Le Ministre du Commerce et de l’Industrie, Souleymane Diarrassouba, a procédé à l’ouverture du Séminaire Régional 2019 du Projet d’Appui aux Gouvernements Ouverts Francophones (PAGOF), le mardi 5 novembre 2019, au Radison Blue à Port-Bouët. Il a alors réaffirmé la confiance du Gouvernement en l’initiative Partenariat Gouvernement Ouvert (PGO).
« Notre engagement à adhérer au PGO remonte au Sommet mondial de Londres en 2013 et s’inscrit en droite ligne de la volonté de notre pays de placer la gestion participative et la transparence au cœur de son mode de gouvernance publique », a-t-il affirmé. Et d’ajouter que « cette quête permanente est perceptible à travers les engagements nationaux et internationaux de la Côte d’Ivoire ainsi que nos programmes de développement successifs (PND 2012-2015 et PND 2016-2020) qui accordent une place de choix au renforcement de la qualité des institutions et de la gouvernance ».
A l’évidence, la participation de la Côte d’Ivoire au PGO traduit surtout la confiance en cette initiative comme un instrument capable d’insuffler une dynamique nouvelle à la manière des dirigeants d’organiser et de conduire la gestion des affaires publiques au côté des initiatives existantes telles que le Millénium Challenge Corporation (MCC), l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE), le Doing Business, ou encore le Mécanisme Africain d’Evaluation par les Pairs (MAEP).
« Dans cette perspective et sous le leadership de Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, Président de la République, la Côte d’Ivoire a initié diverses réformes. Il s’agit notamment, au plan institutionnel, de la mise en place de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance ainsi que l’amélioration du cadre législatif en matière de lutte contre la corruption (avec la déclaration de patrimoines des Elus, des Agents Publics et des Hauts Fonctionnaires de l’Etat et l’accès à l’information d’intérêt public) », a poursuivi le Ministre Souleymane Diarrassouba.
A cela, s’ajoute la création du Comité Interministériel pour l’Open Government Partnership en Côte d’Ivoire, assisté par un Comité Technique OGP (CT-OGP) composé aussi bien de représentants de l’Administration publique, du secteur privé que des représentants de la Société Civile. Toutes ces réformes concrètes ont rendu possible l’éligibilité et l’adhésion du pays à ce partenariat dès le mois d’octobre 2015.
« Notre engagement à adhérer au PGO remonte au Sommet mondial de Londres en 2013 et s’inscrit en droite ligne de la volonté de notre pays de placer la gestion participative et la transparence au cœur de son mode de gouvernance publique », a-t-il affirmé. Et d’ajouter que « cette quête permanente est perceptible à travers les engagements nationaux et internationaux de la Côte d’Ivoire ainsi que nos programmes de développement successifs (PND 2012-2015 et PND 2016-2020) qui accordent une place de choix au renforcement de la qualité des institutions et de la gouvernance ».
A l’évidence, la participation de la Côte d’Ivoire au PGO traduit surtout la confiance en cette initiative comme un instrument capable d’insuffler une dynamique nouvelle à la manière des dirigeants d’organiser et de conduire la gestion des affaires publiques au côté des initiatives existantes telles que le Millénium Challenge Corporation (MCC), l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE), le Doing Business, ou encore le Mécanisme Africain d’Evaluation par les Pairs (MAEP).
« Dans cette perspective et sous le leadership de Son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, Président de la République, la Côte d’Ivoire a initié diverses réformes. Il s’agit notamment, au plan institutionnel, de la mise en place de la Haute Autorité pour la Bonne Gouvernance ainsi que l’amélioration du cadre législatif en matière de lutte contre la corruption (avec la déclaration de patrimoines des Elus, des Agents Publics et des Hauts Fonctionnaires de l’Etat et l’accès à l’information d’intérêt public) », a poursuivi le Ministre Souleymane Diarrassouba.
A cela, s’ajoute la création du Comité Interministériel pour l’Open Government Partnership en Côte d’Ivoire, assisté par un Comité Technique OGP (CT-OGP) composé aussi bien de représentants de l’Administration publique, du secteur privé que des représentants de la Société Civile. Toutes ces réformes concrètes ont rendu possible l’éligibilité et l’adhésion du pays à ce partenariat dès le mois d’octobre 2015.