Au terme d’une visite sur le site de l’unité de transformation de cajou dénommée ‘’Cajou des savanes’’ (Casa), le jeudi 19 septembre 2019 à Bouaké, le ministre du Commerce et de l’Industrie, Souleymane Diarrassouba, a exprimé sa satisfaction à l’endroit de cette usine qui contribue depuis 2014 à promouvoir l’activité industrielle dans la capitale de la région du Gbêkê. Il en a profité pour annoncer la renaissance industrielle de cette ville jadis fleuron de l’industrie en Côte d’Ivoire. « Je voudrais me féliciter de ce que depuis 2014, cette unité continue de fonctionner et continue de mettre en œuvre de façon concrète, la politique du gouvernement en matière de transformation de noix de cajou par rapport aux orientations du président de la République qui, par rapport aux objectifs du PND, a demandé que 50% de notre production de noix de cajou soient transformés en 2020 », a-t-il mentionné.
Cette visite lui a permis de constater que Casa est une entité qui prend toutes les
dispositions en matière de normes d’hygiène, de salubrité et de certification, afin que tous ses produits soient exportés dans les différents pays où les normes sanitaires sont très strictes. L’autre point de satisfaction du ministre en charge de l’Industrie est qu’il a pu noter que cette unité industrielle est le plus gros employeur de la ville de Bouaké, avec plus de 700 personnes, dont les 2/3 sont des femmes.
Correspondant ainsi à la politique du Chef de l’Etat en matière de promotion du genre. « Ces 700 personnes constituent une force de travail et un pouvoir d’achat pour la ville de Bouaké. C’est donc l’occasion pour moi de remercier les hauts dirigeants de cette entreprise, par rapport à la promotion de la politique de l’emploi. Et aussi par rapport à la place qu’occupe l’entreprise au niveau du paysage industriel de Bouaké », s’est satisfait le ministre Souleymane Diarrassouba.
Avec ses interlocuteurs de Casa, il a partagé la contribution du Gouvernement en faveur des entreprises de transformation de la noix de cajou. Il est notamment revenu sur une batterie de mesures pour encourager les investisseurs nationaux et internationaux à investir dans le secteur de la transformation du cajou. Avec une capacité de transformation de 5 000 tonnes, cette entreprise est éligible à l’offre des avantages additionnels de l’Etat de Côte d’Ivoire pour encourager ce type d’entreprises à étendre leur capacité de production. « Plus elles transforment, plus elles ont des avantages fiscaux et douaniers », a-t-il précisé.
Dans la foulée, le ministre du Commerce et de l’Industrie a annoncé le retour de
l’industrie textile à Bouaké, avec à la clef, une zone franche textile de 100 hectares. La première tranche s’étendra sur 25 hectares, en vue d’encourager l’installation d’une unité industrielle de transformation de coton, depuis l’amont avec la production de coton, jusqu’à l’aval avec la production de vêtements. A ce niveau, les études de faisabilité sont en cours et se finaliseront au plus tard en février 2020. Quant au financement, le ministre Diarrassouba a indiqué qu’il sera bouclé avec les opérateurs avant la fin du 3è trimestre 2020. « Ensemble avec les populations, nous travaillerons à la renaissance industrielle de Bouaké », a-t-il rassuré.
Cette visite lui a permis de constater que Casa est une entité qui prend toutes les
dispositions en matière de normes d’hygiène, de salubrité et de certification, afin que tous ses produits soient exportés dans les différents pays où les normes sanitaires sont très strictes. L’autre point de satisfaction du ministre en charge de l’Industrie est qu’il a pu noter que cette unité industrielle est le plus gros employeur de la ville de Bouaké, avec plus de 700 personnes, dont les 2/3 sont des femmes.
Correspondant ainsi à la politique du Chef de l’Etat en matière de promotion du genre. « Ces 700 personnes constituent une force de travail et un pouvoir d’achat pour la ville de Bouaké. C’est donc l’occasion pour moi de remercier les hauts dirigeants de cette entreprise, par rapport à la promotion de la politique de l’emploi. Et aussi par rapport à la place qu’occupe l’entreprise au niveau du paysage industriel de Bouaké », s’est satisfait le ministre Souleymane Diarrassouba.
Avec ses interlocuteurs de Casa, il a partagé la contribution du Gouvernement en faveur des entreprises de transformation de la noix de cajou. Il est notamment revenu sur une batterie de mesures pour encourager les investisseurs nationaux et internationaux à investir dans le secteur de la transformation du cajou. Avec une capacité de transformation de 5 000 tonnes, cette entreprise est éligible à l’offre des avantages additionnels de l’Etat de Côte d’Ivoire pour encourager ce type d’entreprises à étendre leur capacité de production. « Plus elles transforment, plus elles ont des avantages fiscaux et douaniers », a-t-il précisé.
Dans la foulée, le ministre du Commerce et de l’Industrie a annoncé le retour de
l’industrie textile à Bouaké, avec à la clef, une zone franche textile de 100 hectares. La première tranche s’étendra sur 25 hectares, en vue d’encourager l’installation d’une unité industrielle de transformation de coton, depuis l’amont avec la production de coton, jusqu’à l’aval avec la production de vêtements. A ce niveau, les études de faisabilité sont en cours et se finaliseront au plus tard en février 2020. Quant au financement, le ministre Diarrassouba a indiqué qu’il sera bouclé avec les opérateurs avant la fin du 3è trimestre 2020. « Ensemble avec les populations, nous travaillerons à la renaissance industrielle de Bouaké », a-t-il rassuré.