L’eldorado se trouve désormais en Afrique et non en Europe où les jeunes africains se ruent, a souligné mercredi dans un entretien à APA, la présidente de l’Union interfédérale des associations féminines et des femmes ivoiriennes de France (UIAFFIF), Carole Sanni.
Jetant un regard sur la migration clandestine, Mme Sanni a déploré ce fléau qui tue jour et nuit des africains avant de soutenir que « l’eldorado, c’est l’Afrique », car «en France il n’y a plus rien».
« La migration clandestine est déplorable et ça nous fait mal au cœur de voir nos frères en train de mourir en mer », a-t-elle poursuivi, ajoutant que son Union mène des sensibilisations sur ce fléau.
« On a déjà fait une campagne sur la migration clandestine en France et surtout nous avons sensibilisé en Italie. On essaie d’aider aussi ceux qui sont déjà arrivés » en Europe, a encore expliqué la présidente de l’Union interfédérale des associations féminines et des femmes ivoiriennes de France.
Mme Sanni qui sensibilise ses « frères à rester ici (en Côte d’Ivoire) et à créer des projets », séjourne à Abidjan dans le cadre des activités de l’Union interfédérale des associations féminines et des femmes ivoiriennes de France, engée notamment dans un projet immobilier pour ses membres en Côte de d’Ivoire et dans l’accompagnement des femmes porteuses de projets.
Depuis ces dernières années, une politique européenne commence à se traduire dans les chiffres. En effet, le nombre d’arrivées sur les côtes de l’UE est en baisse. En 2018, le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) a compté près de 115 000 migrants arrivés à destination, contre plus de 170 000 arrivées en 2017.
LS/APA
Jetant un regard sur la migration clandestine, Mme Sanni a déploré ce fléau qui tue jour et nuit des africains avant de soutenir que « l’eldorado, c’est l’Afrique », car «en France il n’y a plus rien».
« La migration clandestine est déplorable et ça nous fait mal au cœur de voir nos frères en train de mourir en mer », a-t-elle poursuivi, ajoutant que son Union mène des sensibilisations sur ce fléau.
« On a déjà fait une campagne sur la migration clandestine en France et surtout nous avons sensibilisé en Italie. On essaie d’aider aussi ceux qui sont déjà arrivés » en Europe, a encore expliqué la présidente de l’Union interfédérale des associations féminines et des femmes ivoiriennes de France.
Mme Sanni qui sensibilise ses « frères à rester ici (en Côte d’Ivoire) et à créer des projets », séjourne à Abidjan dans le cadre des activités de l’Union interfédérale des associations féminines et des femmes ivoiriennes de France, engée notamment dans un projet immobilier pour ses membres en Côte de d’Ivoire et dans l’accompagnement des femmes porteuses de projets.
Depuis ces dernières années, une politique européenne commence à se traduire dans les chiffres. En effet, le nombre d’arrivées sur les côtes de l’UE est en baisse. En 2018, le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) a compté près de 115 000 migrants arrivés à destination, contre plus de 170 000 arrivées en 2017.
LS/APA