Tiassalé - Le décès de l'élève K.K.J.H, de la 5ème 4, au collège Orieux de Ndouci, survenu lundi, après avoir avalé un comprimé contre la bilharziose, provoque depuis lors, la psychose chez de nombreux parents d'élèves de la ville qui s'oppose désormais à la poursuite de la campagne.
Selon des informations recueillies auprès de la direction de l'école et les sources médicales, une campagne de lutte contre la bilharziose actuellement en cours dans les écoles de N’douci, serait à la base de cette situation.
L'élève K.K.J.H. serait décédé après avoir pris un comprimé de ce vaccin. Il aurait vomi, fait des convulsions quelques heures plus tard après avoir signalé des douleurs au niveau de la poitrine.
Entre temps, l'équipe médicale, se trouvant dans les environs, a été rappelée d'urgence pour s’enquérir de l’état de santé de l’élève. Il a été conduit au Centre de santé urbain (CSU) de NDouci puis à l'hôpital général de Tiassalé pour être pris en charge, avant de rendre l'âme.
A la direction départementale de la santé, l'on cherche plutôt à comprendre ce qui s'est réellement passé. Néanmoins, des examens médicaux ont montré que l'élève souffrait d'un paludisme.
Le district sanitaire a dit regretté ce cas isolé de décès, et rassure que les médicaments administrés ne sont pas dangereux pour la santé. Il invite donc à la poursuite de la vaccination qui est très importante pour les enfants.
Cependant, tôt ce mardi matin, de nombreux parents d'élèves et même certains enseignants, informés du décès de l'enfant, se sont opposés à la poursuite de la prise du comprimé.
kd/ako/fmo
Selon des informations recueillies auprès de la direction de l'école et les sources médicales, une campagne de lutte contre la bilharziose actuellement en cours dans les écoles de N’douci, serait à la base de cette situation.
L'élève K.K.J.H. serait décédé après avoir pris un comprimé de ce vaccin. Il aurait vomi, fait des convulsions quelques heures plus tard après avoir signalé des douleurs au niveau de la poitrine.
Entre temps, l'équipe médicale, se trouvant dans les environs, a été rappelée d'urgence pour s’enquérir de l’état de santé de l’élève. Il a été conduit au Centre de santé urbain (CSU) de NDouci puis à l'hôpital général de Tiassalé pour être pris en charge, avant de rendre l'âme.
A la direction départementale de la santé, l'on cherche plutôt à comprendre ce qui s'est réellement passé. Néanmoins, des examens médicaux ont montré que l'élève souffrait d'un paludisme.
Le district sanitaire a dit regretté ce cas isolé de décès, et rassure que les médicaments administrés ne sont pas dangereux pour la santé. Il invite donc à la poursuite de la vaccination qui est très importante pour les enfants.
Cependant, tôt ce mardi matin, de nombreux parents d'élèves et même certains enseignants, informés du décès de l'enfant, se sont opposés à la poursuite de la prise du comprimé.
kd/ako/fmo