Sous la présidence du Vice-président de la République, Son Excellence Daniel Kablan Duncan, qui a officiellement ouvert les travaux, le Conseil International de l’Organisation Internationale du cacao s’est réuni, le mardi 10 septembre 2019, à l’auditorium du Ministère des Affaires Etrangères, dans le cadre de sa 100e réunion. A l’occasion, le Ministre du Commerce et de l’Industrie, Souleymane Diarrassouba, a plaidé pour que les prix du cacao correspondent à la valeur réelle du produit.
« Il s’agit notamment de parvenir à des prix rémunérateurs permettant d’éviter une captation disproportionnée de la richesse générée, par des intermédiaires se trouvant d’une part, entre les producteurs et les transformateurs et d’autre part, entre les transformateurs et les consommateurs », a-t-il regretté, avant d’égrener les efforts consentis par le Gouvernement, en vue du développement d’une industrie cacaoyère.
A ce niveau, il a rappelé que l’un des objectifs de la politique industrielle de la Côte d’Ivoire est de renforcer le lien production-transformation pour créer plus de valeur ajoutée pour des emplois décents et durables. Puis, le Ministre Souleymane Diarrassouba a révélé quelques mesures pour accélérer l’industrie cacaoyère ivoirienne.
A la clef, des avantages offerts par le code des investissements et la garantie d’approvisionnement en matières premières. Mieux, le Gouvernement a adopté la mesure de Droit Unique de Sortie Différencié qui est une taxation dégressive selon le degré de transformation pour améliorer de façon substantielle, la compétitivité des entreprises de transformation de cacao en Côte d’Ivoire.
« Ces mesures ont eu un impact important sur la transformation du cacao. En effet, le niveau de production du cacao ivoirien est passé de 1,6 million de tonnes au titre de la campagne 2015-2016. A 2 millions 100 000 tonnes au titre de la campagne 2017-2018, soit une hausse de plus de 33%. Le volume de cacao transformé est passé de 491 495 tonnes à 580 000 tonnes soit une augmentation de plus de 18% sur la même période, avec également une hausse de capacité de transformation en Côte d’Ivoire », a souligné le Ministre Souleymane Diarrassouba.
Concernant le changement climatique, le Ministre en charge de l’Industrie a noté l’engagement de la Côte d’Ivoire, dans le cadre de la COP 21, à réduire l’émission de gaz à effet de serre de 28% pour pouvoir atteindre 36% en cas d’appui adapté au plan international d’ici à 2030. La part des énergies renouvelables dans son mixte énergétique devait être à 16% avec une meilleure gestion des forêts, dans le cadre du concept Agriculture Zéro Déforestation. « Par ailleurs, le Gouvernement ivoirien met en œuvre le programme 2QC (Quantité, Qualité et Croissance) pour améliorer la productivité, la qualité et la durabilité de la filière cacao », a-t-il fait remarquer.
« Il s’agit notamment de parvenir à des prix rémunérateurs permettant d’éviter une captation disproportionnée de la richesse générée, par des intermédiaires se trouvant d’une part, entre les producteurs et les transformateurs et d’autre part, entre les transformateurs et les consommateurs », a-t-il regretté, avant d’égrener les efforts consentis par le Gouvernement, en vue du développement d’une industrie cacaoyère.
A ce niveau, il a rappelé que l’un des objectifs de la politique industrielle de la Côte d’Ivoire est de renforcer le lien production-transformation pour créer plus de valeur ajoutée pour des emplois décents et durables. Puis, le Ministre Souleymane Diarrassouba a révélé quelques mesures pour accélérer l’industrie cacaoyère ivoirienne.
A la clef, des avantages offerts par le code des investissements et la garantie d’approvisionnement en matières premières. Mieux, le Gouvernement a adopté la mesure de Droit Unique de Sortie Différencié qui est une taxation dégressive selon le degré de transformation pour améliorer de façon substantielle, la compétitivité des entreprises de transformation de cacao en Côte d’Ivoire.
« Ces mesures ont eu un impact important sur la transformation du cacao. En effet, le niveau de production du cacao ivoirien est passé de 1,6 million de tonnes au titre de la campagne 2015-2016. A 2 millions 100 000 tonnes au titre de la campagne 2017-2018, soit une hausse de plus de 33%. Le volume de cacao transformé est passé de 491 495 tonnes à 580 000 tonnes soit une augmentation de plus de 18% sur la même période, avec également une hausse de capacité de transformation en Côte d’Ivoire », a souligné le Ministre Souleymane Diarrassouba.
Concernant le changement climatique, le Ministre en charge de l’Industrie a noté l’engagement de la Côte d’Ivoire, dans le cadre de la COP 21, à réduire l’émission de gaz à effet de serre de 28% pour pouvoir atteindre 36% en cas d’appui adapté au plan international d’ici à 2030. La part des énergies renouvelables dans son mixte énergétique devait être à 16% avec une meilleure gestion des forêts, dans le cadre du concept Agriculture Zéro Déforestation. « Par ailleurs, le Gouvernement ivoirien met en œuvre le programme 2QC (Quantité, Qualité et Croissance) pour améliorer la productivité, la qualité et la durabilité de la filière cacao », a-t-il fait remarquer.