Abidjan-Un atelier sur la mise en place d’un cadre fiscal incitatif pour le développement de la micro-assurance se tient jeudi à Abidjan en vue de proposer des solutions d’assurance convenable aux personnes à faible revenus singulièrement celles exerçant dans le secteur informel et qui sont souvent mal desservies par les assureurs classiques.
Ouvrant les travaux, le Directeur général adjoint du Trésor et de la Comptabilité publique, Ahoussi Arthur, a souligné que la micro-assurance est définie comme un mécanisme d’assurance caractérisée par la faiblesse des primes, ou de capitaux assurés, par la simplicité des couvertures, de gestion des contrats, de déclaration des sinistres et d’indemnisation des victimes.
Pour lui, cette branche d’assurance vise à protéger les personnes à faible revenu contre des risques spécifiques en contrepartie de paiement de primes ou de cotisation de faible montant. A ce titre, M. Ahoussi souhaite que la micro-assurance soit un outil de développement au service des populations vulnérables.
«L’objectif social ainsi visé ne pourra être atteint qu’avec des mesures d’accompagnement dont fait partie la fiscalité », a-t-il indiqué tout en réitérant sa volonté de voir déboucher les travaux de cette rencontre sur un avant projet de texte dans l’intérêt des consommateurs et pour le développement de la micro-finance.
Les régulateurs du secteur financier, la direction générale des impôts, les assureurs et les consommateurs sont les participants de cette rencontre initiée par la Direction des assurances.
Le règlement instituant la micro-assurance date d’avril 2012. L’une des particularités de ce règlement est que chaque étape est appelé à définir un régime fiscal incitatif dérogatoire des opérations de micro-assurance.
bsp/kam
Ouvrant les travaux, le Directeur général adjoint du Trésor et de la Comptabilité publique, Ahoussi Arthur, a souligné que la micro-assurance est définie comme un mécanisme d’assurance caractérisée par la faiblesse des primes, ou de capitaux assurés, par la simplicité des couvertures, de gestion des contrats, de déclaration des sinistres et d’indemnisation des victimes.
Pour lui, cette branche d’assurance vise à protéger les personnes à faible revenu contre des risques spécifiques en contrepartie de paiement de primes ou de cotisation de faible montant. A ce titre, M. Ahoussi souhaite que la micro-assurance soit un outil de développement au service des populations vulnérables.
«L’objectif social ainsi visé ne pourra être atteint qu’avec des mesures d’accompagnement dont fait partie la fiscalité », a-t-il indiqué tout en réitérant sa volonté de voir déboucher les travaux de cette rencontre sur un avant projet de texte dans l’intérêt des consommateurs et pour le développement de la micro-finance.
Les régulateurs du secteur financier, la direction générale des impôts, les assureurs et les consommateurs sont les participants de cette rencontre initiée par la Direction des assurances.
Le règlement instituant la micro-assurance date d’avril 2012. L’une des particularités de ce règlement est que chaque étape est appelé à définir un régime fiscal incitatif dérogatoire des opérations de micro-assurance.
bsp/kam