ne rencontre pas son assentiment. Drôles de démocrates bien frileux devant la contradiction. Qu’ils le veulent ou pas, ce qui est dit, est dit ! C’est une saine appréciation des réalités du moment, cette loi sur la nouvelle CEI qui répond désormais aux observations soulignées par la Cour africaine des droits de l’Homme et des Peuples ; ils seront bien déçus en décembre 2019 quand la Cour africaine abondera dans le même sens que Moussa Faki Mahamat qui sait de quoi il parle et ce que la Cour africaine rendra comme décision dans presque trois (3) mois. Le président de la Commission de l’Union africaine a piqué là où ça fait très mal à cette opposition ivoirienne ‘’immature et réfractaire’’ à tout ce qui est vérité. Quel dommage !
Igor Wawayou
Le satisfecit de SEM Moussa Faki Mahamat, président de la Commission de l’Union africaine au gouvernement ivoirien est un coup de massue, un couperet à l’opposition au pouvoir Ouattara. Elle est perturbée, sonnée. Ce sont les raisons ces jours-ci de leurs tirs groupés contre le diplomate tchadien. Les députés de cette opposition qui se comportent en ‘’rebelles’’ au parlement ivoirien ont décroché des flèches en sa direction. Et ce sont toujours les mêmes qui se donnent en spectacle ridicule et ridiculisant dans la presse qui soutient leurs faits méfaits. Ce sont les groupes parlementaires PDCI-RDA, Vox populi et Rassemblement soutenus en cela par le RACI de l’ex-PAN, Soro Kigbafori Guillaume.
Ce qui est dit, est dit !
Depuis donc la sortie médiatisée du président de la Commission de l’Union africaine, c’est la veillée d’armes au sein de cette opposition qui est depuis en transes, voyant sa dernière bouée de sauvetage s’effondrer pour leur perte définitive. Elle est allergique à tout ce qui ne rencontre pas son assentiment. Drôles de démocrates bien frileux devant la contradiction. Qu’ils le veulent ou pas, ce qui est dit, est dit ! C’est une saine appréciation des réalités du moment, cette loi sur la nouvelle CEI qui répond désormais aux observations soulignées par la Cour africaine des droits de l’Homme et des Peuples ; ils seront bien déçus en décembre 2019 quand la Cour africaine abondera dans le même sens que Moussa Faki Mahamat qui sait de quoi il parle et ce que la Cour africaine rendra comme décision dans presque trois (3) mois. Le président de la Commission de l’Union africaine a piqué là où ça fait très mal à cette opposition ivoirienne ‘’immature et réfractaire’’ à tout ce qui est vérité. Quel dommage !
Igor Wawayou