Le ministre Aka Aouélé a présidé, le mercredi 23 novembre 2019, la cérémonie de lancement du vaccin contre l’hépatite B à la direction de coordination du programme élargi de vaccination, en Zone 3, Treichville.
Réduireconsidérablement le taux de mortalité et de mobilité lié à l’hépatite en général et l’hépatite B en particulier. Telle est l’ambition du gouvernement ivoirien, qui a décidé de combattre le mal à la racine en imposant le vaccin contre cette maladie à la naissance.Le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique Aka Aouélé a été le témoin privilège de la cérémonie officielle de lancement de « l’introduction de la dose à la naissance du vaccin contre l’hépatite B le programme élargie de vaccination de routine ». Par cet et à compter du 23 Octobre, tous les enfants nés sur l’étendue du territoire ivoirien recevront gratuitement une dose u vaccin contre l’hépatite B, dans les 24 heures ou au plus tard dans les 72 heures qui suivent la naissance. En félicitant le gouvernement ivoirien pour cette initiative, le représentant résidant de l’Unicef, Marc Vincent a fait remarquer qu’en 2005, les hépatites A, B, C, D et E ont causé plus d’un million de décès dans le monde. Face à ce tableau, L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a décidé de réduire de 90% les nouvelles infections par le virus de l’hépatite entre 2006 et 2030.Pour y parvenir, l’organisation mondiale met un accès particulier sur la prévention dans la période périnatale. C’est pour cela que le représentant résidant de l’Unicef se félicite de l’engagement du gouvernement ivoirien. « L’introduction de la dose à la naissance est en adéquation avec la stratégie d’élimination », fait remarquer Marc Vincent. Qui vante les mérites de la vaccination en général. Car elle a permis de réduire la polio de 99% à travers le monde avec plus de 500.000 décès évités chaque année en Afrique.
Les avantages de la vaccination sont aussi financiers. « Un dollar investi dans la vaccination permet d’économiser jusqu’à 16 dollars en soins de santé publique », indique le diplomate. Qui réitère l’engagement des partenaires au développement à soutenir toutes les initiatives du gouvernement ivoirien visant « l’amélioration de la santé des populations vivant en Côte d’Ivoire », promet le représentant résident de l’Unicef.
Le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Aka Aouélé, a pour sa part, expliqué que le Président de la République Alassane Ouattara et le Premier Ministre Amadou Gon Coulibaly ne ménageront aucun effort, pour apporter une réponse définitive aux questions de la santé des Ivoiriens. Il en veut pour preuve les nombreuses structures sanitaires en construction ou réhabilitées dans le cadre du Programme social du gouvernement. Le ministre de la santé a, par ailleurs remis 100 motos, des glacières et des congélateurs aux directions régionales et départementales de la Santé, pour renforcer les activités de vaccinations.
Réduireconsidérablement le taux de mortalité et de mobilité lié à l’hépatite en général et l’hépatite B en particulier. Telle est l’ambition du gouvernement ivoirien, qui a décidé de combattre le mal à la racine en imposant le vaccin contre cette maladie à la naissance.Le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique Aka Aouélé a été le témoin privilège de la cérémonie officielle de lancement de « l’introduction de la dose à la naissance du vaccin contre l’hépatite B le programme élargie de vaccination de routine ». Par cet et à compter du 23 Octobre, tous les enfants nés sur l’étendue du territoire ivoirien recevront gratuitement une dose u vaccin contre l’hépatite B, dans les 24 heures ou au plus tard dans les 72 heures qui suivent la naissance. En félicitant le gouvernement ivoirien pour cette initiative, le représentant résidant de l’Unicef, Marc Vincent a fait remarquer qu’en 2005, les hépatites A, B, C, D et E ont causé plus d’un million de décès dans le monde. Face à ce tableau, L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a décidé de réduire de 90% les nouvelles infections par le virus de l’hépatite entre 2006 et 2030.Pour y parvenir, l’organisation mondiale met un accès particulier sur la prévention dans la période périnatale. C’est pour cela que le représentant résidant de l’Unicef se félicite de l’engagement du gouvernement ivoirien. « L’introduction de la dose à la naissance est en adéquation avec la stratégie d’élimination », fait remarquer Marc Vincent. Qui vante les mérites de la vaccination en général. Car elle a permis de réduire la polio de 99% à travers le monde avec plus de 500.000 décès évités chaque année en Afrique.
Les avantages de la vaccination sont aussi financiers. « Un dollar investi dans la vaccination permet d’économiser jusqu’à 16 dollars en soins de santé publique », indique le diplomate. Qui réitère l’engagement des partenaires au développement à soutenir toutes les initiatives du gouvernement ivoirien visant « l’amélioration de la santé des populations vivant en Côte d’Ivoire », promet le représentant résident de l’Unicef.
Le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, Aka Aouélé, a pour sa part, expliqué que le Président de la République Alassane Ouattara et le Premier Ministre Amadou Gon Coulibaly ne ménageront aucun effort, pour apporter une réponse définitive aux questions de la santé des Ivoiriens. Il en veut pour preuve les nombreuses structures sanitaires en construction ou réhabilitées dans le cadre du Programme social du gouvernement. Le ministre de la santé a, par ailleurs remis 100 motos, des glacières et des congélateurs aux directions régionales et départementales de la Santé, pour renforcer les activités de vaccinations.