C’est dans la salle de réunion de la préfecture de Kong que s’est tenu, le 10 octobre dernier, le troisième atelier de suivi trimestriel du Plan d’Opérations 2019 du Parc national de la Comoé (PNC).
Cette importante séance de travail a été présidée par M. GOUA BI Lizie, Secrétaire Général de Préfecture, représentant le Préfet du Département de Kong. Elle a enregistré la participation des Sous-préfets de Sikolo et de Bilimono, des gestionnaires du PNC et autres responsables de la direction générale de l’OIPR, des partenaires techniques et financiers (MIRAH, GIZ/PROFIAB, KFW/GOPA), des représentants des Conseils Régionaux du Bounkani et du Tchologo, des responsables d’associations locales à savoir les AGEREFs et du président la Plateforme de Chefs Traditionnels de la périphérie du PNC.
Comme à l’accoutumée, ce type de rencontre a été le lieu de faire le bilan des activités réalisées au troisième trimestre sur la base du plan d’opérations annuel établi en début d’année 2019, de partager les difficultés rencontrées et de proposer des mesures correctives, d’une part, et de présenter les résultats d’études effectuées.
Les activités mises en œuvre sur la période de juillet à septembre 2019, qui ont été passées en revue, sont inhérentes au six programmes de gestion du PNC que sont la protection et gestion rationnelle des ressources, l’appui aux populations et autres acteurs de la périphérie, le suivi écologique et recherche scientifique, le financement durable, les aménagements, la gestion et l’intégration régionale.
A cela, il faut ajouter les présentations portant sur la contribution de la GIZ/PROFIAB aux actions d’appui à la protection du parc et au développement local, les résultats des activités de surveillance du PNC avec l’outil SMART, les résultats de l’étude sur les grands carnivores et l’ossature du projet de gestion des risques et catastrophes au PNC.
C’est un bilan jugé relativement satisfaisant avec un taux d’exécution de 58,76% contre de 55,29% pour le 2ème trimestre. Le maintien de la performance du PNC en dessous des 60% est imputable aux investissements en infrastructures, ayant un poids financier important dans le Plan d’Opérations, et dont les travaux ne sont pas entamés. Toutefois, il est à saluer les avancées notables enregistrées dans la conduite de certains dossiers d’investissements portant sur l’ouverture des pistes intérieures principales du PNC, l’acquisition de matériels roulant et de surveillance aérienne ainsi que la réhabilitation des ouvrages agropastoraux au profit des populations locales.
Au terme de cet atelier, le Lieutenant-Colonel KOUADIO Yao Roger, Directeur du parc, a renouvelé ses remerciements aux participants pour l’ensemble des contributions effectuées pour la gestion du bien naturel commun. Reconnaissant que la protection du parc n’est pas une tâche aisée pour le gestionnaire, il s’est engagé avec son équipe à poursuivre les efforts de conservation avec les mêmes passion et dynamisme. Il a, enfin, exhorté les communautés locales à plus de collaboration pour réduire, dans certaines zones du parc, les poches d’agressions liées à l’orpaillage et autres activités proscrites.
Pour finir, le président de séance, M. GOUA BI Lizie, Secrétaire général de Préfecture de Kong, s’est réjoui de l’ambiance bon enfant qui y a prévalu et instruit les gestionnaires à donner vie, avec l’appui des partenaires techniques et financiers, aux recommandations formulées.
Cette importante séance de travail a été présidée par M. GOUA BI Lizie, Secrétaire Général de Préfecture, représentant le Préfet du Département de Kong. Elle a enregistré la participation des Sous-préfets de Sikolo et de Bilimono, des gestionnaires du PNC et autres responsables de la direction générale de l’OIPR, des partenaires techniques et financiers (MIRAH, GIZ/PROFIAB, KFW/GOPA), des représentants des Conseils Régionaux du Bounkani et du Tchologo, des responsables d’associations locales à savoir les AGEREFs et du président la Plateforme de Chefs Traditionnels de la périphérie du PNC.
Comme à l’accoutumée, ce type de rencontre a été le lieu de faire le bilan des activités réalisées au troisième trimestre sur la base du plan d’opérations annuel établi en début d’année 2019, de partager les difficultés rencontrées et de proposer des mesures correctives, d’une part, et de présenter les résultats d’études effectuées.
Les activités mises en œuvre sur la période de juillet à septembre 2019, qui ont été passées en revue, sont inhérentes au six programmes de gestion du PNC que sont la protection et gestion rationnelle des ressources, l’appui aux populations et autres acteurs de la périphérie, le suivi écologique et recherche scientifique, le financement durable, les aménagements, la gestion et l’intégration régionale.
A cela, il faut ajouter les présentations portant sur la contribution de la GIZ/PROFIAB aux actions d’appui à la protection du parc et au développement local, les résultats des activités de surveillance du PNC avec l’outil SMART, les résultats de l’étude sur les grands carnivores et l’ossature du projet de gestion des risques et catastrophes au PNC.
C’est un bilan jugé relativement satisfaisant avec un taux d’exécution de 58,76% contre de 55,29% pour le 2ème trimestre. Le maintien de la performance du PNC en dessous des 60% est imputable aux investissements en infrastructures, ayant un poids financier important dans le Plan d’Opérations, et dont les travaux ne sont pas entamés. Toutefois, il est à saluer les avancées notables enregistrées dans la conduite de certains dossiers d’investissements portant sur l’ouverture des pistes intérieures principales du PNC, l’acquisition de matériels roulant et de surveillance aérienne ainsi que la réhabilitation des ouvrages agropastoraux au profit des populations locales.
Au terme de cet atelier, le Lieutenant-Colonel KOUADIO Yao Roger, Directeur du parc, a renouvelé ses remerciements aux participants pour l’ensemble des contributions effectuées pour la gestion du bien naturel commun. Reconnaissant que la protection du parc n’est pas une tâche aisée pour le gestionnaire, il s’est engagé avec son équipe à poursuivre les efforts de conservation avec les mêmes passion et dynamisme. Il a, enfin, exhorté les communautés locales à plus de collaboration pour réduire, dans certaines zones du parc, les poches d’agressions liées à l’orpaillage et autres activités proscrites.
Pour finir, le président de séance, M. GOUA BI Lizie, Secrétaire général de Préfecture de Kong, s’est réjoui de l’ambiance bon enfant qui y a prévalu et instruit les gestionnaires à donner vie, avec l’appui des partenaires techniques et financiers, aux recommandations formulées.