Abidjan- L’Ong « Elections sans contestation » a produit une déclaration dont l’AIP a reçu copie, samedi, à l’occasion de la célébration de la journée nationale de la paix, pour appeler les acteurs de la vie politique à « protéger la paix » en vue de préparer la présidentielle de 2020 en Côte d’Ivoire dans un climat social apaisé.
A un an de la tenue de cette élection, l’organisation, par la voix de son président Konaté Nouhou, se dit « inquiète » face au contexte politique très tendu du moment et interpelle tous les Ivoiriens, Ivoiriennes et amis de la Côte d’Ivoire sur les dangers qui pourraient survenir lors de l'élection présidentielle de 2020.
M. Konaté demande au président de la République, Alassane Ouattara, en tant que premier garant de la paix et de la stabilité du pays, de tout mettre en œuvre pour instaurer la confiance entre les parties prenantes par l’établissement des règles claires, un cadre juridique et légal qui garantirait la sincérité du processus électoral de 2020.
A cet effet, pense-t-il, la consultation de toutes les couches au cours d’un débat inclusif sur les questions susceptibles de garantir la quiétude des populations ne serait pas « une action de trop » pour parvenir à la paix.
L’Ong ESC exhorte les partis politiques de l’opposition à faire fi des mouvements de boycott et à prendre part « sincèrement » à tous les débats d’intérêt national en vue de la bonne marche de la démocratie dans notre pays.
Elle demande aux organisations de la société civile de redoubler d’efforts et préparer très activement le terrain pour une élection de 2020 avec pour objectif « zéro violence » et à la jeunesse, d’éviter l’exécution des mots d’ordre de violence lancé par les partis politiques.
L’Ong ESC exhorte le nouveau président de la Commission électorale indépendante (CEI) à procéder à une série de consultations en vue de rassurer les uns et les autres sur le rôle que son institution jouera dans les élections à venir pour décrisper le climat politique très tendu.
Elle plaide enfin auprès de la Chambre des rois et chefs traditionnels afin que ses membres initient des missions de médiation pour la prévention et la gestion des crises et conflits au haut sommet ainsi que dans tous les villages du pays.
fmo
A un an de la tenue de cette élection, l’organisation, par la voix de son président Konaté Nouhou, se dit « inquiète » face au contexte politique très tendu du moment et interpelle tous les Ivoiriens, Ivoiriennes et amis de la Côte d’Ivoire sur les dangers qui pourraient survenir lors de l'élection présidentielle de 2020.
M. Konaté demande au président de la République, Alassane Ouattara, en tant que premier garant de la paix et de la stabilité du pays, de tout mettre en œuvre pour instaurer la confiance entre les parties prenantes par l’établissement des règles claires, un cadre juridique et légal qui garantirait la sincérité du processus électoral de 2020.
A cet effet, pense-t-il, la consultation de toutes les couches au cours d’un débat inclusif sur les questions susceptibles de garantir la quiétude des populations ne serait pas « une action de trop » pour parvenir à la paix.
L’Ong ESC exhorte les partis politiques de l’opposition à faire fi des mouvements de boycott et à prendre part « sincèrement » à tous les débats d’intérêt national en vue de la bonne marche de la démocratie dans notre pays.
Elle demande aux organisations de la société civile de redoubler d’efforts et préparer très activement le terrain pour une élection de 2020 avec pour objectif « zéro violence » et à la jeunesse, d’éviter l’exécution des mots d’ordre de violence lancé par les partis politiques.
L’Ong ESC exhorte le nouveau président de la Commission électorale indépendante (CEI) à procéder à une série de consultations en vue de rassurer les uns et les autres sur le rôle que son institution jouera dans les élections à venir pour décrisper le climat politique très tendu.
Elle plaide enfin auprès de la Chambre des rois et chefs traditionnels afin que ses membres initient des missions de médiation pour la prévention et la gestion des crises et conflits au haut sommet ainsi que dans tous les villages du pays.
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