Dans le cadre des négociations sur le commerce des services, la Commission de l’Union Africaine a organisé, à la demande des Etats membres, une Conférence ministérielle d’annonces d’intentions afférentes au commerce des services pour le secteur privé, du 02 et 03 septembre 2019 au Cap, en Afrique du Sud.
Cette rencontre a marqué le point de départ des négociations dynamiques sur la libéralisation du commerce dans les cinq secteurs de services prioritaires que sont les services de transport, les services financiers, les services de communications et les services aux entreprises.
La Côte d’Ivoire y a pris part avec une délégation de dix-sept (17) personnalités issues de l’Administration publique, de structures parapubliques, du secteur privé, spécialistes des secteurs bancaire, juridique, du tourisme, des télécommunications/TIC, de l’industrie, des transports, de la promotion des investissements, appuyée de consultants nationaux, experts du commerce des services. Cette délégation était conduite par Dr TANO Adjegny Paulin, Conseiller du Ministre du Commerce et de l’Industrie, Monsieur Souleymane DIARRASSOUBA, qu’il représentait à cette Conférence.
Au cours de cette rencontre, ont eu lieu des échanges entre le secteur privé et les négociateurs, avec la participation d’Experts en matière de services et d’organismes chargés de la régulation du secteur des services.
Il convient de préciser que la Côte d’Ivoire a pris des engagements sur six (6) secteurs relatifs au commerce des services au niveau de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) en 2003, comportant, outre les cinq (5) types de services susvisés définis comme prioritaires par l’Union Africaine (UA), les Services de construction et d’ingénierie. En d’autres termes, toute entreprise étrangère délivrant lesdits services doit avoir une égalité de traitement avec les entreprises nationales.
La rencontre, des 02 et 03 septembre 2019, a constitué un cadre d’évaluation des échanges possibles d’offres de services entre les Etats membres de l’UA et des contraintes ainsi que des possibilités offertes par la ZLECAf relativement au commerce des services.
Cette importante conférence s’est achevée le 03 septembre par une réunion des Ministres en charge du commerce, suivie d’un dialogue sur les aspects techniques. Il s’agit de relever les principaux défis en matière de libéralisation du commerce des services au sein de l’Union, avec une implication plus accrue du secteur privé. Ces défis portent principalement sur les contraintes de mobilité (visa) ; la multiplicité des monnaies, des langues ainsi que des textes juridiques ; l’insécurité ; les agréments et redevances, etc. Cette rencontre de haut niveau a vu la participation de dix-sept (17) Ministres de commerce africains. La Conférence a recommandé aux Etats, sur la base des travaux des Comités Nationaux, d’œuvrer, avec célérité, à une mise en œuvre de l’Accord ZLECAf portant sur le commerce des services, à partir de janvier 2020.
Cette rencontre a marqué le point de départ des négociations dynamiques sur la libéralisation du commerce dans les cinq secteurs de services prioritaires que sont les services de transport, les services financiers, les services de communications et les services aux entreprises.
La Côte d’Ivoire y a pris part avec une délégation de dix-sept (17) personnalités issues de l’Administration publique, de structures parapubliques, du secteur privé, spécialistes des secteurs bancaire, juridique, du tourisme, des télécommunications/TIC, de l’industrie, des transports, de la promotion des investissements, appuyée de consultants nationaux, experts du commerce des services. Cette délégation était conduite par Dr TANO Adjegny Paulin, Conseiller du Ministre du Commerce et de l’Industrie, Monsieur Souleymane DIARRASSOUBA, qu’il représentait à cette Conférence.
Au cours de cette rencontre, ont eu lieu des échanges entre le secteur privé et les négociateurs, avec la participation d’Experts en matière de services et d’organismes chargés de la régulation du secteur des services.
Il convient de préciser que la Côte d’Ivoire a pris des engagements sur six (6) secteurs relatifs au commerce des services au niveau de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) en 2003, comportant, outre les cinq (5) types de services susvisés définis comme prioritaires par l’Union Africaine (UA), les Services de construction et d’ingénierie. En d’autres termes, toute entreprise étrangère délivrant lesdits services doit avoir une égalité de traitement avec les entreprises nationales.
La rencontre, des 02 et 03 septembre 2019, a constitué un cadre d’évaluation des échanges possibles d’offres de services entre les Etats membres de l’UA et des contraintes ainsi que des possibilités offertes par la ZLECAf relativement au commerce des services.
Cette importante conférence s’est achevée le 03 septembre par une réunion des Ministres en charge du commerce, suivie d’un dialogue sur les aspects techniques. Il s’agit de relever les principaux défis en matière de libéralisation du commerce des services au sein de l’Union, avec une implication plus accrue du secteur privé. Ces défis portent principalement sur les contraintes de mobilité (visa) ; la multiplicité des monnaies, des langues ainsi que des textes juridiques ; l’insécurité ; les agréments et redevances, etc. Cette rencontre de haut niveau a vu la participation de dix-sept (17) Ministres de commerce africains. La Conférence a recommandé aux Etats, sur la base des travaux des Comités Nationaux, d’œuvrer, avec célérité, à une mise en œuvre de l’Accord ZLECAf portant sur le commerce des services, à partir de janvier 2020.