« Se servir de la fiscalité pour participer à la promotion des femmes" est la thématique qui a réuni les membres de la Plateforme des femmes pour gagner (PFG) autour d'une conférence de presse, le samedi 9 novembre 2019 à Abidjan.
Cette rencontre a permis d'informer les femmes qu'une disposition fiscale autorise les entreprises à faire des dons et libéralités aux associations de femmes et de jeunes afin de les aider à développer leurs activités.
Dans sa stratégie de faire prendre conscience aux femmes de la nécessité de leur participation au développement social, culturel, politique et économique, la PFG a initié cette conférence pour mettre en exergue le texte qui stipule que la fiscalité doit contribuer au financement des activités associatives de jeunes et femmes.
« Le texte fiscal, objet de la conférence de presse, est l’article 18 du code général des impôts en son point G qui stipule que le bénéfice est établi sous déduction de toutes charges. Celles-ci comprennent: les dons et libéralités consentis aux associations de jeunes et de femmes pour aider à initier ou à développer une activité lucrative. La valeur des dons et libéralités consentis est déductible dans la double limite de 2,5 % du chiffre d’affaires et de 200.000.000 F cfa par an », a expliqué Me Christiane Bitty-Kouyaté, présidente de la Plateforme des femmes pour gagner.
Selon elle, c'est une fiscalité incitative au développement dans la mesure où elle permet le financement des activités génératrices de revenus des ONG de femmes et de jeunes. « Étant donné que nul n'est censé ignorer la loi dont plusieurs dispositions qui sont inconnues, cette loi fiscale est méconnue et c’est justement notre rôle de la faire connaître », a-t-elle souligné.
JOB
Cette rencontre a permis d'informer les femmes qu'une disposition fiscale autorise les entreprises à faire des dons et libéralités aux associations de femmes et de jeunes afin de les aider à développer leurs activités.
Dans sa stratégie de faire prendre conscience aux femmes de la nécessité de leur participation au développement social, culturel, politique et économique, la PFG a initié cette conférence pour mettre en exergue le texte qui stipule que la fiscalité doit contribuer au financement des activités associatives de jeunes et femmes.
« Le texte fiscal, objet de la conférence de presse, est l’article 18 du code général des impôts en son point G qui stipule que le bénéfice est établi sous déduction de toutes charges. Celles-ci comprennent: les dons et libéralités consentis aux associations de jeunes et de femmes pour aider à initier ou à développer une activité lucrative. La valeur des dons et libéralités consentis est déductible dans la double limite de 2,5 % du chiffre d’affaires et de 200.000.000 F cfa par an », a expliqué Me Christiane Bitty-Kouyaté, présidente de la Plateforme des femmes pour gagner.
Selon elle, c'est une fiscalité incitative au développement dans la mesure où elle permet le financement des activités génératrices de revenus des ONG de femmes et de jeunes. « Étant donné que nul n'est censé ignorer la loi dont plusieurs dispositions qui sont inconnues, cette loi fiscale est méconnue et c’est justement notre rôle de la faire connaître », a-t-elle souligné.
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