Sur information anonyme, une équipe de la Répression des Fraudes du Ministère du Commerce et de l’Industrie, conduite par le Sous-directeur Kponé Zimo Bérenger, a fait irruption dans les locaux d’une entreprise métallurgique sise à Marcory Zone 4, le mardi 5 novembre 2019.
« Il s’agit de tôles de couverture. Depuis quelques temps, nos services ont été saisis d’une information selon laquelle, il existe certaines tôles de couverture dont on ignore totalement la provenance et l’origine », a expliqué M. Zimo Bérenger, qui a ajouté que la suspicion planait sur la qualité de ces tôles.
Grâce à une enquête minutieusement menée par les inspecteurs du service de la répression des fraudes, le pot aux roses a été découvert. Avec en toile de fond, 14 600 feuilles de tôles d’une valeur de 30 millions Fcfa. Bien entendu les feuilles de tôles saisies ne respectent aucune disposition réglementaire, d’autant plus qu’elles n’étaient pas marquées par des précisions sur la longueur, la largeur, l’épaisseur, le nom de l’importateur et du fabricant.
Des échantillons ont été acheminés au laboratoire pour des analyses encore plus approfondies. Reconnaissant les faits, les propriétaires demandent plutôt la clémence de l’administration, parce qu’ils ignoreraient les réglementations en la matière. Selon leurs explications, c’est la toute première fois qu’ils font de telles importations. Ordinairement, ils interviennent notamment dans le fer à béton, et d’autres matériaux de construction. Selon le Sous-directeur de la répression des fraudes, ils encourent des sanctions d’ordre pénal ou des amendes transactionnelles.
« Les résultats d’analyses nous permettront d’apprécier l’ampleur de la situation, en ce qui concerne la qualité de la tôle de couverture incriminée. Nous pourrons alors mieux nous prononcer », a-t-il annoncé, avant de lancer un appel à la responsabilité à l’endroit des opérateurs du secteur des matériaux de construction. Car, selon lui, l’écroulement des maisons tirent leur source de la mauvaise qualité des matériaux. « L’Etat est très regardant, notamment Monsieur Souleymane Diarrassouba, Ministre du Commerce et de l’Industrie qui suit ces éléments de très près », a mis en garde Kponé Zimo Bérenger.
« Il s’agit de tôles de couverture. Depuis quelques temps, nos services ont été saisis d’une information selon laquelle, il existe certaines tôles de couverture dont on ignore totalement la provenance et l’origine », a expliqué M. Zimo Bérenger, qui a ajouté que la suspicion planait sur la qualité de ces tôles.
Grâce à une enquête minutieusement menée par les inspecteurs du service de la répression des fraudes, le pot aux roses a été découvert. Avec en toile de fond, 14 600 feuilles de tôles d’une valeur de 30 millions Fcfa. Bien entendu les feuilles de tôles saisies ne respectent aucune disposition réglementaire, d’autant plus qu’elles n’étaient pas marquées par des précisions sur la longueur, la largeur, l’épaisseur, le nom de l’importateur et du fabricant.
Des échantillons ont été acheminés au laboratoire pour des analyses encore plus approfondies. Reconnaissant les faits, les propriétaires demandent plutôt la clémence de l’administration, parce qu’ils ignoreraient les réglementations en la matière. Selon leurs explications, c’est la toute première fois qu’ils font de telles importations. Ordinairement, ils interviennent notamment dans le fer à béton, et d’autres matériaux de construction. Selon le Sous-directeur de la répression des fraudes, ils encourent des sanctions d’ordre pénal ou des amendes transactionnelles.
« Les résultats d’analyses nous permettront d’apprécier l’ampleur de la situation, en ce qui concerne la qualité de la tôle de couverture incriminée. Nous pourrons alors mieux nous prononcer », a-t-il annoncé, avant de lancer un appel à la responsabilité à l’endroit des opérateurs du secteur des matériaux de construction. Car, selon lui, l’écroulement des maisons tirent leur source de la mauvaise qualité des matériaux. « L’Etat est très regardant, notamment Monsieur Souleymane Diarrassouba, Ministre du Commerce et de l’Industrie qui suit ces éléments de très près », a mis en garde Kponé Zimo Bérenger.