Dans cet entretien accordé à l’IA après l'arrivée du Président de la République Alassane Ouattara à Dimbokro le mercredi 25 septembre 2019, Bilé Diéméléou Gabriel, le maire de la commune, exprime sa joie de voir « enfin » la visite d’État démarrer, et dit tous les espoirs que sa population et lui placent en elle.
Quels sentiments vous animent en ce moment où le Président de la République démarre sa visite d’État dans le N’Zi ?
Ce sont des sentiments de joie et de fierté. Je suis fier de voir que le Chef de l’État a effectivement démarré sa visite. Fierté, parce que ça fait une longue attente. Et lui-même, quand il me saluait tout à l’heure (à son arrivée a Dimbokro, le mercredi 25 septembre 2019. Ndlr), il m’a dit, «tu vois, je suis venu. Je t’avais dit». Je lui ai répondu «Monsieur le président, la population est là pour vous. Et ce sont vos frères. Donc, nous sommes sortis aussi pour vous accueillir». C’est cette joie qui est partagée par tout ce monde, qui a été vue le long de son parcours. Il y a tout un chapelet de doléances. Nous allons faire beaucoup de choses.
Justement, qu'est-ce que cela vous a fait de voir tout ce monde dehors ?
J’appelle cela, la réponse à l’appel. Voilà que la population est sortie pour effectivement voir que le Président Alassane Ouattara est arrivé. C’est un rendez-vous qui a mis du temps à se concrétiser. Mais ils sont en joie, parce qu’ils se disent qu’ils sont venus pour le voir lui-même. Et lui confirmer que sa visite était attendue. J'ai vu le chapelet de doléances.
Dimbokro est chef de région du N’Zi. Il y a effectivement beaucoup d’attentes. Peut-on avoir une idée des doléances que vous aurez à présenter au Président ? Quelles sont les difficultés que vous avez ici ?
Les doléances, il y a en toujours. Vous avez vu que le Président a commencé à électrifier un certain nombre de villages. Les derniers villages devraient être électrifiés avant fin 2020. Les poteaux sont arrivés. Cela va être réglé. Nous avons demandé un pont sur le N’Zi pour les voitures. Ceci, de sorte à ce que, les populations qui vivent dans les villages situés sur l’autre rive, puissent venir facilement a Dimbokro. À l'heure actuelle, c'est sur les rails que l'on traverse le fleuve. Il faut donc un pont pour les voitures. Actuellement, on parcourt 25 km pour se rendre dans ces villages en voiture. Alors que, s'il y avait un pont pour les voitures sur le fleuve, on n'a que 300 mètres à parcourir. Ce pont est donc nécessaire. Cela fait un gain de temps. Nous avons aussi demandé qu’il y ait la route Dimbokro – Bongouanou et, bien sûr, Dimbokro- Kouassi Kouassikro. Ce sont des doléances. Le Président de la République nous répondra lors du meeting du samedi 28 septembre 2019. Il dira ce qu'il nous réserve lui-même. Nous avons des établissements qui vont être construits.
Quels sentiments vous animent en ce moment où le Président de la République démarre sa visite d’État dans le N’Zi ?
Ce sont des sentiments de joie et de fierté. Je suis fier de voir que le Chef de l’État a effectivement démarré sa visite. Fierté, parce que ça fait une longue attente. Et lui-même, quand il me saluait tout à l’heure (à son arrivée a Dimbokro, le mercredi 25 septembre 2019. Ndlr), il m’a dit, «tu vois, je suis venu. Je t’avais dit». Je lui ai répondu «Monsieur le président, la population est là pour vous. Et ce sont vos frères. Donc, nous sommes sortis aussi pour vous accueillir». C’est cette joie qui est partagée par tout ce monde, qui a été vue le long de son parcours. Il y a tout un chapelet de doléances. Nous allons faire beaucoup de choses.
Justement, qu'est-ce que cela vous a fait de voir tout ce monde dehors ?
J’appelle cela, la réponse à l’appel. Voilà que la population est sortie pour effectivement voir que le Président Alassane Ouattara est arrivé. C’est un rendez-vous qui a mis du temps à se concrétiser. Mais ils sont en joie, parce qu’ils se disent qu’ils sont venus pour le voir lui-même. Et lui confirmer que sa visite était attendue. J'ai vu le chapelet de doléances.
Dimbokro est chef de région du N’Zi. Il y a effectivement beaucoup d’attentes. Peut-on avoir une idée des doléances que vous aurez à présenter au Président ? Quelles sont les difficultés que vous avez ici ?
Les doléances, il y a en toujours. Vous avez vu que le Président a commencé à électrifier un certain nombre de villages. Les derniers villages devraient être électrifiés avant fin 2020. Les poteaux sont arrivés. Cela va être réglé. Nous avons demandé un pont sur le N’Zi pour les voitures. Ceci, de sorte à ce que, les populations qui vivent dans les villages situés sur l’autre rive, puissent venir facilement a Dimbokro. À l'heure actuelle, c'est sur les rails que l'on traverse le fleuve. Il faut donc un pont pour les voitures. Actuellement, on parcourt 25 km pour se rendre dans ces villages en voiture. Alors que, s'il y avait un pont pour les voitures sur le fleuve, on n'a que 300 mètres à parcourir. Ce pont est donc nécessaire. Cela fait un gain de temps. Nous avons aussi demandé qu’il y ait la route Dimbokro – Bongouanou et, bien sûr, Dimbokro- Kouassi Kouassikro. Ce sont des doléances. Le Président de la République nous répondra lors du meeting du samedi 28 septembre 2019. Il dira ce qu'il nous réserve lui-même. Nous avons des établissements qui vont être construits.